mardi 19 février 2013

Projet Céline 3 – phrase 48

Luego se acercó al bar­bero que yacía despatar­rado en un charco de espuma de afeitar y lo miró un instante con ter­nura, casi con piedad.

Traduction temporaire :
Puis il s’approcha du barbier qui gisait, les quatre fers en l’air, dans une flaque de mousse à raser et le regarda un instant avec tendresse, presque avec pitié.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Puis il s’approcha du barbier qui gisait, les quatre fers en l’air, dans une flaque de mousse à raser et il le regarda un instant avec douceur, presque avec pitié.

Tradabordo a dit…

Puis il s’approcha du barbier qui gisait, les quatre fers en l’air, dans une flaque de mousse à raser et il [supprime] le regarda un instant avec douceur [ou « tendresse » ?], presque avec pitié.

Unknown a dit…

Puis il s’approcha du barbier qui gisait, les quatre fers en l’air, dans une flaque de mousse à raser et le regarda un instant avec tendresse, presque avec pitié.

Tradabordo a dit…

Puis il s’approcha du barbier qui gisait, les quatre fers en l’air, dans une flaque de mousse à raser et le regarda un instant avec tendresse, presque avec pitié.

OK.