Era indudablemente una ventaja sentarse junto a una madre joven y ligeramente burguesa que regresaba a su país, estaba seguro de que regresaba desde alguna parte a su país, que iba solo preocupada de que sus hijos, sus tres hijos, se mantuvieran quietecitos sin molestar demasiado, sin pedirle ya un sándwich o una bebida o un chocolatino a la querida mamá, ella, cuando él se sentó le había echado una mirada furtiva y abarcadora, esas miradas especiales y profesionales de las mujeres de toda edad y condición cuando en un sitio publico y mezclado, un mercado, un restaurante, un teatro, se encuentran en la situación, es decir en la obligación de permanecer algún rato, a veces como ocurría ahora, algunas horas, junto a un desconocido, mirándole la ropa y las manos antes de mirarle la cara, mirándole después, furtivamente, avergonzada y furtivamente, los zapatos, la extremidad de las piernas, pues, al parecer, en esas regiones tan visibles e inseparables del cuerpo del hombre desconocido ay anónimo donde nacen, es decir desde donde nacen los movimientos de amistad, de compañerismo, de servilismo, de cinismo, de contaminación que una mujer sola, sola aun mas con sus hijos, lo que es una soledad especial y contaminada, pues esos hijos no cayeron del alto cielo sino que cayeron de su cuerpo del de ella, de su boca, de sus ojos, enteramente de sus ojos, goteando en sus labios, en sus gargantas hasta finalmente, maravillado y odiado producto de esta situación anormal de la vida que se llama el amor, deslizarse indubitablemente por sus piernas, y entonces la mujer que se encuentra en un tren que va desde Milano hasta Roma, sentada junto a un desconocido, lo mira a éste al mismo tiempo que como a una bestia, a una probable bestia, como a un furtivo ángel, a un descolorido, inepto y hasta tímido ángel y espera de él los gestos temidos, los gestos ansiados, los movimientos que se inician lejanamente, en la soledad de la noche, en la soledad de la provincia, en la soledad de la adolescencia y que terminan ahora, ahora mismo, en la soledad rumorosa del treno que a toda maquina corre hacia Roma, en una desordenada sonrisa de disculpa, de donosa coquetería, de avergonzada coquetería, de desvergonzada vergüenza, pues ahora hasta saco su pañuelo de narices y con rabia, con furia, con aburrimiento estuvo sacudiendo las narices del pequeño Robertino.
Traduction temporaire :
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, car j'étais certain que d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman. Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, en l’occurrence, ici, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule, encore plus seule avec ses enfants, une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du ciel, mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, dans leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent véritablement entre ses jambes; et alors la femme qui se retrouve dans un train Milan-Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était à la fois une bête, une probable bête, un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à l'instant même, dans la bruyante solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome et, avec un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte honteuse, car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement nez du petit Robertino.
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, car j'étais certain que d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman. Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, en l’occurrence, ici, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule, encore plus seule avec ses enfants, une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du ciel, mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, dans leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent véritablement entre ses jambes; et alors la femme qui se retrouve dans un train Milan-Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était à la fois une bête, une probable bête, un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à l'instant même, dans la bruyante solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome et, avec un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte honteuse, car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement nez du petit Robertino.
54 commentaires:
Je vais avancer par petits bouts, sinon je risque de m’y perdre !
Era indudablemente una ventaja sentarse junto a una madre joven y ligeramente burguesa que regresaba a su país, estaba seguro de que regresaba desde alguna parte a su país, que iba solo preocupada de que sus hijos, sus tres hijos, se mantuvieran quietecitos sin molestar demasiado, sin pedirle ya un sándwich o una bebida o un chocolatino a la querida mamá
Cela constituait aucun doute un avantage de s’asseoir à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays, il était certain qu’elle rentrait depuis quelque part dans son pays, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses fils, ses trois fils, se tiennent tranquilles sans trop déranger, sans réclamer déjà un sandwich, une boisson ou une glace au chocolat à leur chère maman.
Era indudablemente una ventaja sentarse junto a una madre joven y ligeramente burguesa que regresaba a su país,
Cela constituait aucun doute [passe par « Indubitablement », placé devant] un avantage de s’asseoir à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays,
Indubitablement, c’était un avantage de s’asseoir à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays, il était certain qu’elle rentrait depuis quelque part dans son pays, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses fils, ses trois fils, se tiennent tranquilles sans trop déranger, sans réclamer déjà un sandwich, une boisson ou une glace au chocolat à leur chère maman.
Era indudablemente una ventaja sentarse junto a una madre joven y ligeramente burguesa que regresaba a su país,
Indubitablement, c’était un avantage de s’asseoir à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays,
OK
estaba seguro de que regresaba desde alguna parte a su país, que iba solo preocupada de que sus hijos, sus tres hijos, se mantuvieran quietecitos sin molestar demasiado, sin pedirle ya un sándwich o una bebida o un chocolatino a la querida mamá
il était [« j'étais » ?] certain qu’elle rentrait depuis quelque part [mal dit] dans son pays, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses fils [c'était que des garçons ? Je ne me souviens plus], ses trois fils, se tiennent tranquilles [virgule] sans trop déranger, sans réclamer déjà [déplace-le] un sandwich, une boisson ou une glace au chocolat [tu as vérifié ; juste parce que dans le train…………] à leur chère maman.
Indubitablement, c’était un avantage de s’asseoir à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays, j'étais certain qu’elle venait de quelque part pour rentrer dans son pays, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
Indubitablement, c’était un avantage de s’asseoir [ou « d'être assis » ?] à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait dans son pays [bof ; la formulation n'est vraiment pas géniale…], j'étais certain qu’elle venait de quelque part pour rentrer dans son pays [idem], qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, j'étais certain que, d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, [cheville : « car » ?] j'étais certain que, [j'hésite sur cette virgule] d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, car j'étais certain que d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
ella, cuando él se sentó le había echado una mirada furtiva y abarcadora, esas miradas especiales y profesionales de las mujeres de toda edad y condición cuando en un sitio publico y mezclado, un mercado, un restaurante, un teatro, se encuentran en la situación, es decir en la obligación de permanecer algún rato, a veces como ocurría ahora, algunas horas, junto a un desconocido,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et embrassant, un de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tout âge et de toute condition sociale lorsque dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou plutôt dans l’obligation de rester un moment, parfois, comme cela arrivait maintenant, quelques heures, à côté d’un inconnu,
Indubitablement, c’était un avantage d'être assis à côté d’une mère jeune et légèrement bourgeoise qui rentrait chez elle, car j'étais certain que d’où qu’elle vienne, elle rentrait chez elle, qu’elle ne se préoccupait que de ce que ses enfants, ses trois enfants, se tiennent tranquilles, sans trop déranger, sans déjà réclamer un sandwich, une boisson ou une barre chocolatée à leur chère maman.
OK.
Je colle dans le post pour qu'on ne s'en occupe plus.
ella, cuando él se sentó le había echado una mirada furtiva y abarcadora, esas miradas especiales y profesionales de las mujeres de toda edad y condición cuando en un sitio publico y mezclado, un mercado, un restaurante, un teatro, se encuentran en la situación, es decir en la obligación de permanecer algún rato, a veces como ocurría ahora, algunas horas, junto a un desconocido,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et embrassant [je crois que ce sera ambigu ; « globalisant » / « totalisant » / « englobant » ?], un [pas besoin de « un »] de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tout âge et de toute condition sociale [tu devrais mettre tout au pluriel – âge et condition sociale] lorsque [virgule] dans un lieu public et mélangé [bizarre], un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, [virgule après « ou »] ou plutôt [virgule] dans l’obligation de rester un moment, parfois, [déplace-le] comme cela arrivait maintenant, quelques heures, à côté d’un inconnu,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public aux gens très divers, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt, dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant, quelques heures à côté d’un inconnu,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public aux gens très divers [non, ça ne va pas…], un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt, [il faut supprimer cette virgule ; sinon, on ne comprend rien] dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant [ou « comme en l'occurrence »], quelques heures [virgule ?] à côté d’un inconnu,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et hétéroclite, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme en l'occurrence, quelques heures, à côté d’un inconnu,
mirándole la ropa y las manos antes de mirarle la cara, mirándole después, furtivamente, avergonzada y furtivamente, los zapatos, la extremidad de las piernas, pues, al parecer, en esas regiones tan visibles e inseparables del cuerpo del hombre desconocido ay anónimo donde nacen, es decir desde donde nacen los movimientos de amistad, de compañerismo, de servilismo, de cinismo, de contaminación que una mujer sola,
à regarder ses vêtements et ses mains avant de regarder son visage, regardant ensuite furtivement, honteusement et furtivement, les chaussures, l’extrémité des jambes, car, apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et anonyme où naissent, c’est-à-dire où prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
à regarder ses vêtements et ses mains avant de regarder son visage, regardant ensuite [virgule] furtivement, honteusement et furtivement, les [« ses» ?] chaussures, l’extrémité des [« de ses »] jambes, car, [point-virgule à la place] apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et [et « ay » ?] anonyme où naissent, c’est-à-dire où prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
à regarder ses vêtements et ses mains avant de regarder son visage, regardant ensuite [virgule] furtivement, honteusement et furtivement, les [« ses» ?] chaussures, l’extrémité des [« de ses »] jambes, car, [point-virgule à la place] apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et [et « ay » ?] anonyme où naissent, c’est-à-dire où prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et hétéroclite, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme en l'occurrence, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et hétéroclite [trop fort ; vois si tu trouves un synonyme], un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme en l'occurrence [c'est pourquoi quelques heures ; or là, ça n'apparaît pas clairement], quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains [virgule] avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mixte, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mixte [écoute, mieux vaut encore ton « mélangé » du début], un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, comme cela arrivait maintenant [là, il faut qu'on comprenne plus clairement que ce morceau va avec ce qui suit et pas avec ce qui précède], quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, en l’occurrence, ici, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
Quand il s’était assis, elle lui avait lancé un regard furtif et englobant, de ces regards spéciaux et professionnels des femmes de tous âges et conditions sociales lorsque, dans un lieu public et mélangé, un marché, un restaurant, un théâtre, elles se trouvent dans la situation, ou, plutôt dans l’obligation de rester parfois un moment, en l’occurrence, ici, quelques heures, à côté d’un inconnu, à regarder ses vêtements et ses mains, avant de regarder son visage, regardant ensuite, furtivement, honteusement et furtivement, ses chaussures, l’extrémité de ses jambes ; apparemment, c’est dans ces régions aussi visibles et inséparables du corps de l’homme inconnu et hélas anonyme que naissent, c’est-à-dire que prennent naissance, les mouvements d’amitié, de camaraderie, de servilité, de cynisme, de contamination qu’une femme seule,
OK.
À toi de traduire un petit bout de la suite ;-)
sola aun mas con sus hijos, lo que es una soledad especial y contaminada, pues esos hijos no cayeron del alto cielo sino que cayeron de su cuerpo del de ella, de su boca, de sus ojos, enteramente de sus ojos, goteando en sus labios, en sus gargantas hasta finalmente, maravillado y odiado producto de esta situación anormal de la vida que se llama el amor, deslizarse indubitablemente por sus piernas,
encore plus seule avec ses enfants, ce qui est une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du haut ciel mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux, entièrement de ses yeux, gouttant de leurs lèvres, de leurs gorges jusqu’à ce que finalement, en émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement entre ses jambes,
sola aun mas con sus hijos, lo que es una soledad especial y contaminada, pues esos hijos no cayeron del alto cielo sino que cayeron de su cuerpo del de ella, de su boca, de sus ojos, enteramente de sus ojos,
[ponctuation ici ?] encore plus seule avec ses enfants, ce qui est [on peu supprimer ?] une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du haut [on supprime ?] ciel [virgule ?] mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux,
sola aun mas con sus hijos, lo que es una soledad especial y contaminada, pues esos hijos no cayeron del alto cielo sino que cayeron de su cuerpo del de ella, de su boca, de sus ojos, enteramente de sus ojos,
[ponctuation ici ?] encore plus seule avec ses enfants, ce qui est [on peu supprimer ?] une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du haut [on supprime ?] ciel [virgule ?] mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux,
, encore plus seule avec ses enfants, une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du ciel, mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux, entièrement de ses yeux, gouttant de leurs lèvres, de leurs gorges jusqu’à ce que finalement, en émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement entre ses jambes
, encore plus seule avec ses enfants, une solitude spéciale et contaminée, car ces enfants ne sont pas tombés du ciel, mais bien de son corps à elle, de sa bouche, de ses yeux,
OK… Je colle.
enteramente de sus ojos, goteando en sus labios, en sus gargantas hasta finalmente, maravillado y odiado producto de esta situación anormal de la vida que se llama el amor, deslizarse indubitablemente por sus piernas,
entièrement de ses yeux, gouttant de [« sur » ?] leurs [ou « ses » ; j'avoue que là, je commence à être un peu perdue… dans ta loooongue phrase] lèvres, de leurs [idem] gorges jusqu’à ce que finalement, en émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement entre ses jambes
entièrement de ses yeux, gouttant sur ses lèvres, sur sa gorge, jusqu’à ce que finalement, en émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement entre ses jambes
Je pense effectivement que « sus labios » et « sus gargantas » se rapportent à elle, mais je ne comprends pas pourquoi « gargantas » est au pluriel. Dois-je le mettre au singulier ?
Au cas où : as-tu vérifié dans le dico que ça ne veut dire que « gorge » ?
Oui, il n'y a pas d'autre sens possible ici.
Dans ce cas, demande son avis à Elena sur cette phrase…
OK
, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, sur leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, en émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement entre ses jambes
Elena pense que « labios » et « gargantas » se rapportent à « hijos ».
enteramente de sus ojos, goteando en sus labios, en sus gargantas hasta finalmente, maravillado y odiado producto de esta situación anormal de la vida que se llama el amor, deslizarse indubitablemente por sus piernas,
, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, sur [ou « dans » ?] leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, en [ça marche sans ? Regarde et dis-moi] émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent nécessairement [pas sûre que ce soit le sens] entre ses jambes
, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, dans leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent véritablement entre ses jambes
, entièrement de ses yeux, gouttant sur leurs lèvres, dans leurs gorges, jusqu’à ce que finalement, émerveillé et détesté produit de cette situation anormale de la vie que l’on appelle l’amour, ils glissent véritablement entre ses jambes
OK.
Tu peux traduire la suite ; sans oublier l'eventuelle ponctuation au début du fragment.
y entonces la mujer que se encuentra en un tren que va desde Milano hasta Roma, sentada junto a un desconocido, lo mira a éste al mismo tiempo que como a una bestia, a una probable bestia, como a un furtivo ángel, a un descolorido, inepto y hasta tímido ángel
; et alors la femme qui se trouve dans un train qui va de Milan à Rome, assise à côté d’un inconnu, le regarde comme si c’était une bête, une probable bête, comme si c’était un ange furtif, un ange pâle, inepte et même un ange timide
y entonces la mujer que se encuentra en un tren que va desde Milano hasta Roma, sentada junto a un desconocido, lo mira a éste al mismo tiempo que como a una bestia, a una probable bestia, como a un furtivo ángel, a un descolorido, inepto y hasta tímido ángel
; et alors la femme qui se trouve [ou « retrouve » ?] dans un train qui va de [on supprime ?] Milan à Rome, [supprime] assise à côté d’un inconnu, le regarde [et « al mismo tiempo » ?] comme si c’était une bête, une probable bête, comme si c’était un ange furtif, un ange pâle [sûre ?], inepte et même un ange timide
; et alors la femme qui se retrouve dans un train qui va de Milan à Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était en même temps une bête, une probable bête, comme s’il était un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide
; et alors la femme qui se retrouve dans un train qui va de [pas besoin de « qui va de »] Milan à Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était en même temps [avec « à la fois » ?] une bête, une probable bête, comme s’il était [supprime ?] un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide
; et alors la femme qui se retrouve dans un train de Milan à Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était à la fois une bête, une probable bête, un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide
; et alors la femme qui se retrouve dans un train de [supprime aussi] Milan à Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était à la fois une bête, une probable bête, un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide
; et alors la femme qui se retrouve dans un train Milan-Rome assise à côté d’un inconnu, le regarde comme s’il était à la fois une bête, une probable bête, un ange furtif, un ange terne, inepte et même un ange timide
y espera de él los gestos temidos, los gestos ansiados, los movimientos que se inician lejanamente, en la soledad de la noche, en la soledad de la provincia, en la soledad de la adolescencia y que terminan ahora, ahora mismo, en la soledad rumorosa del treno que a toda maquina corre hacia Roma
et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à cet instant même, dans la bruyante solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome
y espera de él los gestos temidos, los gestos ansiados, los movimientos que se inician lejanamente, en la soledad de la noche, en la soledad de la provincia, en la soledad de la adolescencia y que terminan ahora, ahora mismo, en la soledad rumorosa del treno que a toda maquina corre hacia Roma
et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à cet [ou « l' » ?] instant même, dans la bruyante [j'hésite] solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome
et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à l'instant même, dans la bruyante solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome
Pour « rumorosa », je ne vois pas d’autre adjectif que « bruyante »…
, en una desordenada sonrisa de disculpa, de donosa coquetería, de avergonzada coquetería, de desvergonzada vergüenza, pues ahora hasta saco su pañuelo de narices y con rabia, con furia, con aburrimiento estuvo sacudiendo las narices del pequeño Robertino.
, dans un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte effrontée, car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement les narines du petit Robertino.
et elle attend de lui les gestes redoutés, les gestes tant attendus, les mouvements qui commencent lointainement, dans la solitude de la nuit, dans la solitude de la province, dans la solitude de l’adolescence, et qui prennent fin maintenant, à l'instant même, dans la bruyante solitude du train qui roule à toute vitesse en direction de Rome
OK.
, en una desordenada sonrisa de disculpa, de donosa coquetería, de avergonzada coquetería, de desvergonzada vergüenza, pues ahora hasta saco su pañuelo de narices y con rabia, con furia, con aburrimiento estuvo sacudiendo las narices del pequeño Robertino.
, dans [ou « avec » ?] un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte effrontée [ou « honteuse » ? Je me demande si ça n'est pas fait exprès], car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement les narines [« nez » ?] du petit Robertino.
, avec un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte honteuse, car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement nez du petit Robertino.
, avec un sourire d’excuse désordonné, de coquetterie gracieuse, de coquetterie honteuse, de honte honteuse, car à ce moment-là, elle sortit même son mouchoir et, avec rage, avec furie, avec ennui, elle secoua longuement nez du petit Robertino.
OK.
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