Miraba eso palideciendo, y quedándose quieto y callado y llegaban, como antes, momentos en que tenía que sentarse al borde del camino o meter su cabeza en el riachuelo, para descansar, y aliviándose y debilitándose, veía, pasar toda su vida por los resplandores que echaba, la pólvora bailando a su alrededor, entre las grandes, piedras y los arbustos ; desde su niñez sola, a la orilla del mar y su adolescencia pobre, llena de, dudas y ensueños y esos años, no tan lejanos, de su madurez y su arrogancia, y se sentía angustiado, apretado hasta asfixiarse entre esa pólvora que manaba libremente a través de su piel, como una respiración prometedora y perturbadora.
Traduction temporaire :
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance ; et il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance ; et il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
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Miraba eso palideciendo, y quedándose quieto y callado y llegaban, como antes, momentos en que tenía que sentarse al borde del camino o meter su cabeza en el riachuelo, para descansar, y aliviándose y debilitándose, veía pasar toda su vida por los resplandores que echaba, la pólvora bailando a su alrededor, entre las grandes piedras y los arbustos ; desde su niñez sola, a la orilla del mar y su adolescencia pobre, llena de dudas y ensueños y esos años, no tan lejanos, de su madurez y su arrogancia, y se sentía angustiado, apretado hasta asfixiarse entre esa pólvora que manaba libremente a través de su piel, como una respiración prometedora y perturbadora.
Il l'observait en pâlissant et en restant tranquille et silencieux ; arrivait des moments, comme avant, où il devait s'asseoir hors du chemin ou mettre sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, se soulageant et s'affaiblissant, il voyait défiler toute sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, entre les grandes pierres et les arbustes ; depuis son enfance solitaire, au bord de la mer, son adolescence pauvre, empreinte de doutes et d'illusions et ces années, pas vraiment lointaines, de maturité et d'arrogance, il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer avec la poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Miraba eso palideciendo, y quedándose quieto y callado y llegaban, como antes,
Il l' [c'était quoi, déjà ?] observait en pâlissant et en restant tranquille et silencieux [je me demande si ce ne serait pas mieux avec simplement des adjectifs partout ; essaie et dis-moi si ça fonctionne] ;
Il l' [la poudre qui tombait] observait, blême, tranquille et silencieux (oui, c'est moins lourd)
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux
OK.
Tu reprendras les morceaux OK au fur et à mesure – toujours dans la même but : qu'on n'oublie rien au moment du copier-coller.
y llegaban, como antes, momentos en que tenía que sentarse al borde del camino o meter su cabeza en el riachuelo, para descansar, y aliviándose y debilitándose, veía, pasar toda su vida por los resplandores que echaba, la pólvora bailando a su alrededor, entre las grandes, piedras y los arbustos ;
; arrivait des moments, comme avant [remets la syntaxe de la V.O.], où il devait s'asseoir hors du chemin ou mettre sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, se soulageant et s'affaiblissant, il voyait défiler toute sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, entre les grandes pierres et les arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et il arrivait, comme avant, des moments où il devait s'asseoir hors du chemin ou mettre sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, se soulageant et s'affaiblissant, il voyait défiler toute sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, entre les grandes pierres et les arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et il arrivait [« survenaient » / comme ça, avec le pluriel, il n'y aura pas d'ambiguïté], comme avant, des moments où il devait s'asseoir hors [pour « al borde » ? Pourquoi tu changes ?] du chemin ou mettre [ou « plonger » ?] sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, se soulageant et s'affaiblissant [là aussi, ce sera mieux avec des adjectifs], il voyait défiler toute [ou « l'intégralité »] sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, entre [ou « au milieu » ?] les grandes pierres et les arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et survenaient, comme avant, des moments où il devait s'asseoir hors [pour « al borde » ? Pourquoi tu changes ? Parce qu'il y a "a la orilla del mar" juste après que j'ai traduit par "au bord de la mer"] du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et survenaient, comme avant, des moments où il devait s'asseoir hors [pour « al borde » ? Pourquoi tu changes ? Parce qu'il y a "a la orilla del mar" juste après que j'ai traduit par "au bord de la mer" / OK… mais « au bord » et « hors », ça n'est pas la même chose… Trouve une autre solution] du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer et, [point-virgule à la place de « et » et de la virgule] soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et survenaient, comme avant, des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin [et juste "à la mer" plus bas ?] ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et survenaient, comme avant [pourquoi pas juste après le « et »], des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin [et juste "à la mer" plus bas ? OK] ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ;
OK.
desde su niñez sola, a la orilla del mar y su adolescencia pobre, llena de, dudas y ensueños y esos años, no tan lejanos, de su madurez y su arrogancia,
depuis son enfance solitaire, au bord [à changer, donc] de la mer, son adolescence pauvre, empreinte [inexact] de doutes et d'illusions [pas tout à fait le sens] et ces années, pas vraiment [« tan »] lointaines, de maturité et d'arrogance [pas certaine que tu aies eu raison de supprimer les possessifs],
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, emplie [je mettrais bien « pleine de » mais il y a « plein de mort » juste avant] de doutes et de chimères et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance,
[desde su niñez sola, a la orilla del mar y su adolescencia pobre, llena de, dudas y ensueños y esos años, no tan lejanos, de su madurez y su arrogancia,]
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, emplie [« semée » ?] de doutes et de chimères [« rêveries » ?] [virgule] et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance,
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau, pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance,
l l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance,
OK
y se sentía angustiado, apretado hasta asfixiarse entre esa pólvora que manaba libremente a través de su piel, como una respiración prometedora y perturbadora.
[je me demande si le « y » n'est pas très important] il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer avec [pour « entre » ? Pas sûre] la poudre qui jaillissait [pas un peu fort par rapport à « manar » ?] librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance, [je pensais que "il se sentait" était la suite de "depuis son enfance", non ?] il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait [pas un peu fort par rapport à « manar » ? Peut-être "s'écoulait" ? Manar selon la R.A.E : dicho de un líquido: Brotar o salir. ] librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance, [je pensais que "il se sentait" était la suite de "depuis son enfance", non ? Ça paraît logique mais je crois que c'est que tout ce qui est dit précédemment dure depuis………… ET qu'il se sent ; réfléchis sous cet angle-là et dis-moi] il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance, et [je pensais que "il se sentait" était la suite de "depuis son enfance", non ? Ça paraît logique mais je crois que c'est que tout ce qui est dit précédemment dure depuis………… ET qu'il se sent ; réfléchis sous cet angle-là et dis-moi. Oui, de toute façon, il y a "y" en V.O. donc OK. Le point-virgule avant "depuis" me perturbait.Il faudrait presque en mettre un autre après "arrogance", non ?] il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance, et [je pensais que "il se sentait" était la suite de "depuis son enfance", non ? Ça paraît logique mais je crois que c'est que tout ce qui est dit précédemment dure depuis………… ET qu'il se sent ; réfléchis sous cet angle-là et dis-moi. Oui, de toute façon, il y a "y" en V.O. donc OK. Le point-virgule avant "depuis" me perturbait.Il faudrait presque en mettre un autre après "arrogance", non ? / FAIS LE TEST ET MONTRE-MOI CONCRÈTEMENT CE QUE ÇA DONNERAIT… CAR LÀ, COMME ÇA, JE N'ARRIVE PAS À ME RENDRE COMPTE] il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance ; et il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
Il l'observait, blême, tranquille et silencieux et, comme avant, survenaient des moments où il devait s'asseoir au bord du chemin ou plonger sa tête dans le ruisseau pour se reposer ; soulagé et affaibli, il voyait défiler l'intégralité de sa vie dans les lueurs qu'il émettait, la poudre dansant autour de lui, au milieu des grandes pierres et des arbustes ; depuis son enfance solitaire, à la mer, son adolescence pauvre, semée de doutes et de rêveries, et les années, pas si lointaines, de sa maturité et de son arrogance ; et il se sentait angoissé, oppressé jusqu'à s'étouffer au milieu de cette poudre qui jaillissait librement à travers sa peau, telle une respiration prometteuse et perturbatrice.
OK… c'est sans doute le plus simple. On verra cela au moment des relectures.
OK
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