lundi 4 mars 2013

Projet Céline 4 – phrase 10

Acababa de llegar de Austin después de dos años de ausencia y rescato de esa noche sus cabellos cobrizos destellando bajo la luz fragmentada de la araña en el comedor —esa araña cuyos chispazos de cristal conozco ahora hasta la saciedad, hasta la náusea— y su calor sincero al referirse a un Perú arcaico que nos invitó a saborear lentamente en la sobremesa.

Traduction temporaire :
Elle rentrait à peine d’Austin après deux ans d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère quand elle évoquait un Pérou archaïque, qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Elle rentrait tout juste d’Austin après deux années d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère en évoquant un Pérou archaïque qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

Tradabordo a dit…

Elle rentrait tout juste [ou « à peine », pour éviter le « tout » ?] d’Austin après deux années [ou « ans » ? JTLT] d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère en évoquant [ou « quand elle » ? Je me demande si ça ne serait pas mieux] un Pérou archaïque qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

Unknown a dit…

Elle rentrait à peine d’Austin après deux ans d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère quand elle évoquait un Pérou archaïque qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

Tradabordo a dit…

Elle rentrait à peine d’Austin après deux ans d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère quand elle évoquait un Pérou archaïque [virgule ?] qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

Unknown a dit…

Elle rentrait à peine d’Austin après deux ans d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère quand elle évoquait un Pérou archaïque, qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

Tradabordo a dit…

Elle rentrait à peine d’Austin après deux ans d’absence et je garde de cette soirée l’image de ses cheveux cuivrés étincelant sous la lumière fragmentée du lustre de la salle à manger – ce lustre aux étincelles de cristal que je connais maintenant jusqu’à satiété, jusqu’à la nausée – et son enthousiasme sincère quand elle évoquait un Pérou archaïque, qu’elle nous avait invité à savourer lentement après le repas.

OK.