jeudi 21 mars 2013

Projet Céline 4 – phrase 30

Levanté la vista sorprendido: había estado recordando en voz alta, sumergido por completo en esos fogonazos de luz y tibieza que me traía el recuerdo de la casa blanca y olorosa, multiplicados sus cuartos y salones por espejos inmensos, los peldaños de la escalera alfombrada, el silencio como un sabor añadido a la  aventura, finalmente el pequeño Ekeko en esa consola del pasillo olvidado donde acudí presagiando oscuramente una grave falta, los ladridos de Sultán persiguiendo al taxi viejo que se llevó a la sirvienta puneña y que me hicieron correr hacia la ventana, la piscina espejeando bajo el sol de enero, imágenes que creía sepultadas para siempre y que ahora descubría rabiosamente vivas.

Traduction temporaire :
J’ai levé les yeux,  surpris : je m’étais rappelé tout cela à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses ; les marches de l’escalier recouvertes de tapis ; le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure ; et, enfin, le petit Ekeko, sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé,  présageant obscurément une grave faute ; les aboiements de Sultan courant derrière le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait me précipiter à la fenêtre ; la piscine miroitant sous le soleil de janvier – autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que je découvrais maintenant intensément vivantes.

9 commentaires:

Unknown a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé à voix haute, complétement plongé dans ces éclairs de lumière et de tiédeur apportés par le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches tapissées de l’escalier, le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure, et enfin, le petit Ekeko sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant sombrement un grave manquement, les aboiements de Sultán poursuivant le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait courir à la fenêtre, la piscine miroitant sous le soleil de janvier, autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que, maintenant, je découvrais profondément vivantes.

Tradabordo a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé à voix haute, complétement [accent] plongé [ou « absorbé » ? JTLT] dans ces éclairs [ou « jaillissements » ? JTLT] de lumière et de tiédeur apportés [moins clair qu'en V.O. ; ou alors inverse la syntaxe pour que l'argumentation soit plus claire] par le souvenir de la maison blanche

Fais déjà ça.

et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches tapissées de l’escalier, le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure, et enfin, le petit Ekeko sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant sombrement un grave manquement, les aboiements de Sultán poursuivant le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait courir à la fenêtre, la piscine miroitant sous le soleil de janvier, autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que, maintenant, je découvrais profondément vivantes.

Unknown a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches tapissées de l’escalier, le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure, et enfin, le petit Ekeko sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant sombrement un grave manquement, les aboiements de Sultán poursuivant le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait courir à la fenêtre, la piscine miroitant sous le soleil de janvier, autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que, maintenant, je découvrais profondément vivantes.

Tradabordo a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé à voix haute [pas très bien… parce qu'on attend un complément après. Il vaut mieux être plus clair : il a évoqué ses souvenirs à voix haute sans s'en rendre compte ; je te laisse trouver une solution sur cette base], complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux [ou par « dont les » ?] pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches tapissées [on dit bien comme ça ?] de l’escalier, le silence comme une saveur ajoutée [ou « supplémentaire » ?] à l’aventure, et [virgule ?] enfin, le petit Ekeko [virgule ?] sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant sombrement [« obscurément » ; car pas tout à fait le même sens] un grave manquement [et pas « faute » ? J'hésite… donc je te laisse voir], les aboiements de Sultán [traduis] poursuivant [ou « courant derrière » ?] le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno [pas un adjectif ?] et qui m’avaient fait courir [« me précipiter » ?] à la fenêtre, [cheville : « et voir » ou inutile ?] la piscine miroitant sous le soleil de janvier, [tiret ici] autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que, maintenant [après « le découvrais ? »], je découvrais profondément [pas ce que dit la V.O. Tu aplatis ; c'est dommage] vivantes.

Tradabordo a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé à voix haute [pas très bien… parce qu'on attend un complément après. Il vaut mieux être plus clair : il a évoqué ses souvenirs à voix haute sans s'en rendre compte ; je te laisse trouver une solution sur cette base], complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux [ou par « dont les » ?] pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches tapissées [on dit bien comme ça ?] de l’escalier, le silence comme une saveur ajoutée [ou « supplémentaire » ?] à l’aventure, et [virgule ?] enfin, le petit Ekeko [virgule ?] sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant sombrement [« obscurément » ; car pas tout à fait le même sens] un grave manquement [et pas « faute » ? J'hésite… donc je te laisse voir], les aboiements de Sultán [traduis] poursuivant [ou « courant derrière » ?] le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno [pas un adjectif ?] et qui m’avaient fait courir [« me précipiter » ?] à la fenêtre, [cheville : « et voir » ou inutile ?] la piscine miroitant sous le soleil de janvier, [tiret ici] autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que, maintenant [après « le découvrais ? »], je découvrais profondément [pas ce que dit la V.O. Tu aplatis ; c'est dommage] vivantes.

Unknown a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé tout cela à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches de l’escalier recouvertes de tapis, le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure, et, enfin, le petit Ekeko, sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant obscurément une grave faute, les aboiements de Sultan courant derrière le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait me précipiter à la fenêtre, la piscine miroitant sous le soleil de janvier – autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que je découvrais maintenant intensément vivantes.

Je n’ai pas trouvé d’adjectif français pour les habitants de Puno.

Pour « rabiosamente », je ne suis pas sûre que ce soit dans le sens de « rageusement », car le second sens du mot est : « Violenta, intensa o vehementemente ».

Tradabordo a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé tout cela à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses, les marches de l’escalier recouvertes de tapis, le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure, et, enfin, le petit Ekeko, sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant obscurément une grave faute, les aboiements de Sultan courant derrière le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait me précipiter à la fenêtre, la piscine miroitant sous le soleil de janvier – autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que je découvrais maintenant intensément vivantes.

Pour plus de clarté, est-ce qu'il ne faudrait pas mettre des points-virgules entre les différents souvenirs ? Je ne sais pas… Regarde et dis-moi.

Unknown a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé tout cela à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses ; les marches de l’escalier recouvertes de tapis ; le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure ; et, enfin, le petit Ekeko, sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant obscurément une grave faute ; les aboiements de Sultan courant derrière le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait me précipiter à la fenêtre ; la piscine miroitant sous le soleil de janvier – autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que je découvrais maintenant intensément vivantes.

Tradabordo a dit…

J’ai levé les yeux, surpris : je m’étais rappelé tout cela à voix haute, complètement absorbé par ces jaillissements de lumière et de tiédeur que m’apportait le souvenir de la maison blanche et odorante aux pièces et salons multipliés par des miroirs immenses ; les marches de l’escalier recouvertes de tapis ; le silence comme une saveur ajoutée à l’aventure ; et, enfin, le petit Ekeko, sur cette console dans le couloir oublié vers lequel je m’étais dirigé, présageant obscurément une grave faute ; les aboiements de Sultan courant derrière le vieux taxi qui avait emmené l’employée originaire de Puno et qui m’avaient fait me précipiter à la fenêtre ; la piscine miroitant sous le soleil de janvier – autant d’images que je croyais enterrées à jamais et que je découvrais maintenant intensément vivantes.

OK.