vendredi 5 avril 2013

Projet Céline – phrase 69


Un suspiro con mucha delicadeza y, por supuesto, con mucha soledad, con tanta soledad como la de él mismo, pero él sin embargo, como la mayor parte de los hombres, salvo, quizás, los ociosos y los vagabundos, no recordaba haber suspirado en su vida, ni en su adolescencia, que fue, recordaba, sonriente, cuando verdaderamente había nacido, ni en la universidad, ni en el primer pololeo, el primer bochorno, la primera borrachera.

Traduction temporaire :
Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, plein de solitude, avec autant de solitude que la sienne ; lui,  cependant, comme la majorité des hommes – excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds –, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie,  ni dans son adolescence – qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né –, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, de solitude, d’autant de solitude que lui ; mais cependant, lui, comme la majorité des hommes, excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence, qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

Tradabordo a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, de [et « mucha » ?] solitude, d’autant de solitude que lui [assez peu clair ainsi formulé ; reviens plus près de la V.O.] ; mais cependant [mets-le après et sans le « mais »], lui, comme la majorité des hommes, excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds [mets cette précision entre tirets], il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence, qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

Unknown a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, plein de solitude, avec autant de solitude que la sienne ; lui, cependant, comme la majorité des hommes – excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds –, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence, qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

Tradabordo a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, plein de solitude, avec autant de solitude que la sienne ; lui, cependant, comme la majorité des hommes – excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds –, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence, qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né [est-ce qu'on ne devrait pas mettre tout ça entre tirets ?], ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

Unknown a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, plein de solitude, avec autant de solitude que la sienne ; lui, cependant, comme la majorité des hommes – excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds –, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence – qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né –, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

Tradabordo a dit…

Un soupir plein de délicatesse et, bien sûr, plein de solitude, avec autant de solitude que la sienne ; lui, cependant, comme la majorité des hommes – excepté, peut-être, ceux qui sont oisifs ou vagabonds –, il ne se rappelait pas avoir déjà soupiré dans sa vie, ni dans son adolescence – qui avait été, il s’en souvenait, souriante, quand il était véritablement né –, ni à l’université, ni pour son premier flirt, sa première honte, sa première ivresse.

OK.