vendredi 12 avril 2013

Projet Nancy – phrase 52

Debe ser la primavera, se dijo, este pasto joven es muy agradable, y sentía que, crecía hacia él, él se deshacía en transpiración, y en añoranzas, deseaba recordar algo, algo urgente, y al mismo tiempo alegre, sentía voces; pero no son, voces, pensó y sentía su camisa empapada y se agarró, a ella.-

Traduction temporaire :
Ce doit être le printemps ; cette herbe tendre est très agréable et il la sentait pousser vers lui, lui qui fondait en gouttes de sueur et en regrets. Il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux. Il entendait des voix ; mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il sentait que sa chemise était trempée et il s'y accrocha.

6 commentaires:

Nancy a dit…

Nous devons être au printemps, cette herbe nouvelle est très agréable, et il la sentait pousser vers lui ; il fondait en sueur, et en regrets ; il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux, il entendait des voix ; mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il remarquait sa chemise trempée et il s'y accrocha.

Je me demande s'il ne faudrait pas respecter la répétition de "sentir" qui insiste sur les sensations du personnage. Tous les verbes en rapport avec les sens sont répétés dans cette nouvelle "regarder", "voir", "sentir", "entendre" etc.
On a d'ailleurs la répétition de "il entendait des voix" ainsi que de "sueur" inévitables ici, je pense.

Tradabordo a dit…

Nous devons [ou « Ce doit » ?] être au [du coup, ce serait « le »] printemps, cette herbe nouvelle [il n'y a pas un nom pour dire cela ? J'ai l'impression de l'avoir sur le bout de la langue, mais si ça se trouve, je suis à côté de la plaque ; réfléchis, cherche et dis-moi] est très agréable, et il la sentait pousser vers lui ; [cheville : « lui » ou inutile ?] il fondait en sueur [mal dit], et en regrets ; il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux, [point-virgule ici et pas après ?] il entendait des voix ; mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il remarquait [mal choisir] sa chemise trempée et il s'y accrocha.

Nancy a dit…

Ce doit être le printemps, cette herbe fraîche [ou "herbe tendre", il y a aussi "jeunes pousses" mais cela ne convient pas ici] est très agréable, et il la sentait pousser vers lui ; lui, [on peut mettre "lui qui" ?] il se dissolvait en gouttes de sueur, et en regrets ; il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux ; il entendait des voix, mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il sentait [on peut laisser la répétition ?] sa chemise trempée et il s'y accrocha.

Tradabordo a dit…

Ce doit être le printemps, [point-virgule ?] cette herbe fraîche tendre est très agréable et il la sentait pousser vers lui ; lui qui se dissolvait [« fondre » ?] en gouttes de sueur et en regrets ; [point ?] il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux ; [point ?] il entendait des voix, [point-virgule ?] mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il sentait [« que » ?] sa chemise trempée et il s'y accrocha.

Nancy a dit…

Ce doit être le printemps ; cette herbe tendre est très agréable et il la sentait pousser vers lui, lui qui fondait en gouttes de sueur et en regrets. Il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux. Il entendait des voix ; mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il sentait que sa chemise était trempée et il s'y accrocha.

Tradabordo a dit…

Ce doit être le printemps ; cette herbe tendre est très agréable et il la sentait pousser vers lui, lui qui fondait en gouttes de sueur et en regrets. Il désirait se rappeler quelque chose, quelque chose d'urgent et en même temps de joyeux. Il entendait des voix ; mais ce ne sont pas des voix, pensa-t-il ; il sentait que sa chemise était trempée et il s'y accrocha.

OK.