mercredi 10 avril 2013

Projet Sabrina – phrases 26-31


La chola hace un mohín de fingida severidad:
No seas cojudo: son tus hijos, don.
Los hijos son siempre de ustedes, de las madres que los han parido; ¿sabes lo que ella me decía?, que eran regalo de amor. ¡Pendejadas! Puro gasto, noches enteras de toses, de llantos, vómitos y babas. No conozco hombre que aguante esa vaina.

Traduction temporaire :
La chola affiche une moue faussement sévère :
— Fais pas le con ; ce sont tes enfants,  don.
— Les enfants sont toujours de vous, vous, les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Rien que des frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte une poisse pareille.

7 commentaires:

Sabrina a dit…

La chola feint une moue sévère :
- Ne sois pas con ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous, des mères qui les ont mis au monde ; tu sais ce qu'elle me disait ? qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries ! De purs frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, vomir et baver. Je ne connais pas un homme qui supporte cette gêne.

Pour "llantos", je mettrais bien "pleurnicher". Et pour "esa vaina", j'irais bien jusqu'à "ces/de tels emmerdes". Ce serait bien le style de don!

Tradabordo a dit…

La chola feint [je ne trouve pas cela très naturel ; une autre idée] une moue sévère :
- Ne [supprime] sois pas con [ou « fais pas le con », pour éviter la répétition d'être ?] ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous, des mères qui les ont mis au monde [il faut relire pour comprendre ; trouve une manière plus explicite d'exprimer cela] ; [point ; en général, pas de point-virgule dans les dialogues] tu sais ce qu'elle me disait [ou « sortait » ?] ? qu'ils [majuscule] étaient un cadeau de l'amour. Des conneries [cheville : « , oui »] ! De purs [mal dit] frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, [répète les « à » ; c'est fait exprès] vomir et baver. Je ne [supprime] connais pas un homme qui supporte cette gêne [pas dans le sens de « déveine » ?].

Sabrina a dit…

La chola prend une moue faussement sévère :
- Sois pas con ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Un vrai coût, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte cette poisse.

J'ai préféré laisser "Sois pas con".

Tradabordo a dit…

La chola prend [ou simplement « a » ?] une moue faussement sévère :
- Sois pas con ; ce sont tes enfants, don [donc là, « sois » + « sont » – deux verbes « être » ; sûre ????? ;-) Cela dit, c'est comme tu veux].
- Les enfants sont [hop, encore un] toujours de vous [cheville : « , vous, » ?] les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Un vrai [« Rien que » ?] coût, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte cette poisse.

Sabrina a dit…

Message reçu: trop de "être" tue le "être" ;)!
Je n'aime pas trop le simple "a". Je tente autre chose... Peut-être pire ;)!

La chola, d'une moue faussement sévère :
- Fais pas le con ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous, vous, les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Rien que des frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte cette poisse.

Tradabordo a dit…

La chola, d' [ah non… ça va pas ; « affiche » ?] une moue faussement sévère :
- Fais pas le con ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous, vous, les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Rien que des frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte cette poisse [« une poisse pareille » ?].

Sabrina a dit…

Ouiiii aux 2 :). J'adhère!

La chola affiche une moue faussement sévère :
- Fais pas le con ; ce sont tes enfants, don.
- Les enfants sont toujours de vous, vous, les mères qui les ont mis au monde. Tu sais ce qu'elle me sortait ? Qu'ils étaient un cadeau de l'amour. Des conneries, oui ! Rien que des frais, des nuits entières à tousser, à pleurer, à vomir et à baver. Je connais pas un homme qui supporte une poisse pareille.