Es lógico, dice Fireman, los datos son entes muertos. El abono para algo que sí tiene vida. Durante mis seis meses de trabajo con Fireman, debo haber visto a no más de cuatro periodistas en nuestra oficina. (Fireman la llamaba Unidad, como si estuviéramos en el FBI).
Traduction temporaire :
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, lui, est pour quelque chose de bien vivant. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, lui, est pour quelque chose de bien vivant. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
12 commentaires:
J'ai voulu éviter de répéter « travail » et « bureau » :
C'est logique – assure Fireman, les données sont lettre morte. L'abonnement, lui, pour quelque chose qui vit. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI.
C'est [nécessaire ?] logique – assure Fireman, les données sont lettre morte [peu compréhensible ; un moyen d'expliciter ?]. L'abonnement, lui, pour quelque chose qui vit [sens ?]. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI [pourquoi tu as supprimé la parenthèse ?].
Logique – assure Fireman, les données ne sont pas prises en compte. Or, on s'abonne à quelque chose d'actif. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données ne sont pas prises en compte [mais pourquoi tu ne traduis pas littéralement ?]. Or, on s'abonne à quelque chose d'actif. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. Or, on s'abonne à quelque chose d'actif. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. Or, on s'abonne à quelque chose d'actif [reviens à la V.O. ; d'autant qu'on comprendra mieux avec « entités mortes »]. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, quelque chose qui vit. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman –, les données sont des entités mortes. L'abonnement, [et la « para » ?] quelque chose qui vit. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, pour quelque chose qui vit. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, pour quelque chose qui vit [dans cette phrase, tu ne rends pas la nuance contenue dans le « sí »]. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement lui, est pour quelque chose de bien vivant. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
Logique – assure Fireman, les données sont des entités mortes. L'abonnement, lui, est pour quelque chose de bien vivant. Pendant les six mois où j'ai collaboré avec Fireman, j'ai dû voir au maximum quatre journalistes dans nos locaux (que Fireman appelaient Unité, comme si on était au FBI).
OK.
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