lundi 6 mai 2013

Projet Pascaline – phrases 41-42

No me dio tiempo a nada. Qué extraño fue sentir el golpe sin dolor alguno, adormilarse y saber que por fin todo ha terminado; claro que no del todo, sino esa falsa rubia no podría haberme traído de vuelta.

Traduction temporaire :
Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

13 commentaires:

calou a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Ce fut très étrange de sentir le coup sans aucune douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout, bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

Tradabordo a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout [ou « complètement » ?], bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

calou a dit…

Je ne comprends pas ton conseil pour la deuxième phrase, à moi d'avoir la tête dans le chou !

Tradabordo a dit…

Quelle partie ?

calou a dit…

Je n'ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici : c'est à dire ?] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur

Tradabordo a dit…

Je n'ai eu le temps de rien. Ce fut très [est-ce que tout cela est nécessaire ?] étrange de sentir [tu mettrais le temps ici : c'est à dire ?] le coup sans [verbe-cheville : « ressentir » ou un truc comme ça ?] aucune douleur.

Je te propose – ce sera plus simple et tu verras ce que tu en penses :

Je n'ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur

calou a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Etrange de sentir le coup sans la moindre douleur, s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout, bien sûr, autrement, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

Tradabordo a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, [« de » ?] s’assoupir et savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas tout [« no del todo » = « pas totalement » ?], bien sûr, autrement [« sinon » ?], cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

calou a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

Tradabordo a dit…

Je n’ai eu le temps de rien. Étrange de sentir le coup sans la moindre douleur, de s’assoupir et de savoir qu’enfin, tout est terminé ; pas complètement, bien sûr, sinon, cette fausse blonde n’aurait pas pu me faire revenir.

OK.

Tradabordo a dit…

Mets-moi les phrases suivantes ici.

calou a dit…

—Usted y su marido no se llevaban bien. —oigo decir a la mujer de uñas rojas mientras se acomoda el pañuelo que sostiene su cabello teñido.

Tradabordo a dit…

OK… Là, je raccroche les wagons. Je te mets la suite dans un post.