samedi 11 mai 2013

Projet Pascaline – phrases 46-48

—Bueno, bueno: me debe cien pesos, señora.
—¿Por cinco minutos?
—Claro, pero ahora sabe dónde escondió él la platita, ¿eh?

Traduction temporaire :
— Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
— Pour cinq minutes ?
— Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

7 commentaires:

calou a dit…

- Bien, bien : vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Evidemment ; mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

Tradabordo a dit…

- Bien, bien : [pas de deux points dans les dialogues + sûre que « bien » soit le plus adapté ici ?] vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Evidemment [naturel ?] ; [pas de « ; » dans les dialogues] mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

calou a dit…

- Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Et comment ! Mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

Tradabordo a dit…

- Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Et comment [« absolument » ?] ! Mais [« sauf que » ?] maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

Tradabordo a dit…

- Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Et comment [« absolument » ?] ! Mais [« sauf que » ?] maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

calou a dit…

- Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

Tradabordo a dit…

- Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
- Pour cinq minutes ?
- Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

OK.