Aquella había sido una noche muy larga. Íbamos subiendo por la ladera confiados en el blindaje de nuestros vehículos y en el número de nosotros y en el armamento que llevábamos, cuando oímos los disparos.
Traduction temporaire :
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
20 commentaires:
Cette nuit-là avait été très longue. On remontait le versant, sûrs du blindage de nos véhicules, de notre nombre d'hommes et de l'armement que nous emmenions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
Cette nuit-là avait été très longue [ou simplement : « La nuit avait été très longue » ?]. On remontait le versant, sûrs du [« nous reposons sur » ?] blindage de nos véhicules, de notre nombre d'hommes et de l'armement que nous emmenions [incorrect], lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. On remontait le versant, confiants dans le blindage de nos véhicules, dans notre nombre et dans l’armement que nous transportions, lorsqu’on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. On remontait le versant et nous reposions sur le blindage de nos véhicules, sur notre nombre d'hommes et de l'armement que nous amenions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. On remontait [avec « nous »] le versant et nous reposions [« , nous reposant sur » ?] sur le blindage de nos véhicules, sur notre nombre [mal dit] d'hommes et de [?] l'armement que nous amenions [incorrect], lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions le versant, nous reposant sur le blindage de nos véhicules, sur notre quantité d'hommes et sur l'armement que nous amenions avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions le versant, nous reposant [bon, ça ne va pas marcher avec la suite… Passe par « confiants grâce »] sur le blindage de nos véhicules, sur notre quantité d'hommes et sur l'armement que nous amenions avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions le versant, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre quantité d'hommes et grâce à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions le versant [au fait, est-ce qu'une trad littérale ne serait pas mieux… je ne sais pas…………], confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre quantité [ça ne va pas] d'hommes et grâce à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous étions en train de remonter le versant, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif d'hommes et grâce à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous étions en train de remonter le versant [tu n'as pas répondu à mon commentaire précédent concernant ce point], confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif d'[« en »] hommes et grâce [besoin de répéter ?] à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
OK.
Céline ?
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions [ou « transportions » ?], lorsqu'on a entendu des coups de feu.
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions [ou « transportions » ?], lorsqu'on a entendu des coups de feu.
OK avec « transportions ».
Sonita ?
Oui, je veux bien mais, avec "transporter" n'a-t-on pas l'impression que ces armes-là ne leur appartiennent pas ?
Pas faux… Le mieux est sans doute de s'en tenir à « avoir ».
Céline ?
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
OK
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
OK
La nuit avait été très longue. Nous remontions la côte, confiants grâce au blindage de nos véhicules, à notre effectif en hommes et à l'armement que nous avions, lorsqu'on a entendu des coups de feu.
OK.
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