— Ya termino, «Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen.», que se traduciría como: «No está muerto lo que eternamente vuelve. Y con el paso de los milenios, cuando las tres mortales derroten a la muerte, liberarán de su exilio a los seres primigenios para que vivan otra vez con los humanos.» Son sólo leyendas, lo que debemos averiguar es dónde estamos, eso es lo que debería preocuparnos.
Traduction temporaire :
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien d'autre que des légendes. Ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien d'autre que des légendes. Ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
8 commentaires:
— Je termine, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. » qui se traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil, afin qu'ils vivent encore une fois avec les humains. » Ce ne sont que des légendes, ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je termine [« finis » ?], « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qui se [ou « qu'on » ?] traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil, [j'hésite sur cette virgule] afin qu'ils vivent encore une fois [« de nouveau » ?] avec les humains. » Ce ne sont que des légendes, ce [une autre construction ; tu as déjà commencé la phrase comme ça] que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien de plus que des légendes, ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien de plus [« d'autre » ?] que des légendes, [point ?] ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien d'autre que des légendes. Ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec les humains. » Rien d'autre que des légendes. Ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
OK.
Manon ?
Juste une suggestion :
— Je finis, « Betidanik, unero behin etortzen dena ez dago hilik. Eta urteak joanala, heriotza menderatuz, hiru hilkorek izaki jatorrizkoak askatuko dituzte herbestetik, berriro gizakien artean bizi daitezen. », qu'on traduirait par : « Ce qui revient éternellement n'est pas mort. Et avec le passage des millénaires, lorsque les trois mortelles vaincront la mort, elles libéreront les êtres primitifs de leur exil afin qu'ils vivent de nouveau avec [parmi ?] les humains. » Rien d'autre que des légendes. Ce que nous devons découvrir, c'est où nous sommes ; voilà de quoi nous devrions nous préoccuper.
Oui… OK. Comme je ne pense pas qu'Elise y verra d'inconvénient, j'enregistre ; je n'aime pas beaucoup avoir des tas de phrases en arrière – j'ai peur d'en oublier.
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