lundi 5 août 2013

Projet Élodie – phrases 10-11

Ella se alejaba, se alejaba, y él acudía a espiarla en secreto a la salida del trabajo, soportando la humillación de verla aparecer rodeada de hombres. Una noche, desesperado, le dijo que la necesitaba, y ella se echó a reír con una mueca descreída.

Traduction temporaire :
Elle s'éloignait, s'éloignait, et lui, il allait jusqu'à l'espionner en secret à la sortie de son travail, supportant l’humiliation de la voir apparaître entourée d'hommes. Quand un soir, désespéré, il lui déclara qu'il avait besoin d'elle, elle se mit à rire, affichant une moue sceptique.

3 commentaires:

Elodie a dit…

Elle s'éloignait, s'éloignait, et lui, il allait jusqu'à à l'espionner en secret à la sortie du travail, supportant l’humiliation de la voir apparaître entourée d'hommes. Un soir, désespéré, il lui dit qu'il avait besoin d'elle et elle se mit à rire avec une moue de quelqu'un qui n'y croit pas.

Tradabordo a dit…

Elle s'éloignait, s'éloignait, et lui, il allait jusqu'à l'espionner en secret à la sortie du [ou « de son » ?] travail, supportant l’humiliation de la voir apparaître entourée d'hommes.
ok.

Un soir, désespéré, il lui dit qu'il avait besoin d'elle et elle se mit à rire avec une moue de quelqu'un qui n'y croit pas.
Je te propose :
Quand un soir, désespéré, il lui déclara qu'il avait besoin d'elle, elle se mit à rire, affichant la moue sceptique.

OK ?

Elodie a dit…

Elle s'éloignait, s'éloignait, et lui, il allait jusqu'à l'espionner en secret à la sortie de son travail, supportant l’humiliation de la voir apparaître entourée d'hommes. Quand un soir, désespéré, il lui déclara qu'il avait besoin d'elle, elle se mit à rire, affichant une moue sceptique.

OK, j'ai juste changé "une moue sceptique".