Un corta-tendones afilado hasta la saciedad… las venas de su piel saltaron a chorros, salpicando los azulejos brillantes. Charcos de sangre que le hicieron brotar la felicidad completa de lo anormal en su leve sonrisa. Sonrisa de cara clara, ahora y siempre liberada del mortal veneno del tedio.
Traduction temporaire :
Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines sur sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormalité dans son léger sourire. Sourire de visage dégagé, à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines sur sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormalité dans son léger sourire. Sourire de visage dégagé, à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
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Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines de sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormal sur son léger sourire. Sourire de visage clair, à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines de [ou « sur » ?] sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormal [ou « anormalité » ?] sur [« dans » ?] son léger sourire. Sourire de visage clair [« dégagé » ?], à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines sur sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormalité dans son léger sourire. Sourire de visage dégagé, à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
Un coupe-tendons aiguisé jusqu’à satiété… Les veines sur sa peau giclèrent à flots, éclaboussant les carreaux brillants. Flaques de sang qui firent jaillir le bonheur total de l’anormalité dans son léger sourire. Sourire de visage dégagé, à présent et à jamais libéré du poison mortel de l’ennui.
OK.
Maintenant, tu peux aller chercher ton texte… bien relire (assure-toi qu'il ne manque rien !) et envoie quand c'est prêt.
OK !
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