samedi 29 novembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 233-239


Era un bosque que desesperado se arrastraba desde la nada hacia el interior del colegio. La pizarra sucia le insinuó que escribiera sobre ella alguna palabra pero Aliaksei sintió miedo. En esa ciudad, no se escuchaba nada. El silencio lo rodeaba sin dar rastros. Se metía por la ventana como un animal ciego, estrellándose contra todo lo que encontraba: muebles, muros, sillas, mapas, hasta que alcanzó el cuerpo de Aliaksei. Entonces, se metió por su piel y retumbó contra su corazón. Fue lo único que pudo escuchar en ese cuarto.

Traduction temporaire :
C’était un bois désespéré qui rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale était comme une invitation à y écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur – le seul bruit qu’il parvint à entendre dans cette chambre.

6 commentaires:

Hélène a dit…

C’était un bois qui, en désespoir de cause, rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale lui suggéra d’écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur. Ce bruit fut le seul qu'il parvint à entendre dans cette chambre.

Tradabordo a dit…

C’était un bois qui, en désespoir de cause [le même sens ?], rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale lui suggéra d’écrire [naturel ?] un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur. Ce bruit fut [nécessaire ? Le cas échéant, relie les deux phrases par un tiret] le seul qu'il parvint à entendre dans cette chambre.

Hélène a dit…

C’était un bois désespéré qui rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale l’invita à écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur – le seul bruit qu’il parvint à entendre dans cette chambre.

Tradabordo a dit…

C’était un bois désespéré qui rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale l’invita [« était comme une invitation à y » ?] à écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur – le seul bruit qu’il parvint à entendre dans cette chambre.

Hélène a dit…

C’était un bois désespéré qui rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale était comme une invitation à y écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur – le seul bruit qu’il parvint à entendre dans cette chambre.

Tradabordo a dit…

C’était un bois désespéré qui rampait depuis le néant vers l’intérieur de l’école. Le tableau sale était comme une invitation à y écrire un mot, mais Aliaksei prit peur. Dans cette ville, on n’entendait rien. Le silence l’entourait sans laisser de trace. Il s’introduisait par la fenêtre, tel un animal aveugle, percutant tout ce qui se dressait sur son passage : meubles, murs, chaises, plans, jusqu’à ce qu’il heurte le corps d’Aliaksei. Il pénétra alors sa peau et résonna tout contre son cœur – le seul bruit qu’il parvint à entendre dans cette chambre.

OK.