mardi 20 janvier 2015

Projet Morgane 12 – phrase 122

El Quemado fue el que te pateó en el piso pero no te preocupes que ya lo jodieron, agregó Abraham poniendo su mano debajo del helado para no ensuciar el piso, los gorilas que cuidan al viejo de Penélope (no lo digas porque nadie lo sabe pero yo sí), hizo una ligera mueca de satisfacción, lo metieron de los pelos a un auto y se la picaron, dos días y nada, su viejo hasta puso denuncia y todo pero nadie sabía muy bien qué pasaba; decían que era una banda de narcos de Punta Hermosa y luego, al tercer día, como si nada hubiera pasado, el Quemado llega caminando a la playa con su tabla y dice que se había ido a Lima un toque, que todo era un malentendido pero ya estaba arreglado, y está como medio tarugo murmura la gente que no le cree ni un carajo, y cuando se cruza por la calle con Abraham o Penélope baja la cabeza o cambia sutilmente de acera para no encararlos.

Traduction temporaire :
C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope l'ont niqué (le répète pas, personne n'est au courant à part moi), ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol. Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont attrapé par les cheveux, jeté dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa, et, le troisième jour, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche, mine de rien, et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé. Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

28 commentaires:

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a donné des coups de pieds quand tu étais par terre, mais ne t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (ne le dis pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupé pendant deux jours, puis plus rien. Son père a même porté plainte et tout, mais personne ne sait vraiment ce qu'il s'est passé ; ils ont dit qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, comme si de rien n'était, le Cramé est arrivé en marchant sur la plage avec sa planche et il a expliqué qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant c'est arrangé. Mais il est à moitié abruti, murmure les gens qui ne le croient pas pour un sou, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change tranquillement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

Faisons d'abord le début.

C'est le Cramé qui t'a donné [« filé » ? Ça dépend du registre que tu penses qu'il convient d'adopter] des coups de pieds quand tu étais par terre, mais ne [nécessaire ?] t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (ne [nécessaire ?] le dis pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction.

OK. Tu peux mettre la suite.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupé pendant deux jours, puis plus rien. Son père a même porté plainte et tout, mais personne ne sait vraiment ce qu'il s'est passé ; ils ont dit qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, comme si de rien n'était, le Cramé est arrivé en marchant sur la plage avec sa planche et il a expliqué qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant c'est arrangé. Mais il est à moitié abruti, murmure les gens qui ne le croient pas pour un sou, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change tranquillement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupé [grammaire] pendant deux jours, puis plus rien. Son père a même porté plainte et tout, mais personne ne sait [temps] vraiment ce qu'il s'est passé [temps] ; ils ont dit [temps ?] qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, comme si de rien n'était, le Cramé est arrivé en marchant [« s'est pointé » ?] sur la plage avec sa planche et il a expliqué [temps ?] qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant c'est arrangé [temps ?].

Faisons ça.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis plus rien. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, comme si de rien n'était, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par [« à » ? Ça dépend : figuré ou propre ? Je finis par oublier] terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère grimace [« moue » ?] de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis plus rien. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, comme si de rien [on a déjà un « rien » avant ; une solution ?] n'était, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.

OK.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmure les gens qui ne le croient pas pour un sou, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change tranquillement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

[Il manque la dernière phrase dans ce que tu as validé !]

Tradabordo a dit…

OK. Tu me feras signe à la phrase d'après, le moment venu.

Mais il est à moitié abruti, murmure les gens qui ne le croient pas pour un sou, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change tranquillement [FS] de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmure les gens qui ne le croient pas pour un sou, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change subtilement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmure [grammaire] les gens qui ne le croient pas pour un sou [pas du tout naturel ;-)], et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change subtilement [« discrètement » / « l'air de rien », etc.] de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne le croient pas du tout, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne le croient pas du tout [qd même une perte d'un point de vue du registre], et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne le croient vraiment pas, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne le croient vraiment pas [le ton, c'est le rapport avec « carajo »], et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne le croient vraiment pas [le ton, c'est le rapport avec « carajo » // J'avais compris, mais je ne trouve rien en français qui ressemblerait à "pas pour un sou" en plus familier !], et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

carajo = putain

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui n'en croient pas un mot, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, ils l'ont niqué, ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol, les gorilles [ou alors tout ça à la place du « ils » ? Essaie] qui protègent le vieux de Penélope (le répète pas, personne n'est au courant à part moi). Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope l'ont niqué (le répète pas, personne n'est au courant à part moi), ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol. Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa et, le troisième jour, mine de rien, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope l'ont niqué (le répète pas, personne n'est au courant à part moi), ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol. Il fit [ou avec « avoir » ? Vérifie la fréquence d'usage…] une légère moue de satisfaction. Ils l'ont jeté par [bizarre, jeter PAR les cheveux] les cheveux dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa [virgule] et, le troisième jour, mine de rien [mets-le après], le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Unknown a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope l'ont niqué (le répète pas, personne n'est au courant à part moi), ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol. Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont attrapé par les cheveux, jeté dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa, et, le troisième jour, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche, mine de rien, et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

Tradabordo a dit…

C'est le Cramé qui t'a flanqué des coups de pieds quand tu étais par terre, mais t'inquiète pas, les gorilles qui protègent le vieux de Penélope l'ont niqué (le répète pas, personne n'est au courant à part moi), ajouta Abraham en plaçant ses mains sous la glace pour ne pas salir le sol. Il fit une légère moue de satisfaction. Ils l'ont attrapé par les cheveux, jeté dans une voiture et ils s'en sont occupés pendant deux jours, puis ils l'ont laissé tranquille. Son père a même porté plainte et tout, mais personne n'a vraiment su ce qu'il s'était passé ; ils disaient qu'ils appartenaient à une bande de narcotrafiquants du quartier de Punta Hermosa, et, le troisième jour, le Cramé se pointe sur la plage avec sa planche, mine de rien, et explique qu'il était parti quelques jours à Lima, que c'était un malentendu, maintenant arrangé.
Mais il est à moitié abruti, murmurent les gens qui ne croient pas un mot de son délire, et quand il croise Abraham ou Penélope dans la rue, il baisse la tête ou change discrètement de trottoir pour ne pas se retrouver face à eux.

OK.

Tradabordo a dit…

La suite est déjà en ligne.