El Día de muertos c'est une véritable institution au Mexique. La mort est tournée en dérision au moyen des fameuses "calaveras"-vers en rimes qui se moquent de la mort.- C'est aussi l'occasion pour les journalistes d'écrire des calaveras satiriques qui critiquent le système politique mexicain... Ce jour-là, les mexicains ne pleurent pas leurs morts, ils leur rendent un hommage très touchant en construisant des autels décorés avec la fleur des morts, cempasúchil , mot d'origine náhuatl qui signifie "vingt fleurs". Il y en a partout dans chaque ville! Il est coutume d'y mettre une photo du mort ainsi que les choses qu'il aimait quand il était en vie. Coca, cigarettes, tequila, pan de muerto, mole, tamales.... pour ne citer que quelques unes de ces offrandes. Voici, une petite "calavera" que j'ai écrite, petit exercice d'écriture pas vraiment facile quand le mexicain n'est pas notre langue maternelle! *********
la ola venía furiosa desencadenada y con prisa y Charlito le dijo hermosa desafiándola con su sonrisa
Charlito le pegaba con belleza y se escaqueaba de la guadaña con tremenda destreza le penetraba las entrañas
disgustada la huesuda cabizbaja y avergonzada se puso bien ruda gritándole su muerte trazada
"me vale madre!" exclamaba Charlito colgado en su of the lip "no será esta tarde!"
desde la playa lo admiraba Sonita, ya bien bronceadita, su técnica sin fallas
Charlito cabalgando su tabla al tubo entró cuando de repente resbalda y no más salió la calaca se lo llevó
Sonita desesperada sin su amor haz con la muerte un pacto de seguirla sin temor para al lado de Charlito estar, lo decide sin vacilar así se hace el trato.
La muerte, cortés acepta con tal que Sonita le enseñe francés allá por la Barrita.
******* * ce serait sympa comme exercice d'écriture, non? mais en espagnol, bien sûr!
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El Día de muertos c'est une véritable institution au Mexique. La mort est tournée en dérision au moyen des fameuses "calaveras"-vers en rimes qui se moquent de la mort.- C'est aussi l'occasion pour les journalistes d'écrire des calaveras satiriques qui critiquent le système politique mexicain...
Ce jour-là, les mexicains ne pleurent pas leurs morts, ils leur rendent un hommage très touchant en construisant des autels décorés avec la fleur des morts, cempasúchil , mot d'origine náhuatl qui signifie "vingt fleurs". Il y en a partout dans chaque ville! Il est coutume d'y mettre une photo du mort ainsi que les choses qu'il aimait quand il était en vie. Coca, cigarettes, tequila, pan de muerto, mole, tamales.... pour ne citer que quelques unes de ces offrandes.
Voici, une petite "calavera" que j'ai écrite, petit exercice d'écriture pas vraiment facile quand le mexicain n'est pas notre langue maternelle!
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la ola venía furiosa
desencadenada y con prisa
y Charlito le dijo hermosa
desafiándola con su sonrisa
Charlito le pegaba con belleza
y se escaqueaba de la guadaña
con tremenda destreza
le penetraba las entrañas
disgustada la huesuda
cabizbaja y avergonzada
se puso bien ruda
gritándole su muerte trazada
"me vale madre!"
exclamaba Charlito
colgado en su of the lip
"no será esta tarde!"
desde la playa
lo admiraba Sonita,
ya bien bronceadita,
su técnica sin fallas
Charlito cabalgando su tabla
al tubo entró
cuando de repente resbalda
y no más salió
la calaca se lo llevó
Sonita desesperada sin su amor
haz con la muerte un pacto
de seguirla sin temor
para al lado de Charlito estar,
lo decide sin vacilar
así se hace el trato.
La muerte, cortés
acepta con tal que Sonita
le enseñe francés
allá por la Barrita.
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* ce serait sympa comme exercice d'écriture, non? mais en espagnol, bien sûr!
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