****
Amélie :
[petite introduction explicative :
Mercredi, en stylistique, nous avions un exercice à faire : nous devions écrire quelques lignes autour de la description d'un escargot, en utilisant le plus de mots possibles contenant les phonèmes du mot "escargot". J'ai travaillé de la même manière, en changeant d'animal.]
Rhinocéros
nm (ri-no-sé-ros')
1.Grand quadrupède sauvage portant une ou deux cornes sur le nez, genre de l'ordre des pachydermes. Après l'éléphant, le rhinocéros est le plus puissant des animaux quadrupèdes. [Buffon, Quadrupèdes] Le rhinocéros qui arriva à Londres en 1739, avait été envoyé de Bengale ; quoique très jeune, puisqu'il n'avait que deux ans, les frais de sa nourriture et de son voyage montaient à près de mille livres sterling. [Buffon, ib. t. IV, p. 334] Ils [les anciens] connaissaient les rhinocéros à deux cornes, que l'Europe moderne n'a point vus vivants. [Cuvier, Révolutions, p. 72]
2.Au rhinocéros, sorte de coiffure des petits-maîtres, dans le XVIIIe siècle. Mon Dieu ! que je fus aise quand j'appris que le théâtre était purgé de blanc-poudrés coiffés au rhinocéros et à l'oiseau royal ! [Voltaire, Correspondance]
Coléoptère de la famille des lamellicornes ; le mâle porte sur le front une corne qui manque à la femelle.
Ras le bol des préjugés du Robert et du Littré ! Qui s’écria un jour : « Rhinocéros, bestiole solitaire et féroce ! » ? Que nenni !
Notre corne n’est rien sinon pure coquetterie, un accessoire assez classique, qui nous sied à ravir. Ceci – que dis-je, cela – sert à se protéger les soirs d’hiver ; c’est que nous sommes sensibles aux rhinopharyngites. Les éternuements, non merci !
Et puis, il est erroné de penser que nous nous nourrissons d’herbe, quelle idée ! Vous aimeriez ? Riz, noix, cornichons, raviolis, saucisses, surimis, purée, fruits et royal cheese, nous aussi on y a accès, non mais qu’est-ce que vous croyez ? Ça m’énerve cette discrimination alimentaire… Hier, noces d’argent du frère, repas gastronomique : « Chérie, passe-moi une écrevisse ! ».
Si nous préférons les ruisseaux brouillasseux à la piscine, c’est parce que ces immersions infinies sont sensées entretenir la cuirasse de notre peau, encore plus si on se sert de la brosse. Je ne suis pas sûr que ça fonctionne, la mienne est très sèche ces temps-ci ! Mais pour nos mini vibrisses, c’est sensas’, elles en ressortent nickels !
Et j’en passe…
Je reconnais qu’il est difficile de se faire une idée réaliste de notre vie, notamment à cause de notre position délicate d’espèce protégée ; il ne faut pas que nous dévoilions notre mode de fonctionnement pour ne pas être ennuyés. J’espère que ces informations supplémentaires feront la différence dans votre esprit. Riez, riez…Si vous saviez !
Source : Dictionnaire Littré, http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/
[petite introduction explicative :
Mercredi, en stylistique, nous avions un exercice à faire : nous devions écrire quelques lignes autour de la description d'un escargot, en utilisant le plus de mots possibles contenant les phonèmes du mot "escargot". J'ai travaillé de la même manière, en changeant d'animal.]
Rhinocéros
nm (ri-no-sé-ros')
1.Grand quadrupède sauvage portant une ou deux cornes sur le nez, genre de l'ordre des pachydermes. Après l'éléphant, le rhinocéros est le plus puissant des animaux quadrupèdes. [Buffon, Quadrupèdes] Le rhinocéros qui arriva à Londres en 1739, avait été envoyé de Bengale ; quoique très jeune, puisqu'il n'avait que deux ans, les frais de sa nourriture et de son voyage montaient à près de mille livres sterling. [Buffon, ib. t. IV, p. 334] Ils [les anciens] connaissaient les rhinocéros à deux cornes, que l'Europe moderne n'a point vus vivants. [Cuvier, Révolutions, p. 72]
2.Au rhinocéros, sorte de coiffure des petits-maîtres, dans le XVIIIe siècle. Mon Dieu ! que je fus aise quand j'appris que le théâtre était purgé de blanc-poudrés coiffés au rhinocéros et à l'oiseau royal ! [Voltaire, Correspondance]
Coléoptère de la famille des lamellicornes ; le mâle porte sur le front une corne qui manque à la femelle.
Ras le bol des préjugés du Robert et du Littré ! Qui s’écria un jour : « Rhinocéros, bestiole solitaire et féroce ! » ? Que nenni !
Notre corne n’est rien sinon pure coquetterie, un accessoire assez classique, qui nous sied à ravir. Ceci – que dis-je, cela – sert à se protéger les soirs d’hiver ; c’est que nous sommes sensibles aux rhinopharyngites. Les éternuements, non merci !
Et puis, il est erroné de penser que nous nous nourrissons d’herbe, quelle idée ! Vous aimeriez ? Riz, noix, cornichons, raviolis, saucisses, surimis, purée, fruits et royal cheese, nous aussi on y a accès, non mais qu’est-ce que vous croyez ? Ça m’énerve cette discrimination alimentaire… Hier, noces d’argent du frère, repas gastronomique : « Chérie, passe-moi une écrevisse ! ».
Si nous préférons les ruisseaux brouillasseux à la piscine, c’est parce que ces immersions infinies sont sensées entretenir la cuirasse de notre peau, encore plus si on se sert de la brosse. Je ne suis pas sûr que ça fonctionne, la mienne est très sèche ces temps-ci ! Mais pour nos mini vibrisses, c’est sensas’, elles en ressortent nickels !
Et j’en passe…
Je reconnais qu’il est difficile de se faire une idée réaliste de notre vie, notamment à cause de notre position délicate d’espèce protégée ; il ne faut pas que nous dévoilions notre mode de fonctionnement pour ne pas être ennuyés. J’espère que ces informations supplémentaires feront la différence dans votre esprit. Riez, riez…Si vous saviez !
Source : Dictionnaire Littré, http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/
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Coralie
En photo : prise d'otages, par cpsh*
« Mesdames, messieurs, une information des plus insolites vient de nous parvenir : nous apprenons à l'instant l'enlèvement de l'équipe de France de football. Il ne s'agit pas d'un canular, les ravisseurs, ou plutôt ravisseuses, ont adressé aux autorités une vidéo pour expliquer leur action. Ces dames expriment leur lassitude face, je cite, aux si mauvais résultats de nos Bleus. Elles ne supportent plus, en effet, que leurs maris les délaissent pour « s'extasier devant ces piètres sportifs ». Leur leader affirme qu'elles tolèreraient certainement la passion de leurs chers et tendres si le spectacle se révélait à la hauteur de toutes les espérances... Mais nous nous devons d'avouer que, depuis la dernière coupe du monde, ce n'est plus le cas. Les kidnappeuses ont déclarer qu'elles ne relâcheraient leurs otages qu'une fois qu'ils seraient capables de susciter le respect et l'admiration des spectateurs, amateurs de football ou non. D'autre part, elles demandent aux proches des joueurs de se rassurer : aucune rançon ne sera exigée et ces messieurs ne subiront aucun mauvais traitement. Ils seront simplement soumis à un entrainement quotidien intensif jusqu'à ce qu'ils retrouvent leur niveau exceptionnel. Ils pourront ainsi enfin justifier leurs salaires astronomiques... À l'annonce de la nouvelle, le chef du gouvernement a condamné cet acte, le qualifiant d'illégal et allant à l'encontre des droits de l'Homme, mais il a tout de même concédé que ce pourrait être là une des meilleures solutions...
Nous pouvons à présent, chers téléspectateurs, clore cette édition. Merci de votre fidélité.
En photo : prise d'otages, par cpsh*
« Mesdames, messieurs, une information des plus insolites vient de nous parvenir : nous apprenons à l'instant l'enlèvement de l'équipe de France de football. Il ne s'agit pas d'un canular, les ravisseurs, ou plutôt ravisseuses, ont adressé aux autorités une vidéo pour expliquer leur action. Ces dames expriment leur lassitude face, je cite, aux si mauvais résultats de nos Bleus. Elles ne supportent plus, en effet, que leurs maris les délaissent pour « s'extasier devant ces piètres sportifs ». Leur leader affirme qu'elles tolèreraient certainement la passion de leurs chers et tendres si le spectacle se révélait à la hauteur de toutes les espérances... Mais nous nous devons d'avouer que, depuis la dernière coupe du monde, ce n'est plus le cas. Les kidnappeuses ont déclarer qu'elles ne relâcheraient leurs otages qu'une fois qu'ils seraient capables de susciter le respect et l'admiration des spectateurs, amateurs de football ou non. D'autre part, elles demandent aux proches des joueurs de se rassurer : aucune rançon ne sera exigée et ces messieurs ne subiront aucun mauvais traitement. Ils seront simplement soumis à un entrainement quotidien intensif jusqu'à ce qu'ils retrouvent leur niveau exceptionnel. Ils pourront ainsi enfin justifier leurs salaires astronomiques... À l'annonce de la nouvelle, le chef du gouvernement a condamné cet acte, le qualifiant d'illégal et allant à l'encontre des droits de l'Homme, mais il a tout de même concédé que ce pourrait être là une des meilleures solutions...
Nous pouvons à présent, chers téléspectateurs, clore cette édition. Merci de votre fidélité.
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Chloé
En photo : Voila comment on fait les bébés, par aSeed
Thomas jouait distraitement dans sa chambre. S’il n’était pas concentré sur ses Legos, c’est que quelque chose le tracassait. Hier, à l’école, ses camarades s’étaient moqués de lui, car il n’avait pas su répondre à LA question. Tous les garçons en parlaient à la récré : comment on fait les bébés ? Bien sûr, ce sujet lui avait déjà trotté dans la tête, et il avait plusieurs fois cherché des informations auprès de ses parents. Ces derniers lui disaient toujours qu’il comprendrait quand il serait plus grand. Thomas avait donc patiemment attendu, mais cette année, il avait eu 6 ans. Soudain, il se détourna des petites briques, résolu à réclamer la vérité. Il se dirigea d’un pas décidé vers le salon où son père lisait tranquillement le journal.
— Dis Papa, comment on fait les bébés ?
Celui-ci le considéra un instant avant de répondre :
— Je suis occupé, là, alors va voir ta mère.
Thomas n’insista pas et alla tenter sa chance dans la cuisine.
— Maman, j’ai demandé à Papa comment on faisait les bébés et il m’a dit de venir te voir. Alors maintenant, ça suffit ! Je veux savoir !
La mère de Thomas, excédée par l’attitude de son mari, leva les yeux aux ciel tout en marmonnant quelques reproches à son encontre.
— Et cette fois, je veux la vraie histoire, pas celle des choux !
— Bon d’accord, assieds-toi, mon cœur.
— Parce qu’il y que les petits pour croire que les bébés naissent dans les choux.
— C’est bon, j’ai compris. En fait, tout se passe entre le papa et la maman : quand ils sont très amoureux, ils décident d’avoir un enfant. Dans le ventre des mamans, il y a une grosse graine et…
— Grosse comment ?
— Euh… c’est pas important. Donc, le papa plante toutes ses petites graines dans le ventre de la maman, elles font la course pour atteindre la grosse graine, et la première qui franchit la ligne d’arrivée… Eh ben ça fait un bébé.
— C’est tout ? Mais, comment il fait pour planter les graines dans le ventre ?
— Alors là, mon chéri, je ne sais pas du tout. Comme c’est le rôle de ton père, c’est à lui que tu devrais poser la question.
— Merci Maman. Papaaa, c’est avec quoi que tu plantes tes toutes petites graines dans Maman ?
En photo : Voila comment on fait les bébés, par aSeed
Thomas jouait distraitement dans sa chambre. S’il n’était pas concentré sur ses Legos, c’est que quelque chose le tracassait. Hier, à l’école, ses camarades s’étaient moqués de lui, car il n’avait pas su répondre à LA question. Tous les garçons en parlaient à la récré : comment on fait les bébés ? Bien sûr, ce sujet lui avait déjà trotté dans la tête, et il avait plusieurs fois cherché des informations auprès de ses parents. Ces derniers lui disaient toujours qu’il comprendrait quand il serait plus grand. Thomas avait donc patiemment attendu, mais cette année, il avait eu 6 ans. Soudain, il se détourna des petites briques, résolu à réclamer la vérité. Il se dirigea d’un pas décidé vers le salon où son père lisait tranquillement le journal.
— Dis Papa, comment on fait les bébés ?
Celui-ci le considéra un instant avant de répondre :
— Je suis occupé, là, alors va voir ta mère.
Thomas n’insista pas et alla tenter sa chance dans la cuisine.
— Maman, j’ai demandé à Papa comment on faisait les bébés et il m’a dit de venir te voir. Alors maintenant, ça suffit ! Je veux savoir !
La mère de Thomas, excédée par l’attitude de son mari, leva les yeux aux ciel tout en marmonnant quelques reproches à son encontre.
— Et cette fois, je veux la vraie histoire, pas celle des choux !
— Bon d’accord, assieds-toi, mon cœur.
— Parce qu’il y que les petits pour croire que les bébés naissent dans les choux.
— C’est bon, j’ai compris. En fait, tout se passe entre le papa et la maman : quand ils sont très amoureux, ils décident d’avoir un enfant. Dans le ventre des mamans, il y a une grosse graine et…
— Grosse comment ?
— Euh… c’est pas important. Donc, le papa plante toutes ses petites graines dans le ventre de la maman, elles font la course pour atteindre la grosse graine, et la première qui franchit la ligne d’arrivée… Eh ben ça fait un bébé.
— C’est tout ? Mais, comment il fait pour planter les graines dans le ventre ?
— Alors là, mon chéri, je ne sais pas du tout. Comme c’est le rôle de ton père, c’est à lui que tu devrais poser la question.
— Merci Maman. Papaaa, c’est avec quoi que tu plantes tes toutes petites graines dans Maman ?
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Laëtitia Sw. :
Deux variations – sous forme d’un poème en prose et d’un autre en vers – inspirées d’une scène de La Chute d’Albert Camus (la femme sur le pont).
Une brume rouge coule le long du pont.
L’obscurité pèse sur le rempart et sur le cœur du passant égaré qui cherche en vain à retenir le souffle du vent.
La ville sommeille. Il est seul.
Pas la moindre bribe de vie qui émane de ce sol gris, dur, barbare.
Ses yeux s’envolent par delà le fer luisant du parapet, magnétique.
Le ciel est brouillé : pas d’étoiles, pas de lune ; une ombre criminelle.
L’eau en dessous est un trou noir agité de flots cruels.
La fin, à peine déguisée, murmure.
– Il s’est jeté dans la nuit.
La nuit est douce et s’étouffe
Une chaleur humide se répand
La pièce close est si lourde
Que les murs se gonflent d’épuisement
Pas le moindre souffle d’air pur
Pour rafraîchir la cuisante morsure
De ces ténèbres chargées d’insomnie
Provoquant son sommeil détruit
Se lever, sortir, fuir son vif tourment
Quitter cette maison déraison
Où le sol luisant se confond
Au plafond bas qui oscille en suspens
C’est une lente fatigue qui pèse
Sur les pas du passant sans bruit
La féroce ardeur dont brûlent ses braises
L’a précipité dans la nuit
Le feu dévorant sa vie
A mangé insouciant toute lucidité ;
Mais l’Horloge ne ment jamais
Et indique en riant trois heures accomplies.
Deux variations – sous forme d’un poème en prose et d’un autre en vers – inspirées d’une scène de La Chute d’Albert Camus (la femme sur le pont).
Une brume rouge coule le long du pont.
L’obscurité pèse sur le rempart et sur le cœur du passant égaré qui cherche en vain à retenir le souffle du vent.
La ville sommeille. Il est seul.
Pas la moindre bribe de vie qui émane de ce sol gris, dur, barbare.
Ses yeux s’envolent par delà le fer luisant du parapet, magnétique.
Le ciel est brouillé : pas d’étoiles, pas de lune ; une ombre criminelle.
L’eau en dessous est un trou noir agité de flots cruels.
La fin, à peine déguisée, murmure.
– Il s’est jeté dans la nuit.
La nuit incandescente
La nuit est douce et s’étouffe
Une chaleur humide se répand
La pièce close est si lourde
Que les murs se gonflent d’épuisement
Pas le moindre souffle d’air pur
Pour rafraîchir la cuisante morsure
De ces ténèbres chargées d’insomnie
Provoquant son sommeil détruit
Se lever, sortir, fuir son vif tourment
Quitter cette maison déraison
Où le sol luisant se confond
Au plafond bas qui oscille en suspens
C’est une lente fatigue qui pèse
Sur les pas du passant sans bruit
La féroce ardeur dont brûlent ses braises
L’a précipité dans la nuit
Le feu dévorant sa vie
A mangé insouciant toute lucidité ;
Mais l’Horloge ne ment jamais
Et indique en riant trois heures accomplies.
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Émeline :
[…] Et nous écoutons maintenant Monsieur Montails, coorganisateur du Salon des Ecrivains Rebelles : « Eh bien le Salon se déroulera sur quatre jours, avec des conférences, des ateliers d’écriture, des séances de dédicace et beaucoup d’autre rendez-vous. Nous avons réunis pour cette édition une vingtaine d’auteurs de toutes nationalités ayant bouleversé les règles conventionnelles de la littérature, ainsi que leurs traducteurs qui expliqueront la difficulté de leur travail, due justement à ce non-respect des règles. Mais nous accueillerons aussi des rebelles dénonçant le régime politique de leur pays ou s’attaquant à la religion et qui ont subi la censure et fuit leur pays pour pouvoir publier librement. Ce Salon, comme chaque année, offre donc plusieurs visions de la rébellion dans la littérature, sous une forme stylistique et sous une forme morale. Toutes les informations, le programme, les écrivains sont disponibles sur le site internet du Salons des Ecrivains Rebelles, qui se tiendra du huit au onze avril. »
Merci Monsieur Montails pour cette présentation. Nous passons maintenant aux sorties ciné de la semaine avec Nathalie. […]
[…] Et nous écoutons maintenant Monsieur Montails, coorganisateur du Salon des Ecrivains Rebelles : « Eh bien le Salon se déroulera sur quatre jours, avec des conférences, des ateliers d’écriture, des séances de dédicace et beaucoup d’autre rendez-vous. Nous avons réunis pour cette édition une vingtaine d’auteurs de toutes nationalités ayant bouleversé les règles conventionnelles de la littérature, ainsi que leurs traducteurs qui expliqueront la difficulté de leur travail, due justement à ce non-respect des règles. Mais nous accueillerons aussi des rebelles dénonçant le régime politique de leur pays ou s’attaquant à la religion et qui ont subi la censure et fuit leur pays pour pouvoir publier librement. Ce Salon, comme chaque année, offre donc plusieurs visions de la rébellion dans la littérature, sous une forme stylistique et sous une forme morale. Toutes les informations, le programme, les écrivains sont disponibles sur le site internet du Salons des Ecrivains Rebelles, qui se tiendra du huit au onze avril. »
Merci Monsieur Montails pour cette présentation. Nous passons maintenant aux sorties ciné de la semaine avec Nathalie. […]
2 commentaires:
Amélie, Coralie : Je vous félicite pour vos compléments d'information… très chouettes, vraiment.
Chloé… que c'est une bonne idée… La chispa a encore frappé ! Une seule restriction pourtant : pourquoi maman est-elle dans la cuisine ?
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