Justine : Le respect de la syntaxe ne me semble pas très heureux ici. Je ne pense pas que ça ait véritablement du sens de mettre le « jamais » en tête de phrase – pas de mise en relief nécessaire, etc.
Justine : Oui, là, ça semble beaucoup plus naturel. Maintenant : procède donc à une petite vérification dans l'ensemble de la traduction que nous avons déjà et dis-moi si nous avons employé le verbe « comprenait ». On fera un gros « décrassage » à la fin (pour vérifier, entre autres, les répétitions) mais, histoire de travailler également la méthode, faisons cette petite pause utile – en théorie, il faut s'imposer cette vérification constante ; sous peine d'avoir des relectures infinies ensuite. Sur un texte court comme celui-ci, ça ne présente évidemment pas de grandes difficultés, mais imagine quand tu dois affronter un roman de plusieurs centaines de pages. J'attends que tu me répondes et, le cas échéant, on prendra un autre verbe que « comprendre ».
Elena : Il vaut mieux un « pourquoi » général… car avec ta solution, il faudrait un pluriel et on changerait légèrement. Sans compter que nous risquons d'avoir déjà utilisé ou d'avoir besoin du mot « raison », passe-partout, d'ici la fin. Vois, si tu peux répondre à la question que j'ai posée à Justine.
9 commentaires:
Jamais il ne comprenait pourquoi les gens pleuraient, riaient...
Justine :
Le respect de la syntaxe ne me semble pas très heureux ici. Je ne pense pas que ça ait véritablement du sens de mettre le « jamais » en tête de phrase – pas de mise en relief nécessaire, etc.
Il ne comprenait jamais pourquoi les gens pleuraient, riaient...
Justine :
Oui, là, ça semble beaucoup plus naturel. Maintenant : procède donc à une petite vérification dans l'ensemble de la traduction que nous avons déjà et dis-moi si nous avons employé le verbe « comprenait ». On fera un gros « décrassage » à la fin (pour vérifier, entre autres, les répétitions) mais, histoire de travailler également la méthode, faisons cette petite pause utile – en théorie, il faut s'imposer cette vérification constante ; sous peine d'avoir des relectures infinies ensuite. Sur un texte court comme celui-ci, ça ne présente évidemment pas de grandes difficultés, mais imagine quand tu dois affronter un roman de plusieurs centaines de pages.
J'attends que tu me répondes et, le cas échéant, on prendra un autre verbe que « comprendre ».
Il ne comprenait jamais pour quelle raison les gens pleuraient, riaient...
Elena :
Il vaut mieux un « pourquoi » général… car avec ta solution, il faudrait un pluriel et on changerait légèrement. Sans compter que nous risquons d'avoir déjà utilisé ou d'avoir besoin du mot « raison », passe-partout, d'ici la fin.
Vois, si tu peux répondre à la question que j'ai posée à Justine.
"comprendre", non, mais raison : si, donc, à plus forte raison, je change !
Après relecture de l'ensemble de la traduction déja effectuée,non nous n'avons pas encore utilisé le verbe comprendre.
Ok, donc on s'en tient à ce qu'a proposé Justine.
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