A las dos de la mañana llamaron a la puerta de la barraca.
A deux heures du matin, l'on frappa à la porte de la cabane.
1) Il faut accentuer les majuscules : À
2) Pourquoi « l' » ? Attention, ça n'est pas parce que nous traduisons de la littérature qu'il faut se croire « obligé » de sortir sa belle langue… Reste simple ; ce sera presque toujours la meilleure solution.
A deux heures du matin, l'on frappa à la porte de la cabane.
1) Il faut accentuer les majuscules : À
2) Pourquoi « l' » ? Attention, ça n'est pas parce que nous traduisons de la littérature qu'il faut se croire « obligé » de sortir sa belle langue… Reste simple ; ce sera presque toujours la meilleure solution.
-¡Antonio! ¡Antonio!
-Antonio, Antonio!
Y Antonio saltó de la cama.
Antonio sauta du lit.
Era su compadre, el compañero de pesca, que le avisaba para hacerse a la mar.
C'était son vieux copain, le camarade de pêche, qui le sollicitait pour aller faire un tour en mer.
1) Le problème avec « vieux », c'est que tu laisses plus ou moins entendre qu'ils se connaissent depuis longtemps – ou, en tout cas, tu laisses planer le doute. Or tu n'en sais rien. Sans compter que « copain » est connoté. Vois si tu peux trouver autre chose.
2) « LE camarade de pêche » ? Le camarade de qui ? N'oublie pas les possessifs implicites !
3) La fin, tu as complètement changé le sens… Reprends ton dictionnaire pour bien te remettre les mots en tête et traduis en ayant à l'esprit que tu dois rester le plus près possible de la V.O. Tu ne modifies que quand ça ne va pas grammaticalement, etc. ou quand de toute évidence on dirait autrement.
-Antonio, Antonio!
Y Antonio saltó de la cama.
Antonio sauta du lit.
Era su compadre, el compañero de pesca, que le avisaba para hacerse a la mar.
C'était son vieux copain, le camarade de pêche, qui le sollicitait pour aller faire un tour en mer.
1) Le problème avec « vieux », c'est que tu laisses plus ou moins entendre qu'ils se connaissent depuis longtemps – ou, en tout cas, tu laisses planer le doute. Or tu n'en sais rien. Sans compter que « copain » est connoté. Vois si tu peux trouver autre chose.
2) « LE camarade de pêche » ? Le camarade de qui ? N'oublie pas les possessifs implicites !
3) La fin, tu as complètement changé le sens… Reprends ton dictionnaire pour bien te remettre les mots en tête et traduis en ayant à l'esprit que tu dois rester le plus près possible de la V.O. Tu ne modifies que quand ça ne va pas grammaticalement, etc. ou quand de toute évidence on dirait autrement.
Había dormido poco aquella noche.
Il avait peu dormi cette nuit-là.
Je pense que tu peux avantageusement modifier la syntaxe.
A las once todavía charlaba con Rufina, su pobre mujer, que se revolvía inquieta en la cama, hablando de los negocios.
A onze heures il discutait toujours avec Rufina, sa pauvre femme qui, préoccupée, se retournait dans le lit alors qu'ils évoquaient les affaires.
1) Majuscule sur le A, donc.
2) Virgule après « À onze heures » ; ce qui est presque toujours le cas quand tu commences la phrase par un complément circonstanciel.
3) « Encore » est plus clair dans ce contexte que « toujours » – c'est la même chose, ou à peu près, je te l'accorde… mais il faut mieux toujours opter pour ce qui ne fait pas le moindre doute.
4) Ils font plus qu' « évoquer » leurs affaires. Là aussi, tu as voulu faire joli ; or cela te faire perdre en naturel et je te rappelle que le mot espagnol est « hablar ». Si c'était pour éviter une répétition, je comprendrais, mais là… c'est juste, et à tort, pour « améliorer » le niveau lexical.
No podían marchar peor.
Elles ne pouvaient pas se porter plus mal.
Une personne se porte mal, mais des affaires…
¡Vaya un verano!
Quel été!
1) À la différence de l'espagnol, il faut un espace avant le ! De même qu'avant les ; et les :
2) Ton « quel été ! » est exclamatif, certes, mais insuffisamment précis. Ajoute un adjectif.
En el anterior, los atunes habían corrido el Mediterráneo en bandadas interminables.
Au cours du précédent, les thons avaient envahi la Méditerranée en bans interminables.
1) « Au cours » est-il nécessaire ? Essaie autant que possible d'alléger. On doit avoir tout… mais pas en excès ;-)
2) Oui… Pourquoi « envahi » ; c'est un tantinet péjoratif et ça m'ennuie. J'aimerais autant que tu trouves un autre terme, en t'appuyant davantage sur son sens. Pas de réécriture.
El día que menos, se mataban doscientas o trescientas arrobas; el dinero circulaba como una bendición de Dios, y los que, como Antonio, guardaron buena conducta e hicieron sus ahorrillos, se emanciparon de la condición de simples marineros, comprándose una barca para pescar por cuenta propia.
Le jour où il y en avait le moins, l'on pouvait facilement en attraper deux cent ou trois cent arrobes; l'argent coulait à flots, et ceux qui, comme Antonio, restèrent raisonnables en épargnant un peu, s'affranchirent de la condition de simples marins en s'offrant une barque pour pêcher à leur compte.
1) « Le jour où il y en avait moins » ; est-ce que tu ne pourrais pas synthétiser cela avec un substantif ?
2) Manifestement, tu as le tic du « l'on ». Je ne veux plus en voir dans tes versions ;-) C'est dit !
3) En V.O., il y a « matar » ; pourquoi tu as mis « attraper » ? Traduis ce qui est écrit.
4) « en » + « arrobes » ; peu clair ou faute de grammaire. Reprends.
5) Le champagne « coule à flots », pas l'argent… Par ailleurs, tu as complètement supprimé le référent religieux et c'est ennuyeux parce que ça fait partie du fonds culturel de ce texte. Débrouille-toi pour le traduire dans ce champ lexical-là.
6) « restèrent raisonnables » ; concordance des temps à faire. Le temps du récit ? Là, c'est avant.
7) « mettant un peu de côté » est mieux.
8) « s'affranchir »… Bof ; pas très naturel.
9) « À leur compte » / « POUR leur compte » ; vérifie ce que l'on dit dans un tel contexte.
Il avait peu dormi cette nuit-là.
Je pense que tu peux avantageusement modifier la syntaxe.
A las once todavía charlaba con Rufina, su pobre mujer, que se revolvía inquieta en la cama, hablando de los negocios.
A onze heures il discutait toujours avec Rufina, sa pauvre femme qui, préoccupée, se retournait dans le lit alors qu'ils évoquaient les affaires.
1) Majuscule sur le A, donc.
2) Virgule après « À onze heures » ; ce qui est presque toujours le cas quand tu commences la phrase par un complément circonstanciel.
3) « Encore » est plus clair dans ce contexte que « toujours » – c'est la même chose, ou à peu près, je te l'accorde… mais il faut mieux toujours opter pour ce qui ne fait pas le moindre doute.
4) Ils font plus qu' « évoquer » leurs affaires. Là aussi, tu as voulu faire joli ; or cela te faire perdre en naturel et je te rappelle que le mot espagnol est « hablar ». Si c'était pour éviter une répétition, je comprendrais, mais là… c'est juste, et à tort, pour « améliorer » le niveau lexical.
No podían marchar peor.
Elles ne pouvaient pas se porter plus mal.
Une personne se porte mal, mais des affaires…
¡Vaya un verano!
Quel été!
1) À la différence de l'espagnol, il faut un espace avant le ! De même qu'avant les ; et les :
2) Ton « quel été ! » est exclamatif, certes, mais insuffisamment précis. Ajoute un adjectif.
En el anterior, los atunes habían corrido el Mediterráneo en bandadas interminables.
Au cours du précédent, les thons avaient envahi la Méditerranée en bans interminables.
1) « Au cours » est-il nécessaire ? Essaie autant que possible d'alléger. On doit avoir tout… mais pas en excès ;-)
2) Oui… Pourquoi « envahi » ; c'est un tantinet péjoratif et ça m'ennuie. J'aimerais autant que tu trouves un autre terme, en t'appuyant davantage sur son sens. Pas de réécriture.
El día que menos, se mataban doscientas o trescientas arrobas; el dinero circulaba como una bendición de Dios, y los que, como Antonio, guardaron buena conducta e hicieron sus ahorrillos, se emanciparon de la condición de simples marineros, comprándose una barca para pescar por cuenta propia.
Le jour où il y en avait le moins, l'on pouvait facilement en attraper deux cent ou trois cent arrobes; l'argent coulait à flots, et ceux qui, comme Antonio, restèrent raisonnables en épargnant un peu, s'affranchirent de la condition de simples marins en s'offrant une barque pour pêcher à leur compte.
1) « Le jour où il y en avait moins » ; est-ce que tu ne pourrais pas synthétiser cela avec un substantif ?
2) Manifestement, tu as le tic du « l'on ». Je ne veux plus en voir dans tes versions ;-) C'est dit !
3) En V.O., il y a « matar » ; pourquoi tu as mis « attraper » ? Traduis ce qui est écrit.
4) « en » + « arrobes » ; peu clair ou faute de grammaire. Reprends.
5) Le champagne « coule à flots », pas l'argent… Par ailleurs, tu as complètement supprimé le référent religieux et c'est ennuyeux parce que ça fait partie du fonds culturel de ce texte. Débrouille-toi pour le traduire dans ce champ lexical-là.
6) « restèrent raisonnables » ; concordance des temps à faire. Le temps du récit ? Là, c'est avant.
7) « mettant un peu de côté » est mieux.
8) « s'affranchir »… Bof ; pas très naturel.
9) « À leur compte » / « POUR leur compte » ; vérifie ce que l'on dit dans un tel contexte.
El puertecillo estaba lleno.
Le petit port était bondé.
L'adjectif n'est pas très heureux… Petit port + bondé. Essaie de voir si tu trouves quelque chose de plus en harmonie.
Una verdadera flota lo ocupaba todas las noches, sin espacio apenas para moverse; pero con el aumento de barcas había venido la carencia de pesca.
Une véritable flotte l'occupait toutes les nuits, laissant un espace à peine suffisant pour circuler; mais l'augmentation du nombre de barques avait engendré une pénurie en matière de pêche.
1) « laissant un espace à peine suffisant pour circuler; » ; à reprendre, c'est beaucoup trop alambiqué. Vise la simplicité. Demande-toi comment tu dirais spontanément les choses en français.
2) Donc : espace avant le ;
3) « en matière de » ; manque de naturel. La phrase est en carton… alors que je la veux en soie.
Le petit port était bondé.
L'adjectif n'est pas très heureux… Petit port + bondé. Essaie de voir si tu trouves quelque chose de plus en harmonie.
Una verdadera flota lo ocupaba todas las noches, sin espacio apenas para moverse; pero con el aumento de barcas había venido la carencia de pesca.
Une véritable flotte l'occupait toutes les nuits, laissant un espace à peine suffisant pour circuler; mais l'augmentation du nombre de barques avait engendré une pénurie en matière de pêche.
1) « laissant un espace à peine suffisant pour circuler; » ; à reprendre, c'est beaucoup trop alambiqué. Vise la simplicité. Demande-toi comment tu dirais spontanément les choses en français.
2) Donc : espace avant le ;
3) « en matière de » ; manque de naturel. La phrase est en carton… alors que je la veux en soie.
Las redes sólo sacaban algas o pez menudo, morralla de la que se deshace en la sartén.
Les filets ne ramenaient que des algues ou des poissons insignifiants, menu fretin dont on se débarrasse dans la poêle.
1) « insignifiant » ne va pas…
2) « dont on se débarrasse » ???????? CS ?
Los atunes habían tomado este año otro camino, y nadie conseguía izar uno sobre su barca.
Cette année-là les thons avaient emprunté un autre chemin, et personne ne parvenait à en hisser un seul à bord.
1) Virgule après « cette année-là »
2) « emprunté un autre chemin » ; simplifie. C'est un texte qui parle de pêcheurs…
3) Idem pour la fin
Je remarque que la fin du texte n'est pas bien maîtrisée. Il faut que tu gardes assez de souffle pour être concentrée jusqu'au bout. Imagine si tu avais le projet de traduire un roman de 400 pages !
Rufina estaba aterrada por esta situación.
Rufina était terrifiée par cette situation.
1) Je n'aime pas beaucoup « terrifiée » ici, mais bon…
2) LA situation.
No había dinero en casa:
Il n'y avait pas d'argent à la maison:
Je pense qu'il fait ajouter « plus ».
debían en el homo y en la tienda,
ils en devaient au magasin ainsi que pour payer le four [incertitude ; mais j'ai vu que dans certaines versions du texte, ils employaient "horno"]
Je ne comprends pas ce que tu mets entre crochets… Certains versions de quoi et en quelle langue ?
y el señor Tomás, un patrón retirado, dueño del pueblo por sus judiadas, los amenazaba continuamente si no entregaban algo de los cincuenta duros con intereses que le había prestado para la terminación de aquella barca tan esbelta y tan velera que consumió todos sus ahorros.
et Monsieur Tomas, un patron retraité, maitrisant le peuple de par ses coups-bas, les menaçait sans relâche s'ils ne remboursaient pas un peu des cinquante duros avec intérêts qu'il leur avait prêté pour finaliser cette barque si svelte et si légère qu'elle épuisa toutes leurs économies.
Les filets ne ramenaient que des algues ou des poissons insignifiants, menu fretin dont on se débarrasse dans la poêle.
1) « insignifiant » ne va pas…
2) « dont on se débarrasse » ???????? CS ?
Los atunes habían tomado este año otro camino, y nadie conseguía izar uno sobre su barca.
Cette année-là les thons avaient emprunté un autre chemin, et personne ne parvenait à en hisser un seul à bord.
1) Virgule après « cette année-là »
2) « emprunté un autre chemin » ; simplifie. C'est un texte qui parle de pêcheurs…
3) Idem pour la fin
Je remarque que la fin du texte n'est pas bien maîtrisée. Il faut que tu gardes assez de souffle pour être concentrée jusqu'au bout. Imagine si tu avais le projet de traduire un roman de 400 pages !
Rufina estaba aterrada por esta situación.
Rufina était terrifiée par cette situation.
1) Je n'aime pas beaucoup « terrifiée » ici, mais bon…
2) LA situation.
No había dinero en casa:
Il n'y avait pas d'argent à la maison:
Je pense qu'il fait ajouter « plus ».
debían en el homo y en la tienda,
ils en devaient au magasin ainsi que pour payer le four [incertitude ; mais j'ai vu que dans certaines versions du texte, ils employaient "horno"]
Je ne comprends pas ce que tu mets entre crochets… Certains versions de quoi et en quelle langue ?
y el señor Tomás, un patrón retirado, dueño del pueblo por sus judiadas, los amenazaba continuamente si no entregaban algo de los cincuenta duros con intereses que le había prestado para la terminación de aquella barca tan esbelta y tan velera que consumió todos sus ahorros.
et Monsieur Tomas, un patron retraité, maitrisant le peuple de par ses coups-bas, les menaçait sans relâche s'ils ne remboursaient pas un peu des cinquante duros avec intérêts qu'il leur avait prêté pour finaliser cette barque si svelte et si légère qu'elle épuisa toutes leurs économies.
1) « à la retraite » plutôt.
2) « dueño » = « maîtrisant » ???????
3) « pueblo » = « peuple » ; FS ici.
4) Pas de tirets à coups-bas + FS ici.
5) Tu as déjà utilisé « un peu » plus haut… Essaie de faire sans.
6) « prêté » : grammaire.
7) « finaliser » : lexique marketing… que je ne veux pas voir dans un beau texte comme ça. Sans compter que « finaliser une barque » ne veut rien dire.
8) « épuisa » = temps à revoir.
6 commentaires:
Merci beaucoup! Je vais donc prendre note de toutes ces corrections enrichissantes!
J'ai bien noté tout se qui concernait mes erreurs grammaticales. Pour le reste, en m'aidant de tes corrections et des versions de Justine et Joachim, voici donc mes propositions (je suppose que c'est ce qu'il fallait que je fasse!)
(Par contre, j'ai du supposer que CS=contre-sens et FS=faux-sens...?)
1) Era su compadre, el compañero de pesca, que le avisaba para hacerse a la mar.
C'était son compère, son camarade de pêche, qui l'appelait pour prendre la mer.
2) Había dormido poco aquella noche.
Cette nuit-là, il avait peu dormi.
3)A las once todavía charlaba con Rufina, su pobre mujer, que se revolvía inquieta en la cama, hablando de los negocios. No podían marchar peor.
À onze heures, il discutait encore avec Rufina, sa pauvre femme qui, préoccupée, se retournait dans le lit alors qu'ils parlaient des affaires. Elles ne pouvaient pas aller plus mal.
4) ¡Vaya un verano!
le "Tu parles d'un été !" proposé par Justine et Joachim me semble finalement plus approprié que mon "quel été + adj !"...
5) En el anterior, los atunes habían corrido el Mediterráneo en bandadas interminables.
Lors du précédent, les thons avaient parcouru la Méditerranée en bans interminables.
6) El día que menos, se mataban doscientas o trescientas arrobas; el dinero circulaba como una bendición de Dios, y los que, como Antonio, guardaron buena conducta e hicieron sus ahorrillos, se emanciparon de la condición de simples marineros, comprándose una barca para pescar por cuenta propia.
Lorsqu'il y en avait moins, on pouvait facilement tuer deux cent ou trois cent arrobes; l'argent circulait comme béni des Dieux, et ceux qui, tel Antonio, étaient resté raisonnables en mettant un peu de côté, s'émancipèrent de la condition de simples marins en s'offrant une barque afin de pêcher pour leur compte.
7) El puertecillo estaba lleno.
Le petit port était plein.
8) Una verdadera flota lo ocupaba todas las noches, sin espacio apenas para moverse; pero con el aumento de barcas había venido la carencia de pesca.
Une véritable flotte l'occupait toutes les nuits, laissant à peine assez d'espace pour bouger; mais l'augmentation du nombre de barques avait engendré une pénurie de poissons.
9) Las redes sólo sacaban algas o pez menudo, morralla de la que se deshace en la sartén.
Les filets ne ramenaient que des algues ou des petits poissons, menu fretin qu'on fait fondre dans la poêle.
10) Los atunes habían tomado este año otro camino, y nadie conseguía izar uno sobre su barca.
Cette année-là, les thons avaient pris une autre route, et personne n'arrivait à en hisser un seul sur sa barque.
11) debían en el homo y en la tienda,
=> j'avoue que cette phrase m'a posé un réel problème... Ne trouvant pas d'autre définition à "homo" que la connotation que l'on imagine (oops! "qu'on imagine" ;)), et supposant qu'il ne s'agissait pas de cela, ça m'a perturbée! D'où mon commentaire entre crochets : n'en comprenant pas du tout le sens, j'avais cherché la phrase sur google et vu que ce même texte en espagnol comprenait parfois le mot "horno" au lieu de "homo". (en tapant "debían en el horno y en la tienda" entre guillemets sur google). D'ailleurs, entre le mot "coopérative" employé par Justine, "l'homo" employé par Joachim et "le four" pour ma part, cette phrase reste à mes yeux un mystère! ^_^
12) y el señor Tomás, [...] todos sus ahorros.
et Monsieur Tomas, un patron à la retraite, maître du village de par ses mauvais tours, les menaçait sans relâche s'ils ne remboursaient pas une partie des cinquante duros avec intérêts qu'il leur avait prêtés pour achever cette barque si svelte et si légère qui avait épuisé toutes leurs économies.
[PS: Pour les interviews de traducteurs, je vais donc essayer de faire ça très rapidement! :) En attendant, au besoin je peux toujours partager, et avec plaisir, divers poèmes/textes/musiques espagnols]
Florence,
Oui, pour les abréviations, c'est ça…
C'est très bien que tu aies repris ; félicitations – ça demande de l'énergie !
Là, je n'ai pas le temps de tout reprendre… L'essentiel est que tu aies bien compris quelles étaient tes erreurs et que tu aies une solution de rechange pour ce qui n'allait pas.
Au besoin, signale-moi strictement s'il te reste des doutes.
Et rendez-vous pour la prochaine – celle de Benoît, à rendre pour jeudi, je crois. As-tu trouvé le texte ?
Florence 2,
Oui, tu peux envoyer des titres de chansons ou des poèmes en espagnol qui te plaisent… Mais pense à l'interview ; on adore ça, sur Tradabordo et je ne doute pas que tu trouveras de l'intérêt à parler avec un traducteur professionnel.
Caroline,
J'ai bien trouvé un texte pour Benoît (Arroz y tartana), mais à rendre pour demain! ...Je m'y mets! :)
J'aurais en effet mille et une questions à poser à un traducteur professionnel...ne reste donc plus qu'à le trouver! (et qu'il accepte)
Florence,
Pour trouver un traducteur à qui poser des questions (à ce propos, tu peux aussi t'inspirer de notre questionnaire type que tu verras dans les « entretiens avec des traducteurs » publiés sur Tradabordo ; cf Libellés) passe par internet… soit avec des mots-clés, soit en ciblant précisément des traducteurs et en passant ensuite par les éditeurs pour lesquels ils ont travaillé pour être mise en rapport avec eux.
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