Vieja... si me hubieras escuchado... Que eso sólo Dios lo puede hacer, que te quedarás sin alma, que es demasiado dinero lo que cobran... Miedos. Por tus miedos ya no existes.
Traduction temporaire :
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de réaliser une telle chose. Tu y perdras ton âme. La somme réclamée est bien trop élevée... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
Traduction temporaire :
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de réaliser une telle chose. Tu y perdras ton âme. La somme réclamée est bien trop élevée... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
6 commentaires:
Ma chérie...si tu m'avais écouté...Seul Dieu a le pouvoir de faire ça, tu vas te retrouver dépourvu d'âme, la somme qu'ils te réclament est trop élevée...Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
1) Comme il y avait "vieja" au début du texte, j'ai repris la même traduction. Sinon, j'avais aussi pensé à "mon amie"...
2) J'ai hésité à rajouter "seulement", afin d'insister : "si seulement tu m'avais écouté".
3) "ça" : j'ai hésité à l'éviter par l'emploi de, par exemple, "une telle chose"
J'essaye :
Ma chérie...si seulement tu m'avais écouté...Seul Dieu a le pouvoir de faire une telle chose, tu vas te retrouver dépourvu d'âme, la somme qu'ils te réclament est bien trop élevée...Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
Vieja... si me hubieras escuchado... Que eso sólo Dios lo puede hacer, que te quedarás sin alma, que es demasiado dinero lo que cobran... Miedos. Por tus miedos ya no existes.
1) N'oublie pas les espaces après les points de suspension. Globalement, il faut essayer de tenir compte de cet aspect-là, qui m'oblige à faire du secrétariat ensuite.
2) Je préfère que tu contournes « ça ».
3) Autant garder le futur de « te quedarás »
4) « Dépourvu » me semble adapté pour quelque chose d'aussi peu matériel que l'âme. Vois si tu peux trouver autre chose.
5) Pourquoi « te réclament » – ce « te » n'est pas en V.O. Attention : changeons le moins possible quand ça n'est pas utile. Les interventions à faire sur le texte sont déjà bien assez suffisantes.
6) Oui, je trouve assez bien ton « mon amie » – il a ce petit ôté ironique que n'avait pas « ma chérie ». Et du coup, il faudra changer au début. L'harmonisation est indispensable ici.
7) Pour « seulement » – pourquoi pas ? Vérifie d'abord si nous ne l'avons pas déjà utilisé dans ce qui précède.
Vieja... si me hubieras escuchado... Que eso sólo Dios lo puede hacer, que te quedarás sin alma, que es demasiado dinero lo que cobran... Miedos. Por tus miedos ya no existes.
Après l'efficace travail de défrichage produit par Florence, nous avons donc :
1) "Vieja" : Mon amie.
J'étais restée sur ma faim avec ma proposition du début ("ma chérie"). Voilà qui est arrangé...
2) "si me hubieras escuchado" : Si seulement tu m'avais écouté.
Il ne me semble pas avoir repéré de "seulement" avant. Un dernier détail : rétablissons-nous la majuscule en début de phrase ?
3) "Que eso sólo Dios lo puede hacer" : Seul Dieu a le pouvoir de faire une telle chose / une chose pareille.
J'avais pensé à une variante : "une chose pareille". C'est très proche de la proposition de Florence que je félicite au passage pour sa tournure "a le pouvoir de".
4) "que te quedarás sin alma" :
Du littéral "tu te retrouveras sans âme", je suis passée à "tu seras un corps sans âme".
Je me demande si le verbe "être" n'est pas un peu faible : on perd la nuance de résultat de "quedar" (ce qui est d'ailleurs souvent le cas quand on traduit des semi-auxiliaires). Pour cela, je propose également : "finir comme". Mais je crains que ce soit un peu lourd.
5) "que es demasiado dinero lo que cobran" :
"cobran" : cette troisième personne du pluriel n'a-t-elle pas valeur d'impersonnel ? Du coup, peut-on éviter d'exprimer un sujet personnel ?
- la somme réclamée est bien trop élevée
- c'est beaucoup trop cher
Pour ma part, j'avais traduit plus l'idée que les mots...
6) Miedos. Por tus miedos ya no existes. : Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
Ce qui donne pour l'instant :
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de faire une telle chose / une chose pareille, tu te retrouveras sans âme / tu seras un corps sans âme / tu finiras comme un corps sans âme, la somme réclamée est bien trop élevée / c'est beaucoup trop cher... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de faire une telle chose / une chose pareille, tu te retrouveras sans âme / tu seras un corps sans âme / tu finiras comme un corps sans âme, la somme réclamée est bien trop élevée / c'est beaucoup trop cher... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
1) « Une telle chose »… sans hésiter ; « une chose pareille » à une autre connotation, qui ne va pas ici.
2) « Tu auras perdu ton âme »… ; non ?
3) la somme réclamée est bien trop élevée
Je récapitule – ou, en tout cas, j'essaie (avec une modif ici ou là) :
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de réaliser une telle chose. Tu auras perdu ton âme. La somme réclamée est bien trop élevée... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
Je ne peux mettre l'italique dans les commentaires.
Et je change le « chérie » / « amie » du début.
Sommes-nous d'accord ?
Juste une dernière proposition avant validation...
"Tu y perdras ton âme." ?
Si non, on valide tel quel et on passe à la suite !
Non… OK, Laëtitia ; je prends.
Mon amie... Si seulement tu m'avais écouté... Seul Dieu a le pouvoir de réaliser une telle chose. Tu y perdras ton âme. La somme réclamée est bien trop élevée... Des peurs. À cause de tes peurs, tu n'existes plus.
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