—¡Ladrones, malditos! La obra es mía, mía —gritaba Muñoz. Los policías lo arrastraron y lo sacaron del recinto sin mucha delicadeza.
Traduction temporaire :
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent à l’extérieur sans ménagement.
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent à l’extérieur sans ménagement.
9 commentaires:
— Voleurs, fumiers! Cette œuvre est à moi, à moi! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent pour le faire sortir de la salle sans grande délicatesse.
—¡Ladrones, malditos! La obra es mía, mía —gritaba Muñoz. Los policías lo arrastraron y lo sacaron del recinto sin mucha delicadeza.
1) J'aime beaucoup « fumiers » – à mon avis, c'est un tantinet trop fort (par rapport à « malditos ») mais je le garde bien volontiers…, juste pour le plaisir ;-)
2) Je te l'ai déjà signalé il y a 2 ou 3 phrases : je te rappelle qu'il faut des espaces avant les points d'exclamation.
3) « vociférer », oui… On ne l'a pas avant ?
4) « Le traînèrent pour le faire sortir » ; on doit pouvoir trouver quelque chose de mieux et qui, de surcroît, éviterait la répétition de « faire ».
5) « sans grande délicatesse »… bof. Cela manque un peu de naturel.
1) ok
2) ok
3) On n'a pas "vociférer" avant.
4) le traînèrent vers la sortie?
5) sans prendre de gants? Je modifie trop là non? On n'a pas d'expression en espagnol. Sinon je changerais le "sans". Brutalement par exemple...
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent vers la sortie de la salle sans prendre de gants.
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent hors de la salle sans ménagement.
Non, nous n'avons pas encore « vociférer »
Julie :
« Sans prendre de gants »… Oui, c'est bien.
Justine :
« salle »… on l'a déjà ; « à l'extérieur » ?
Récapituler en prenant en compte vos deux propositions et les deux modifs.
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent à l’extérieur sans prendre de gants.
Parfait !
Je vous mets la suite.
— Voleurs, fumiers ! Cette œuvre est à moi, à moi ! — vociférait Muñoz. Les policiers le traînèrent vers l'extérieur, sans prendre de gants.
En collant la phrase, j'ai eu une idée :
Il ne faut pas « sans prendre de gants », mais « sans ménagement » – l'expression + convient mieux par rapport à la V.O.
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