vendredi 6 juillet 2012

Les Voies lactées – phrase 44

Sintieron un hormigueo en todo el cuerpo, una relajación relámpago en sus brazos y piernas, rieron sin saber por qué, se miraron a los ojos como hipnotizados, se olieron, se jalaron los cabellos, se fueron quitando la ropa y ensayaron un rito de apareamiento sin precedentes, al menos en Bosques de Cibeles, donde el sexo estaba tan en desuso como los alimentos.

Traduction temporaire :
Ils sentirent un fourmillement leur parcourir tout le corps, un relâchement soudain dans les bras et les jambes, comme une sorte d'éclair ; ils rirent sans savoir pourquoi ; se regardèrent les yeux dans les yeux, comme hypnotisés ; se reniflèrent ; se tirèrent les cheveux ; ôtèrent leurs vêtements et testèrent un rite d’accouplement sans précédent, du moins à Bois de Cybèle, où le sexe était autant tombé en désuétude que les aliments.

4 commentaires:

perrine a dit…

Ils sentirent un fourmillement dans tout le corps, une relaxation ultra-rapide dans leurs bras et leurs jambes, ils rirent sans savoir pourquoi, se regardèrent les yeux dans les yeux, comme hypnotisés, se reniflèrent, se tirèrent les cheveux, ôtèrent lentement leurs vêtements et expérimentèrent un rite d’accouplement sans précédent, du moins à Bois de Cybèle, où le sexe était aussi désuet que les aliments.

Tradabordo a dit…

1) Est-ce qu'on ajoute la cheville « parcourir » après « fourmillement » ?

2) Je ne suis pas très satisfaite de « relaxation ultra-rapide » ; mais je t'accorde que ça n'est pas facile. Vois si tu trouves autre chose.

3) Pour bras et jambes, le possessif est-il nécessaire ?

4) Pourquoi « lentement » ?

5) « expérimenter »… Bof…

6) « tombé en désuétude » ?

perrine a dit…

1) Oui, OK.

2) "un relâchement rapide comme l'éclair" ?

3) Non, en effet, il ne l'est pas.

4) Parce que je pensais que ir+gérondif traduisait la progression.

5) Je ne vois pas quoi mettre à part des synonymes comme "essayer", "tester", mais je ne suis pas convaincue.

6) OK.

Ils sentirent un fourmillement leur parcourir tout le corps, un relâchement rapide comme l'éclair dans les bras et les jambes, ils rirent sans savoir pourquoi, se regardèrent les yeux dans les yeux, comme hypnotisés, se reniflèrent, se tirèrent les cheveux, ôtèrent leurs vêtements et testèrent un rite d’accouplement sans précédent, du moins à Bois de Cybèle, où le sexe était autant tombé en désuétude que les aliments.

Tradabordo a dit…

Je reprends :

Ils sentirent un fourmillement leur parcourir tout le corps, un relâchement soudain dans les bras et les jambes, comme une sorte d'éclair ; ils rirent sans savoir pourquoi ; se regardèrent les yeux dans les yeux, comme hypnotisés ; se reniflèrent ; se tirèrent les cheveux ; ôtèrent leurs vêtements et testèrent un rite d’accouplement sans précédent, du moins à Bois de Cybèle, où le sexe était autant tombé en désuétude que les aliments.

OK ?