lundi 1 octobre 2012

Les Lituma – phrases 36-37

Me respondió, con una voz que apenas escuché, que se llamaba Juan. “¿Qué importaba dónde viviera si él no conocía nada de la ciudad?”, me dije, de repente y sin saber fastidiado por los pasos que daba.

Traduction temporaire :
Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait lui faire où j’habitais puisqu'il ne connaissait rien de cette ville ? », me dis-je soudain et,  inconsciemment, agacé par les pas que je faisais.

12 commentaires:

Sonita a dit…

«Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Tradabordo a dit…

Espace après les guillemets + rétablis la même syntaxe qu'en V.O. Pour un premier jet : ON NE CHANGE PAS.

Sonita a dit…

Oui, pardon, j'ai ommis tout un bout de phrase !

Il me répondit d’une voix que j’entendis à peine qu’il s’appelait Juan. « Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Tradabordo a dit…

Il me répondit d’une voix que j’entendis à peine qu’il s’appelait Juan. « Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Espace avant le point d'interrogation.

Sonita a dit…

Il me répondit d’une voix que j’entendis à peine qu’il s’appelait Juan. « Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville ? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Tradabordo a dit…

Il me répondit d’une voix que j’entendis à peine qu’il s’appelait Juan. « Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville ? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

1) Mets « d'une voix que j'entendis à peine » entre virgules.

2) « « Quelle importance cela avait où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville ? » ; pas très naturel… Reprends avec « qu'est-ce que ça pouvait lui faire… »

Sonita a dit…

Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait lui faire où j’habitais s’il ne connaissait rien dans cette ville ? », me dis-je soudain et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Justine a dit…

Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire de savoir où j’habitais s’il ne connaissait rien de cette ville ? », me dis-je soudain, et sans le savoir, agacé par les pas que je faisais.

Tradabordo a dit…

Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait lui faire où j’habitais s’il [PUISQU'IL] ne connaissait rien dans cette ville ? », me dis-je soudain et [virgule] sans le savoir [inconsciemment ?], agacé par les pas que je faisais [je n'aime pas trop le verbe… mais je reconnais que ça n'est pas facile de trouver autre chose].

Tradabordo a dit…

Justine,

Nos commentaires se sont croisés… Fais la synthèse de ce qui précède, stp.

Sonita a dit…

Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait lui faire où j’habitais puisqu'il ne connaissait rien dans cette ville ? », me dis-je soudain et, inconsciemment, agacé par les pas que je faisais.

Justine a dit…

Il me répondit, d’une voix que j’entendis à peine, qu’il s’appelait Juan. « Qu'est-ce que ça pouvait lui faire où j’habitais puisqu'il ne connaissait rien de cette ville ? », me dis-je soudain et, inconsciemment, agacé par les pas que je faisais.