Peor que las langostas lo pasan esos pescados que comen los japoneses. A ésos se los comen vivos. Lo viste en un noticiero: Es un plato grande de sushi en medio de la mesa y el pescado está decorado con ensalada y puesto de manera que parece posando para una fotografía.
Traduction temporaire :
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade autour, placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade autour, placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
12 commentaires:
Pire que celui des langoustes est le sort réservé à ces poissons consommés par les Japonais. Ceux-là, ils les mangent vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : il y a un grand plat de sushi au milieu d’une table et le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Le début manque de naturel, mais j'ai voulu partir de la syntaxe de la VO.
J'ajoute "feuilles de"...
Pire que celui des langoustes est le sort réservé à ces poissons consommés par les Japonais.
Il faut que tu avances « sort » + cheville après « ces » ?
Faisons déjà cela.
Ceux-là, ils les mangent vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : il y a un grand plat de sushi au milieu d’une table et le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Pire que le sort des langoustes est celui réservé à ces poissons consommés par les Japonais. Ceux-là, ils les mangent vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : il y a un grand plat de sushi au milieu d’une table et le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Pour la cheville après "ces", je ne vois pas...
Pire que le sort des langoustes est celui réservé à ces poissons consommés par les Japonais.
Je te propose – en fait, pas une cheville, une modif :
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons consommés par les Japonais.
OK ?
Ceux-là, ils les mangent vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : il y a un grand plat de sushi au milieu d’une table et le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Très bien!
Du coup, répétition avec le second "il y a" qui est un "ser". On pourrait l'enlever?
Ds ce que je propose: le "où" peut renvoyer à "table", à monis qu'on change la syntaxe.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons consommés par les Japonais. Ceux-là, ils les mangent vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushi au milieu d’une table, où le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons consommés par les Japonais. Ceux-là, ils les mangent vivants.
Supprime le point et amalgame les deux phrases.
Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushi au milieu d’une table, où le poisson, décoré de feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble poser pour une photographie.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants.
Pour éviter 2 participes passés, je reviens à la VO (que mangent).
J'espère qu'on ne comprend pas que ce st les japonais qui sont mangés vivants... Vu le texte...
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants.
OK.
Lo viste en un noticiero: Es un plato grande de sushi en medio de la mesa y el pescado está decorado con ensalada y puesto de manera que parece posando para una fotografía.
Tu l’as vu au journal télévisé : il y a [un moyen de faire sans un deuxième « il y a » ?] un grand plat de sushi [+ « S » ?] au milieu d’une table et le poisson, décoré de [« avec des » ?] feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il semble [ou « a l'air de » ?] poser pour une photographie [« photo » tout seul ?].
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis se trouve au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade, est placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis se trouve [est-ce qu'on peut carrément supprimer le verbe ?] au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade [cheville « autour » ?], est placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
Tu as raison. Du coup, on supprime aussi le verbe d'après, non?
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade autour, placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
Il y a pire que le sort des langoustes : celui réservé aux poissons que mangent les Japonais, consommés vivants. Tu l’as vu au journal télévisé : un grand plat de sushis au milieu d’une table et le poisson, avec des feuilles de salade autour, placé de telle sorte qu’il a l'air de poser pour une photo.
OK.
Elena ?
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