Se consigue esa entrevista y habla largamente con el violador, la conversación le da mucha lastima por si mismo y también por el violador prisionero - en realidad él no violaba mujeres, ellas lo violaban a él, era buenmozo pero había algo pecaminoso y sobrecogedor en esa hermosura inundada por el encierro, ellas lo violaban, y hasta se juntaban varias para hacerlo juntas y alternativamente, pero el amor propio -amor propio de artista, usted me comprende- lo hacia siempre reconocerse culpable y finalmente era dejado en libertad vigilada, vigilada por las mujeres, porque sus víctimas declaraban que lo perdonaban y lo consideraban con mucha lástima.
Traduction temporaire :
Cet entretien obtenu, il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement ; elles le violaient, elles se regroupaient même pour le faire ensemble et alternativement ; mais à cause de l’amour-propre – amour-propre d’artiste, vous me comprenez –, il se reconnaissait toujours coupable et, finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles le pardonnaient et qu’elles ressentaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien obtenu, il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement ; elles le violaient, elles se regroupaient même pour le faire ensemble et alternativement ; mais à cause de l’amour-propre – amour-propre d’artiste, vous me comprenez –, il se reconnaissait toujours coupable et, finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles le pardonnaient et qu’elles ressentaient beaucoup de pitié pour lui.
18 commentaires:
Cet entretien a lieu et il parle longuement avec le violeur, la conversation le gêne beaucoup, lui, mais aussi le violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien a lieu [et que fais-tu de « conseguir » ?] et il parle longuement avec le violeur, la conversation le gêne [pour « dar lástima » ?] beaucoup, lui [pour « por si mismo » ?],
Faisons déjà ça.
mais aussi le violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien a lieu [et que fais-tu de « conseguir » ?] et il parle longuement avec le violeur, la conversation le gêne [pour « dar lástima » ?] beaucoup, lui [pour « por si mismo » ?],
Faisons déjà ça.
mais aussi le violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Mon commentaire n'a pas fonctionné, je recommence :
J'avais mis "a lieu" pour "conseguir" et la réponse à toutes les question est oui... Je change :
Cet entretien réussit à avoir lieu et il parle longuement avec le violeur, la conversation lui donne beaucoup d'embarras, à lui-même, mais aussi au violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien réussit à avoir lieu [mal dit ; reprends… en cherchant plus de naturel]
et il parle longuement avec le violeur, la conversation lui donne beaucoup d'embarras, à lui-même, mais aussi au violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien réussit à se concrétiser
Plus simple que « concrétiser ».
Cet entretien réussit à se réaliser et il parle longuement avec le violeur, la conversation lui donne beaucoup d'embarras, à lui-même, mais aussi au violeur prisonnier – en réalité, lui, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, il était beau mais avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Ce commentaire aussi serait-il passé à l'as ?
Cet [ou « l' » ?] entretien réussit à se réaliser [plus simple : « est obtenu »] et il parle longuement avec le violeur, [point-virgule ?] la conversation lui donne beaucoup d'embarras [« donner de l'embarras »????? + « lastima » = FS], à [mal dit] lui-même, mais aussi au [mal dit] violeur prisonnier [ou « détenu » ? Je te laisse trancher] – en réalité, lui, [pas besoin de « lui », je crois] il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient, [point-virgule ?] il était beau mais avait [ça n'est pas lui qui « avait »]
Corrige déjà ça… en te concentrant bien.
quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Je pense qu'il vaut mieux garder "cet", parce qu'avec la longueur de la phrase précédente, on s'y perdrait, non ?
Cet entretien réussit à être fixé et il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, à lui comme au violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau mais il y avait quelque chose de condamnable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien réussit à être fixé [pourquoi tu n'as pas choisi mon « obtenu » – cf commentaire ? Je ne dis pas que c'est ce qu'il fallait, mais je veux comprendre pourquoi tu l'écarte… Perso, je pense que c'est plus près du sens. Débattons ;-)] et il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, à lui [POR] comme au violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau [virgule] mais il y avait quelque chose de condamnable [regarde quand même au-delà de Wordreference pour ce terme ; que te dit un unilingue… ? Pas besoin de me coller la déf… Regarde s'il y a quelque d'intéressant à prendre et dis-moi]
Fais déjà ça.
et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Ah, je n'avais pas mis "obtenu" parce que je pensais que c'était une aide pour arriver à la bonne solution, et non que c'était en soi une solution, mais pas de problème, je l'adopte ;)
Pour "condamnable", les dicos unilingues ne m'ont rien donné de plus, que penses-tu de "blâmable" ?
Cet entretien réussit à être obtenu et il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs pour le faire ensemble et alternativement, mais l’amour propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il se reconnaissait toujours coupable et finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui pardonnaient et qu’elles avaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien réussit à être [pourquoi toutes ces chevilles ?] obtenu et [du coup, il faut changer ici] il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement, [point-virgule ?] elles le violaient, elles se regroupaient même à plusieurs [« regroupe à plusieurs » ? Redondant] pour le faire ensemble et alternativement, [point-virgule ?] mais l’amour [tiret ? Vérifie] propre – amour propre d’artiste, vous me comprenez – faisait qu’il [essaie sans « faire »] se reconnaissait toujours coupable et [virgule] finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles lui [LE] pardonnaient et qu’elles avaient [avec un verbe plus intéressant] beaucoup de pitié pour lui.
Je ne comprends pas ce qu'il faut changer ? Le "et" en virgule (ou en point) ?
Cet entretien est obtenu, il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement ; elles le violaient, elles se regroupaient même pour le faire ensemble et alternativement ; mais à cause de l’amour-propre – amour-propre d’artiste, vous me comprenez –, il se reconnaissait toujours coupable et, finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles le pardonnaient et qu’elles ressentaient beaucoup de pitié pour lui.
Cet entretien est [pas besoin du verbe] obtenu, il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement ; elles le violaient, elles se regroupaient même pour le faire ensemble et alternativement ; mais à cause de l’amour-propre – amour-propre d’artiste, vous me comprenez –, il se reconnaissait toujours coupable et, finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles le pardonnaient et qu’elles ressentaient beaucoup de pitié pour lui.
OK.
Cet entretien obtenu, il parle longuement avec le violeur ; la conversation lui fait beaucoup de peine, pour lui comme pour le violeur détenu – en réalité, il ne violait pas de femmes, ce sont elles qui le violaient ; il était beau, mais il y avait quelque chose de blâmable et de saisissant dans cette beauté submergée par l’enfermement ; elles le violaient, elles se regroupaient même pour le faire ensemble et alternativement ; mais à cause de l’amour-propre – amour-propre d’artiste, vous me comprenez –, il se reconnaissait toujours coupable et, finalement, il était laissé en liberté surveillée, surveillée par les femmes, car ses victimes déclaraient qu’elles le pardonnaient et qu’elles ressentaient beaucoup de pitié pour lui.
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