Sentado en el suelo, olía el perfume antiguo de la tierra hermosa y libre y, sintiéndose alegre y triste al mismo tiempo, encendía los fósforos y raspaba sus llamas, tenues llamas que danzaban en el melancólico crepúsculo ante la mirada temerosa y feliz de los niños huérfanos que lo rodeaban, en cuyos ojos velaba la muerte, que parecía mirarlo, divertida, segura y expectante.
Traduction temporaire :
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et gratté leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et gratté leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
14 commentaires:
Assis par terre, il avait humé le vieux parfum de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et frôlé leurs flammes, des flammes délicates qui dansaient dans le crépuscule mélancolique devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient, dont les yeux scrutaient la mort qui semblait le regarder, amusante, sûre et expectante.
Assis par terre, il avait humé [c'est à l'imparfait en V.O.] le vieux parfum [pourquoi l'inversion ? + je pense que dans ce contexte il doit y avoir mieux que « vieux »] de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé [idem pour le temps + pourquoi pas une trad littérale ? Je ne dis pas que c'est faux… je veux juste que tu m'expliques ton choix] les allumettes et frôlé [c'est bien le sens ?] leurs flammes, des flammes délicates [ou « ténues », comme en V.O. Vérifie] qui dansaient dans le crépuscule mélancolique [virgule ?] devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient, dont les yeux scrutaient la mort qui semblait le regarder, amusante [« amusée » ?], sûre et expectante [pas très heureux… Une autre idée ?].
Assis par terre, il avait humé [j’ai employé le plus-que-parfait comme au paragraphe précédent « avait organisée » pour exprimer une antériorité par rapport au reste du récit puisqu’il évoque encore sa petite fête intime] le parfum vieilli de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et volé leurs flammes, des flammes ténues qui dansaient dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient, dont les yeux scrutaient la mort qui semblait le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum vieilli [non, ça n'est pas l'idée… Plutôt quelque chose comme « ancestral »… ou un synonyme, peu importe ; en tout cas, c'est l'idée] de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et volé [pourquoi « volé » ?] leurs flammes, des flammes ténues qui dansaient dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui [essaie de faire sans ce « qui »… pas très bien, à cause de celui qu'il y a juste avant… Ça crée de la confusion argumentative] l'entouraient, dont les yeux scrutaient la mort qui [encore ????? Un moyen de faire autrement ?] semblait le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et frotté [« volé » est aussi un sens du verbe raspar] leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient, dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et frotté [« volé » est aussi un sens du verbe raspar… OK ; DANS CA CAS, JE TE LAISSE TRANCHER - EN FONCTION DE CE QUI TE SEMBLE LE PLUS LOGIQUE DANS LE CONTEXTE] leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient, [« et » à la place de la virgule] dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et pris [me semble le mieux pour l'instant mais je sais que cela ne convient pas]leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et pris [me semble le mieux pour l'instant mais je sais que cela ne convient pas ; ah non… là, c'est un contournement de difficulté ; ça n'est pas ce que dit l'auteur et il ne faut pas se débarrasser du pb comme ça… Cherche dans les dicos, sur Google, etc. ; le cas échéant, demande à un hispanophone] leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé
les allumettes et s'amusait à éteindre leurs flammes du bout des doigts,[je pensais pouvoir revenir sur ce verbe plus tard] des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et s'amusait à éteindre leurs flammes du bout des doigts, [je pensais pouvoir revenir sur ce verbe plus tard] des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Va dans le DRAE et dis-moi ce que tu trouves pour ton verbe problématique…
Voici les trois premiers sens du verbe :
1. tr. Frotar ligeramente algo quitándole alguna parte superficial.
2. tr. Hurtar, quitar algo.
3. tr. Pasar rozando.
Dans ce contexte, le sens est peut-être qu'il se frottait les mains et que cela produisait des flammes ?
Je t'envoie à notre Joker, Elena…
Je te mets son mail dans un mail. Contacte-la dema part et demande-lui son aide.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et gratté leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
Assis par terre, il avait humé le parfum ancestral de la terre, belle et libre et, se sentant à la fois gai et triste, il avait embrasé les allumettes et gratté leurs flammes, des flammes ténues dansant dans le crépuscule mélancolique, devant le regard craintif et heureux des orphelins qui l'entouraient et dont les yeux scrutaient la mort semblant le regarder, amusée, sûre et imminente.
OK… OUF !!!!!
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