samedi 24 novembre 2012

Les Lituma – phrase 265

También regresé a Perú, durante los veranos, único momento que el trabajo universitario me permitía; sin embargo, cada vez me sentía más extranjero en Lima, como si de pronto, mi ciudad natal me hubiese declarado un foráneo,  sin más conocidos ni familia.

Traduction temporaire :
J'étais également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon emploi à l’université me le permettait. À Lima, néanmoins, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger, comme si, soudain, ma ville natale m'avait enlevé ma citoyenneté, me laissant sans plus la moindre connaissance, sans plus de famille.

9 commentaires:

Sonita a dit…

J´étais aussi retourné au Pérou, pendant les étés – seule période où l’université me le permettait – et néanmoins, je me sentais de plus en plus étranger à Lima, comme si soudain, ma ville natale m’aurait déclaré un étranger, sans plus aucun ami ni de famille.

Tradabordo a dit…

J´étais aussi [ce sera mieux avec « également »] retourné au Pérou, pendant les étés [« l'été » suffira] – seule période où [et « trabajo » ?] l’université me le permettait – ; et néanmoins, je me sentais de plus en plus étranger [il faut faudrait construire la phrase avec « un étranger » – ça va effectivement demander quelques aménagements… mais ce sera sans doute mieux] à Lima, comme si [virgule] soudain, ma ville natale m’aurait [« m'avait »] déclaré un étranger [grammaire + pas de répétition de « étranger » en V.O., donc pas en français], sans plus aucun ami [« conocidos » ?] ni de famille.

Sonita a dit…

J´étais aussi également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon travail à l’université me le permettait – ; et néanmoins, je sentais que je devenais de plus en plus un étranger à Lima, comme si, soudain, ma ville natale m'avait ainsi déclaré, sans plus aucune conniassance ni de famille.

Tradabordo a dit…

J´étais aussi également [pas les deux !!!!! RELIS-TOI ; toi qui était si acérée, tu te mets à perdre un temps fou à cause d'un travail trop précipité, qui te fait multiplier les coquilles. Perte d'enthousiasme ???? Dommage, en tout cas :-((((] retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon travail [« emploi » ?] à l’université me le permettait – ; et néanmoins, je sentais que je devenais de plus en plus un étranger à Lima [« à Lima, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger »], comme si, soudain, ma ville natale m'avait ainsi déclaré [mal dit + solution de facilité ; essaie de trouver un adjectif], sans plus aucune conniassance [COQUILLE] ni de famille.

Sonita a dit…

Non, non ! Pas de perte d'enthousiasme. Au contraire ! Je veux tellement garder mon activité Tradabordienne malgré ces "vacances" que je finis par ne pas être aussi concentrée que je devrais l'être.
Je m'en excuse et m'efforcerai de mieux faire car moi-même j'ai envie de me démonter quand je vois mes coquilles !

***

J´étais également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon emploi à l’université me le permettait – ; et néanmoins, à Lima, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger, comme si, soudain, ma ville natale m'avait enlevé ma citoyenneté, sans plus aucune connaissance ni de famille.

Tradabordo a dit…

Bon, si c'est circonstanciel, ça va… ;-)

Je te propose :

J'étais également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon emploi à l’université me le permettait. À Lima, néanmoins, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger, comme si, soudain, ma ville natale m'avait enlevé ma citoyenneté, me laissant sans plus la moindre connaissance, sans plus de famille.

OK ?

Sonita a dit…

OK.

J'étais également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon emploi à l’université me le permettait. À Lima, néanmoins, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger, comme si, soudain, ma ville natale m'avait enlevé ma citoyenneté, me laissant sans plus la moindre connaissance, sans plus de famille.

Tradabordo a dit…

Validation d'une autre Lituma, svp.

Elodie a dit…

J'étais également retourné au Pérou, pendant l'été – seule période où mon emploi à l’université me le permettait. À Lima, néanmoins, j'avais de plus en plus la sensation d'être un étranger, comme si, soudain, ma ville natale m'avait enlevé ma citoyenneté, me laissant sans plus la moindre connaissance, sans plus de famille.

OK.