lundi 4 février 2013

Projet Céline – phrase 55

El tren a Roma estaba casi lleno, no, ahora no tendría la facilidad de tener un asiento, junto a la ventana,  y en un extremo del tren, para él solo, ahora no podría,  y tendría que apurarse para ello, sino que sentarse donde pudiera,  y lo hacia instintivamente,  echando por lo alto la maleta para no molestar a los viajeros que venían tras él, haciendo lo que él hacia, mirando los rostros de los viajeros con quienes tendrían que convivir, en silencio, o a través de monosílabos, durante un par de horas.

Traduction temporaire :
Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon,  là,  il n’aurait d’autre choix – et encore,  il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait ; ce qu’il effectuait instinctivement, posant sa valise dans l’emplacement du haut pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, à présent, il n’aurait pas la même facilité à trouver une place à côté de la fenêtre et en bout de train pour lui tout seul, à présent, il ne lui restait plus que la possibilité – et il devrait se dépêcher pour cela – de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il accomplissait instinctivement, soulevant sa valise pour ne pas déranger les voyageurs qui étaient derrière lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

El tren a Roma estaba casi lleno, no, ahora no tendría la facilidad de tener un asiento, junto a la ventana, y en un extremo del tren, para él solo,

Le train pour Rome était presque plein ; non, à présent [ou « là » ?], il n’aurait pas la même facilité [ce sera sans doute plus simple avec « facilement » ; essaie voir…] à trouver une place à côté de la fenêtre et en bout de train [ou « wagon », pour changer ?] pour lui tout seul,

ahora no podría, y tendría que apurarse para ello, sino que sentarse donde pudiera, y lo hacia instintivamente,

à présent [idem… ou alors on ne répète pas ; à toi de décider], il ne lui restait plus que la possibilité – et il devrait se dépêcher pour cela –

Tu as changé… reviens à la V.O. et voyons ce que ça donne…

de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il accomplissait instinctivement, soulevant sa valise pour ne pas déranger les voyageurs qui étaient derrière lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place à côté de la fenêtre ou en bout de wagon pour lui tout seul, là, il n’aurait d’autre choix, et il devrait se dépêcher pour cela, que de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il accomplissait instinctivement, soulevant sa valise pour ne pas déranger les voyageurs qui étaient derrière lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

El tren a Roma estaba casi lleno, no, ahora no tendría la facilidad de tener un asiento, junto a la ventana, y en un extremo del tren, para él solo, ahora no podría, y tendría que apurarse para ello, sino que sentarse donde pudiera,
Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place à côté de la fenêtre ou en bout de wagon pour lui tout seul [tu ne crois pas qu'il faudrait avancer ce bout-là ?], là, il n’aurait d’autre choix, et [cheville « encore » ?] il devrait [ou avec « lui faudrait » ?] se dépêcher pour cela [plus expliquer avec « y arriver » ?], que de s’asseoir où il le pourrait,

Faisons déjà cela…

ce qu’il accomplissait instinctivement, soulevant sa valise pour ne pas déranger les voyageurs qui étaient derrière lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il effectuait instinctivement, rangeant sa valise en hauteur pour ne pas déranger les voyageurs qui venaient après lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il effectuait instinctivement, rangeant sa valise en hauteur pour ne pas déranger les voyageurs qui venaient après lui, qui faisaient ce qu’il faisait, qui regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait [ou « où ce serait possible » ? JTLT],

y lo hacia instintivamente, echando por lo alto la maleta para no molestar a los viajeros que venían tras él, haciendo lo que él hacia, mirando los rostros de los viajeros con quienes tendrían que convivir, en silencio, o a través de monosílabos, durante un par de horas.
ce qu’il effectuait instinctivement, rangeant sa valise en hauteur [mal dit] pour ne pas déranger les voyageurs qui venaient [un autre verbe ?] après lui, qui [nécessaire ?] faisaient ce qu’il faisait, qui [idem ?] regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient vivre [ou « cohabiter » ?] en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait, ce qu’il effectuait instinctivement, plaçant sa valise dans l’emplacement en hauteur pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait, [ou « ; » ?] ce qu’il effectuait instinctivement, plaçant sa valise dans l’emplacement [« placer » + « emplacement » ; BOF] en hauteur pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait ; ce qu’il effectuait instinctivement, posant sa valise dans l’emplacement en hauteur pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait ; ce qu’il effectuait instinctivement, posant sa valise dans l’emplacement en hauteur [ou « du haut » ? JTLT] pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Unknown a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait ; ce qu’il effectuait instinctivement, posant sa valise dans l’emplacement du haut pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

Tradabordo a dit…

Le train pour Rome était presque plein ; non, là, il ne trouverait pas aussi facilement une place pour lui tout seul à côté de la fenêtre ou en bout de wagon, là, il n’aurait d’autre choix – et encore, il lui faudrait se dépêcher pour y arriver – que de s’asseoir où il le pourrait ; ce qu’il effectuait instinctivement, posant sa valise dans l’emplacement du haut pour ne pas déranger les voyageurs qui arrivaient après lui, faisaient ce qu’il faisait, regardaient les visages des personnes avec lesquelles ils devraient cohabiter en silence ou communiquer par monosyllabes durant quelques heures.

OK.