La panza sabía mejor que él si una cosa tenía olor para comer u olor para arrojarla. Ya lo sabían los hombres y niños que, urgidos por el dolor del hambre, pretendían comer algo que no era conveniente.
Traduction temporaire :
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants le savaient bien, eux qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants le savaient bien, eux qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
15 commentaires:
Son ventre savait mieux que lui-même si l'objet sentait bon à manger ou à jeter. Les hommes et les enfants, même pressés par la douleur provoquée par la faim, lorsqu'ils prétendaient manger quelque chose de mauvais le savaient aussi.
Son ventre savait mieux que lui-même [pas besoin] si l' [« una »] objet [pourquoi tu changes ?] sentait bon à manger [incorrect] ou à jeter. Les hommes et les enfants, même pressés par la douleur provoquée par la faim, lorsqu'ils prétendaient manger quelque chose de mauvais le savaient aussi [peu compréhensible ; phrase à reprendre].
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait bon à consommer ou à jeter. Les hommes et les enfants, pressés par la douleur provoquée par la faim, savaient aussi quand ils mangeaient quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait bon à [incorrect] consommer ou à jeter. Les hommes et les enfants, pressés par la douleur provoquée par la faim, savaient aussi quand ils mangeaient [et « pretendían » ?] quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait bon à consommer ou à jeter. Les hommes et les enfants, pressés par la douleur provoquée par la faim, le savaient aussi quand ils prétendaient manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait bon pour la consommer ou la jeter. Les hommes et les enfants, pressés par la douleur provoquée par la faim, le savaient aussi quand ils prétendaient manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait bon pour [ça ne va pas marcher comme ça… En français, tu vas devoir mettre des chevilles pour expliciter] la consommer ou la jeter. Les hommes et les enfants, pressés par la douleur provoquée par la faim, le savaient aussi quand ils prétendaient [pas sûre que la trad littérale soit adaptée] manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou bien, s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants en faisaient aussi les frais, lorsque pressés par la douleur provoquée par la faim, ils essayaient manger quelque chose de mauvais.
"les frais" ou "l'expérience"...
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou bien [« alors » ; pour éviter « bon » / « bien »], [pas de virgule ici] s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants en faisaient aussi les frais, lorsque pressés par la douleur provoquée par la faim, ils essayaient [relis] manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants en faisaient aussi les frais, lorsque pressés par la douleur provoquée par la faim, ils essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants en faisaient aussi les frais [ou « le savaient bien, eux qui » ? C'est vraiment comme tu veux…], lorsque pressés par la douleur provoquée par la faim, ils essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants le savaient bien, eux qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Ou: C'était aussi bien connu des hommes et des enfants qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Comme toujours : une solution, pas deux solutions… TRANCHE !
Ufa!
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants le savaient bien, eux qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
Son ventre savait mieux que lui si une chose sentait suffisamment bon pour être consommée ou alors s'il fallait la jeter. Les hommes et les enfants le savaient bien, eux qui, pressés par la douleur provoquée par la faim, essayaient de manger quelque chose de mauvais.
OK.
Enregistrer un commentaire