Porque antes, en el reciente pasado, habían proliferado como nunca, en todas partes asomaban sus anteojos negros, en todas partes sonaba su bastoncillo blanco.
Traduction temporaire :
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, on voyait leurs lunettes noires partout, on entendait leur canne blanche partout.
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, on voyait leurs lunettes noires partout, on entendait leur canne blanche partout.
9 commentaires:
Parce qu’avant, dans le passé proche, ils avaient proliféré comme jamais, partout apparaissaient leurs lunettes noires, partout résonnait leur canne blanche.
Parce qu’avant, dans le passé proche [ou « un proche passé » ?], ils avaient proliféré comme jamais, partout apparaissaient leurs lunettes noires, partout [place les deux « partout » au même endroit, pour créer l'équilibre] résonnait leur canne blanche.
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, partout apparaissaient leurs lunettes noires, partout résonnait leur canne blanche.
Euh, il me semble que les "partout" sont déjà au même endroit, par rapport à apparaître et résonner...
Tu veux dire qu'il vaut mieux les placer à la fin des propositions ?
Oui ;-) Voyons ce que ça donne à la fin…
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, leurs lunettes noires apparaissaient partout, leur canne blanche résonnait partout.
J'avais aussi pensé à des "on" (on voyait..., on entendait..., mais c'est peut-être trop loin de la VO).
OK pour le « on ».
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, on voyait leurs lunettes noires partout, on entendait leur canne blanche partout.
Parce qu’avant, dans un proche passé, ils avaient proliféré comme jamais, on voyait leurs lunettes noires partout, on entendait leur canne blanche partout.
OK.
Le bruit a couru que les libertaires, les communistes, les anarchistes qui voulaient continuer à penser librement se crevaient les yeux à coup de poignard ou les brûlaient à l’acide, s’enfermant en eux-mêmes, demeurant à l’abri de tout soupçon, de tout contrôle, de toute inquisition.
Enregistrer un commentaire