Finalmente, sólo es el artista el que logra ser asesinado, y queda, fatalmente, el arte, ese ojos, esa luz, esa memoria, esa, constancia, ese camino.
Traduction temporaire :
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus, fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette constance, ce chemin.
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus, fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette constance, ce chemin.
8 commentaires:
Finalement, il n'y a que l'artiste qui puisse être assassiné, et il ne reste plus que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette preuve, ce chemin.
Finalement, il n'y a que l'artiste qui puisse [pour « lograr » ? Est-ce que ça n'est pas carrément « parvenir » / « réussir à » ?] être assassiné, et il ne reste plus [et « fatalmente » ????] que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette preuve [FS], ce chemin.
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus , fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette certitude, ce chemin.
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus, fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette certitude [et pourquoi pas une trad littérale ????], ce chemin.
Ça dépend de comment on comprend "constancia".
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus, fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette constance, ce chemin.
Tu crois que c'est l'autre sens… ?
En fait je voyais le mot "constance" comme : Caractère d'un fait, d'une action, qui dure ou se reproduit. (je pensais donc plus pour constancia= témoignage, fait probant, preuve)
Mais là je viens de voir que "constance" c'est aussi : Fermeté de caractère, force morale permettant de supporter les épreuves.
Donc oui effectivement ça marche bien.
Finalement, il n'y a que l'artiste qui réussisse à être assassiné, et il ne reste plus, fatalement, que l'art, cet œil, cette lumière, cette mémoire, cette constance, ce chemin.
OK.
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