Ahora sé por qué lo hizo, pero en ese momento, adormecido ligeramente por el coñac y la molicie de la noche serena de Monterrico, me pregunté picado por qué se dirigía exclusivamente a mí, Carmen y Patricio también habían sonreído amablemente perplejos cuando Laura empezó a hablar de aquellos mitos como si estuvieran situados más allá de toda duda, tamizados por la certidumbre de lo real.
Traduction temporaire :
Aujourd'hui, je sais pourquoi elle avait agi de la sorte, mais à cet instant-là, légèrement somnolent à cause du cognac et de la douceur de la nuit paisible de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio, eux aussi, avaient souri, aimablement perplexes, quand Laura s’était mise à parler de ces histoires de mythes comme s’ils étaient avérés, tamisés par la certitude de la réalité.
Aujourd'hui, je sais pourquoi elle avait agi de la sorte, mais à cet instant-là, légèrement somnolent à cause du cognac et de la douceur de la nuit paisible de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio, eux aussi, avaient souri, aimablement perplexes, quand Laura s’était mise à parler de ces histoires de mythes comme s’ils étaient avérés, tamisés par la certitude de la réalité.
4 commentaires:
Maintenant, je sais pourquoi elle l’avait fait, mais à ce moment-là, légèrement endormi par le cognac et la douceur de la nuit calme de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio avaient également souri, aimablement perplexes, quand Laura avait commencé à parler ce ces mythes-là comme s’ils étaient à l’abri de tout doute, tamisés par la certitude de la réalité.
Maintenant [ou « Aujourd'hui » ?], je sais pourquoi elle l’avait fait [« elle avait agi de la sorte » ? Comme tu veux], mais à ce moment [je crois que tu as déjà « moment » dans la phrase d'avant ; vérifie]-là, légèrement endormi [ou avec « somnolent à cause du » ?] par le cognac et la douceur de la nuit calme [« paisible »] de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio avaient également [ou avec « , eux aussi, » juste après leurs prénoms ?] souri, aimablement perplexes, quand Laura avait commencé [déjà dans la phrase précédente] à parler ce [coquilles] ces mythes-là [ou « histoires de mythes » ?] comme s’ils étaient à l’abri de tout doute [peu clair ; j'ai dû relire pour comprendre… Tu devrais te libérer de la V.O.], tamisés par la certitude de la réalité.
Aujourd'hui, je sais pourquoi elle avait agi de la sorte, mais à cet instant-là, légèrement somnolent à cause du cognac et de la douceur de la nuit paisible de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio, eux aussi, avaient souri, aimablement perplexes, quand Laura s’était mise à parler de ces histoires de mythes comme s’ils étaient avérés, tamisés par la certitude de la réalité.
Aujourd'hui, je sais pourquoi elle avait agi de la sorte, mais à cet instant-là, légèrement somnolent à cause du cognac et de la douceur de la nuit paisible de Monterrico, je m’étais demandé, vexé, pourquoi elle s’adressait exclusivement à moi ; Carmen et Patricio, eux aussi, avaient souri, aimablement perplexes, quand Laura s’était mise à parler de ces histoires de mythes comme s’ils étaient avérés, tamisés par la certitude de la réalité.
OK.
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