Su venganza era cruel, los derrumbes fatales que se sucedían con horrorosa frecuencia en las minas eran obra suya, me contó Laura una tarde, a los pocos días de conocernos en la comida que ofrecieron los Canessa y a la que asistí un poco llevado por la ausencia de una excusa válida para no hacerlo y otro poco porque desde que ya no estaba Ángela, los sábados por la noche me resultaban demasiado amplios, demasiado vacíos.
Traduction temporaire :
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
6 commentaires:
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence terrible dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous nous étions connus lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu poussé par l’absence d’une excuse valable pour ne pas y aller, et un peu parce que depuis qu’Ángela n’était plus là, les samedis soir étaient trop longs, trop vides.
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence terrible [ou « effroyable » ? JTLT] dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous nous étions connus [ou par « faire connaissance »] lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu poussé par [ou « à cause » ?] l’absence d’une excuse valable pour ne pas y aller [on peut supprimer, non ?], et un peu parce que depuis qu’Ángela n’était plus là [ou « partie » ?], les samedis soir [« s » ?] étaient trop longs [ou « vastes » ?], trop vides.
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, et un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
Pour « samedi soir », j’ai vérifié, il n’y a pas de -s à « soir ».
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, [cheville : « d'après ce que » ou inutile ? ]m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, et [supprime] un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.
OK.
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