lundi 4 mars 2013

Projet Céline 4 – phrase 8

Su venganza era cruel, los derrumbes fatales que se sucedían con horrorosa frecuencia en las minas eran obra suya,  me contó Laura una tarde, a los pocos días de conocernos en la comida que ofrecieron los Canessa y a la que asistí un poco llevado por la ausencia de una excusa válida para no hacerlo y otro poco porque desde que ya no estaba Ángela, los sábados por la noche me resultaban demasiado amplios, demasiado vacíos.

Traduction temporaire :
Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes,  trop vides.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence terrible dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous nous étions connus lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu poussé par l’absence d’une excuse valable pour ne pas y aller, et un peu parce que depuis qu’Ángela n’était plus là, les samedis soir étaient trop longs, trop vides.

Tradabordo a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence terrible [ou « effroyable » ? JTLT] dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous nous étions connus [ou par « faire connaissance »] lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu poussé par [ou « à cause » ?] l’absence d’une excuse valable pour ne pas y aller [on peut supprimer, non ?], et un peu parce que depuis qu’Ángela n’était plus là [ou « partie » ?], les samedis soir [« s » ?] étaient trop longs [ou « vastes » ?], trop vides.

Unknown a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, et un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.

Pour « samedi soir », j’ai vérifié, il n’y a pas de -s à « soir ».

Tradabordo a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, [cheville : « d'après ce que » ou inutile ? ]m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, et [supprime] un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.

Unknown a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.

Tradabordo a dit…

Sa vengeance était cruelle, les éboulements fatals qui se produisaient à une fréquence effroyable dans les mines étaient son œuvre, d'après ce que m’avait raconté Laura une après-midi, quelques jours après que nous avions fait connaissance lors d’un dîner donné par les Canessa et auquel j’avais assisté, un peu à cause de l’absence d’excuse valable, un peu parce que depuis qu’Ángela était partie, les samedis soir étaient trop vastes, trop vides.

OK.