mercredi 24 avril 2013

Projet Elena 3 – phrases 9-16

—Ya lo tenemos. Ha sido fácil. Muy fácil. El pájaro se refugió en casa de Luis...  ¡No hay problema Luís es de los nuestros!
—A sus órdenes. ¡Le daremos café, mucho café! ¡No esperaremos a que amanezca!

Traduction temporaire :
— C'est bon, on le tient. Ça a été facile. Très facile. L'oiseau s'était réfugié chez Luís… Aucun problème, Luís est des nôtres !
— À vos ordres. Nous lui donnerons du « café », beaucoup de « café » ! Nous n'attendrons pas le lever du soleil !

10 commentaires:

Elena a dit…

— Ça y est, nous l'avons. Ça a été facile. Très facile. L'oiseau s'était réfugié chez Luís... Aucun problème, Luís est avec nous !
— À vos ordres. Nous lui donnerons du « café », beaucoup de « café » ! Nous n'attendrons pas le lever du soleil !

Tradabordo a dit…

— Ça y est, nous l'avons [« on le tient »]. Ça [ve serait mieux de ne pas commencer les deux phrases par « ça »] a été facile. Très facile. L'oiseau s'était réfugié chez Luís... Aucun problème, Luís est avec nous [moins clair qu'en V.O. ; ici, on croit qu'il est physiquement présent à côté d'eux] !
— À vos ordres. Nous lui donnerons du « café », beaucoup de « café » [à voir en fonction de ce que nous dira / de ce que décidera l'auteur] ! Nous n'attendrons pas le lever du soleil !

Elena a dit…

— C'est bon, on le tient. Ça a été facile. Très facile. L'oiseau s'était réfugié chez Luís... Aucun problème, Luís est des nôtres !
— À vos ordres. Nous lui donnerons du « café », beaucoup de « café » ! Nous n'attendrons pas le lever du soleil !

Tradabordo a dit…

— C'est bon, on le tient. Ça a été facile. Très facile. L'oiseau s'était réfugié chez Luís... Aucun problème, Luís est des nôtres !
— À vos ordres. Nous lui donnerons du « café », beaucoup de « café » ! Nous n'attendrons pas le lever du soleil !

OK.

Pour cette histoire de café, on laisse en suspens jusqu'à ce qu'on ait la réponse de Manel.

Elena a dit…

Oui, c'est pour ça que je l'ai mis entre guillemets. C'est peut-être une solution... ou bien, une note en bas de page.

Tradabordo a dit…

J'ai également pensé à la note de bas de page ; c'est peut-être la meilleure solution… Mais là aussi, on la composera en concertation avec Manel.

Elena a dit…

J'ai trouvé ça :

En los años previos a la guerra civil, se utilizaba crípticamente la palabra «CAFE», en frases o canciones aparentemente inocentes, ocultando un acrónimo cuyo significado era ‘Camaradas, Arriba Falange Española’.

Dicen que te vas, te vas
y nunca te acabas de marchar de aquí
a ver a esa chica rubia que dicen que tienes en Valladolid
yo te daré
te daré niña hermosa
te daré una cosa
una cosa que yo solo sé: ¡café!

Tradabordo a dit…

Là, c'est pas exactement le même usage…

Elena a dit…

Non, mais ça peut expliquer d'où ça vient...

Tradabordo a dit…

Oui, garde ça dans un coin – au cas où on se déciderait finalement pour la note. D'un autre côté, il faudra que ce soit succinct.