Una noche, desesperado, le dijo que la necesitaba, y ella se echó a reír con una mueca descreída. Por la mañana se cortó mientras se afeitaba y dibujó con la sangre un corazón traspasado en el espejo del cuarto de baño, y cuando ella miró el espejo llena de asco y miedo y desdén, él pensó, con la maquinilla todavía en la mano, que el cielo en un infierno cabe, y que todo el sufrimiento del mundo era bien poca cosa comparado con la intensidad de su amor.
Traduction temporaire :
Le lendemain matin, il se coupa alors qu'il se rasait et, avec son sang, il dessina un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain. Quand elle le vit, pleine de dégoût, de peur et de mépris, il se fit la réflexion, le rasoir toujours à la main, que le paradis devient rapidement un enfer et que toute la souffrance du monde était bien peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
Le lendemain matin, il se coupa alors qu'il se rasait et, avec son sang, il dessina un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain. Quand elle le vit, pleine de dégoût, de peur et de mépris, il se fit la réflexion, le rasoir toujours à la main, que le paradis devient rapidement un enfer et que toute la souffrance du monde était bien peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
6 commentaires:
Il y a erreur, je viens de la faire.
Désolée ;-) Je corrige.
Un matin, il se coupa alors qu'il se rasait et il dessina, avec son sang, un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain et quand elle regarda le miroir, remplie de dégoût, de peur et de dédain, il pensa, le rasoir toujours à la main que le paradis devient rapidement enfer, et que toute la souffrance du monde était peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
Un matin [plus précis avec « Por LA »], il se coupa alors qu'il se rasait et il dessina, avec son sang [je me demande si ça ne serait pas mieux comme ça : « et, avec son sang, il dessina » ; dis-moi], un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain et [point ?] quand elle regarda le miroir [tu ne crois pas qu'on devrait supprimer la répétition ?], remplie [« pleine » suffira] de dégoût, de peur et de dédain [ou « mépris » ?], il pensa [ou « arriva à la conclusion » ou « se fit la réflexion que » ?], le rasoir toujours à la main [virgule] que le paradis devient rapidement [cheville : « un »] enfer, [nécessaire ?] et que toute la souffrance du monde était peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
Le lendemain matin, il se coupa alors qu'il se rasait et, avec son sang, il dessina un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain. Quand elle le vit, pleine de dégoût, de peur et de mépris, il se fit la réflexion, le rasoir toujours à la main, que le paradis devient rapidement un enfer et que toute la souffrance du monde était peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
Le lendemain matin, il se coupa alors qu'il se rasait et, avec son sang, il dessina un cœur transpercé sur le miroir de la salle de bain. Quand elle le vit, pleine de dégoût, de peur et de mépris, il se fit la réflexion, le rasoir toujours à la main, que le paradis devient rapidement un enfer et que toute la souffrance du monde était bien peu de chose comparée à l'intensité de son amour.
J'ai ajouté un petit « bien » à la fin et c'est OK.
Je colle… après, prends l'ensemble de ton texte, relis bien et envoie quand c'est prêt.
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