Fernando VICENTE (Espagne)
Evidencias de un naufragio
En el puerto, todo el mundo me decía que tenía que asumirlo de una vez, cerrar la herida y tratar de continuar con mi vida, pero quién puede aceptar algo así. Continué acudiendo cada tarde a preguntar por él, hasta que, un día, antes de salir de casa, un dolor me rompió por dentro cuando al fin encontré las pruebas de que ya no volvería a verlo: la ausencia de las maletas en el altillo, su armario vacío, la nota de despedida que amarilleaba en la puerta de la nevera.
Traduction temporaire :
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller demander chaque après-midi si quelqu'un l'avait vu, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Evidencias de un naufragio
En el puerto, todo el mundo me decía que tenía que asumirlo de una vez, cerrar la herida y tratar de continuar con mi vida, pero quién puede aceptar algo así. Continué acudiendo cada tarde a preguntar por él, hasta que, un día, antes de salir de casa, un dolor me rompió por dentro cuando al fin encontré las pruebas de que ya no volvería a verlo: la ausencia de las maletas en el altillo, su armario vacío, la nota de despedida que amarilleaba en la puerta de la nevera.
Traduction temporaire :
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller demander chaque après-midi si quelqu'un l'avait vu, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller demander chaque après-midi si quelqu'un l'avait vu, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
30 commentaires:
Fernando VICENTE
(Espagne)
Evidencias de un naufragio
En el puerto, todo el mundo me decía que tenía que asumirlo de una vez, cerrar la herida y tratar de continuar con mi vida, pero quién puede aceptar algo así. Continué acudiendo cada tarde a preguntar por él, hasta que, un día, antes de salir de casa, un dolor me rompió por dentro cuando al fin encontré las pruebas de que ya no volvería a verlo: la ausencia de las maletas en el altillo, su armario vacío, la nota de despedida que amarilleaba en la puerta de la nevera.
(Les) traces d'un naufrage
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je passe très vite à autre chose, refermer la blessure et essayer de continuer ma vie, mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça. Je continuai à y’aller chaque soir pour demander après lui, jusqu'à ce qu’un jour, avant de sortir de chez moi, une douleur me déchira de l’intérieur lorsque en fin de compte j’eus la preuve que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de départ qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
(Les) traces d'un naufrage [1) Il faut que vous tranchiez pour le « les ». 2) Les guillemets des titres des nouvelles]
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je passe très vite à autre chose [pas exactement ce qu'il dit // revenez plus près de la V.O.], refermer la blessure et essayer de continuer [il y a un verbe mieux ici] ma vie, [point-virgule] [cheville : « d'accord, »] mais qui peut bien [nécessaire] accepter quelque chose comme ça. [point d'interrogation ?]
Vous relirez la suite… Il y a des coquilles.
Je continuai à y’aller chaque soir pour demander après lui, jusqu'à ce qu’un jour, avant de sortir de chez moi, une douleur me déchira de l’intérieur lorsque en fin de compte j’eus la preuve que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de départ qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte très vite (ou : le plus rapidement possible), refermer la blessure et essayer de poursuivre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Je continuai à y’aller chaque soir pour le réclamer, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira de l’intérieur lorsque j’eus la preuve définitive que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de départ qui palissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte très vite (ou : le plus rapidement possible / ni l'un ni l'autre « de una vez » ; regardez bien dans le dico, y compris le dico unlingue. + attention de ne proposer qu'une seule solution à chaque fois. Ce serait trop long et trop compliqué d'évaluer de multiples traductions…), refermer la blessure et essayer de poursuivre [« reprendre » ?] ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
On va déjà terminer ça.
Je continuai à y’aller chaque soir pour le réclamer, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira de l’intérieur lorsque j’eus la preuve définitive que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de départ qui palissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte d'un seul coup, refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte d'un seul coup [regardez dans le dico unilingue ce que veut dire « de una vez »], refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte définitivement, refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte définitivement [« une fois pour toutes » ?], [cheville : « laisser » ?] refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes,laisser refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, laisser refermer la blessure et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, laisser refermer la blessure [pb de syntaxe dans ce petit bout] et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, laisser la blessure se refermer et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, laisser [il faut adapter… parce que sinon, ça ne va pas avec « qu'il fallait »] la blessure se refermer et essayer de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je laisse la blessure se refermer(ou alors: "que je m'efforce de refermer la blessure") et que j'essaye de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je laisse la blessure se refermer (ou alors: "que je m'efforce de refermer la blessure" OK) et que j'essaye de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et que j'essaye de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et que j'essaye [nécessaire ? Avec « de m'efforcer », ça suffit, non ?] de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces d'un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ?
OK.
Vous pouvez ajouter la suite.
Fernando VICENTE
(Espagne)
Evidencias de un naufragio
En el puerto, todo el mundo me decía que tenía que asumirlo de una vez, cerrar la herida y tratar de continuar con mi vida, pero quién puede aceptar algo así. Continué acudiendo cada tarde a preguntar por él, hasta que, un día, antes de salir de casa, un dolor me rompió por dentro cuando al fin encontré las pruebas de que ya no volvería a verlo: la ausencia de las maletas en el altillo, su armario vacío, la nota de despedida que amarilleaba en la puerta de la nevera.
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai à y’aller chaque soir pour le réclamer, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira de l’intérieur lorsque j’eus la preuve définitive que je ne le reverrais plus : l’absence de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de départ qui palissait sur la porte du frigo.
[Vous m'aviez dit au début de ma traduction que la deuxième partie n'allait pas, où me suis-je trompée?]
J'ai pris un peu de la suite. On ajoute un fragment à chaque fois.
Fernando VICENTE
(Espagne)
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai à [« de »] y’[????]aller chaque soir [ou « après-midi » ?] pour le réclamer [peu clair en français], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira de [ou « à » ?] l’intérieur lorsque j’eus [pas le verbe utilisé en espagnol] la preuve [au pluriel en V.O.] définitive [pas en V.O.] que je ne le reverrais plus : l’absence de ses valises sur la mezzanine [FS], son armoire vide, le mot de départ [naturel en français ?] qui palissait [FS] sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
En el puerto, todo el mundo me decía que tenía que asumirlo de una vez, cerrar la herida y tratar de continuar con mi vida, pero quién puede aceptar algo así. Continué acudiendo cada tarde a preguntar por él, hasta que, un día, antes de salir de casa, un dolor me rompió por dentro cuando al fin encontré las pruebas de que ya no volvería a verlo: la ausencia de las maletas en el altillo, su armario vacío, la nota de despedida que amarilleaba en la puerta de la nevera.
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour le demander [pour demander de ses nouvelles ? je ne sais pas si c’est dans le sens de demander quelqu'un ou demander des nouvelles de quelqu’un ?], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai les preuves que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de rupture [ou la lettre de rupture ?] à peine perceptible sur la porte du frigo.
N'oubliez pas de remettre nom + titre…
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour le demander [pour demander de ses nouvelles ? je ne sais pas si c’est dans le sens de demander quelqu'un ou demander des nouvelles de quelqu’un ? Je pense que c'est dans le sens de « chercher »], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai les preuves que je ne le reverrais plus : la disparition de ses valises sur la mezzanine [FS], son armoire vide, le mot de rupture [ou la lettre de rupture ? MOT] à peine perceptible [CS] sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
Les traces d’un naufrage.
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller le chercher chaque après-midi, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai les preuves que je ne le reverrais plus : [« le manque », « le départ » ?] de ses valises sur la mezzanine, son armoire vide, le mot de rupture qui [« se décomposait » ou « se détériorait » ?] sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les traces [au fait, c'est « traces » ou « preuves » ?] d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller le chercher [je me demande si ainsi, on dit la même idée qu'en espagnol] chaque après-midi, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai les preuves que je ne le reverrais plus : [« le manque », « le départ » ? « L'absence », c'est-à-dire la trad littérale] de ses valises sur la mezzanine [FS ici ?], son armoire vide, le mot de rupture qui [« se décomposait » ou « se détériorait » ? pourquoi vous ne restez pas près de la V.O. ?] sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
[au fait, c'est « traces » ou « preuves » ? Pour ce qui est du titre, moi je préférais « les traces » car il rend bien compte de l’idée de souffrances vécues par le narrateur dans le passé mais c’est vrai que « preuves » se rapprocherait plus de la VO soit « evidencias » alors restons plus près de la VO et mettons « preuves »]
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour chercher à le voir [je me demande si ainsi, on dit la même idée qu'en espagnol : « chercher » tout seul ne traduit pas le même sens en espagnol selon moi, c’est pas comme ça que je comprends cette phrase = « demander à voir quelqu’un » ? « chercher à voir quelqu’un » ? ], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai les preuves que je ne le reverrais plus : L'absence de ses valises sur la soupente, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour chercher à le voir [je me demande si ainsi, on dit la même idée qu'en espagnol : « chercher » tout seul ne traduit pas le même sens en espagnol selon moi, c’est pas comme ça que je comprends cette phrase = « demander à voir quelqu’un » ? « chercher à voir quelqu’un » ? En langage populaire, on dirait : « demander après quelqu'un » // voyez quelle est la version « normale »], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je trouvai [ou « tomber sur » ici ?] les preuves que je ne le reverrais plus : L[pas de majuscule après deux points]'absence de ses valises sur la soupente [« mansarde »], son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour demander après lui [je me demande si ainsi, on dit la même idée qu'en espagnol : « chercher » tout seul ne traduit pas le même sens en espagnol selon moi, c’est pas comme ça que je comprends cette phrase = « demander à voir quelqu’un » ? « chercher à voir quelqu’un » ? En langage populaire, on dirait : « demander après quelqu'un » // voyez quelle est la version « normale » : « demander après lui » c’est déjà ce qui me semblait le mieux quand je l’ai traduit la première fois, je pense que ça colle bien avec le reste qui n’est pas très littéraire. Par rapport aux autres propositions que j’ai faites avant, celle-ci est selon moi la plus claire et la plus directe], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller chaque après-midi pour demander après lui [je vous ai dit : le sens est OK, mais c'est trop populaire… Le cas échéant, réécrivez pour dire la même chose], jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
Fernando VICENTE
(Espagne)
« Les preuves d’un naufrage »
Au port, tout le monde me disait qu’il fallait que je l’accepte une fois pour toutes, que je m'efforce de refermer la blessure et de reprendre ma vie ; mais qui peut bien accepter quelque chose comme ça ? Je continuai d’aller demander chaque après-midi si quelqu'un l'avait vu, jusqu'au jour où, avant de partir de chez moi, une douleur me déchira à l’intérieur lorsque je tombai sur les preuves que je ne le reverrais plus : l'absence de ses valises sur la mansarde, son armoire vide, le mot de rupture qui jaunissait sur la porte du frigo.
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