jeudi 2 janvier 2014

Projet Justine – phrase 245-247

Empezó a trabajar al levantarse. Terminaba cuando ya no podía mantener los ojos abiertos. Como Dios, a partir de ese momento Fireman se volvió vengativo y comenzó a enviar plagas a su pueblo de comentaristas rebeldes.

Traduction temporaire :
Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment-là, Fireman, comme Dieu, devint vindicatif et se mit à envoyer des fléaux à son peuple de commentateurs rebelles.

15 commentaires:

Justine a dit…


Il commença à travailler en se levant. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. Comme Dieu, à partir de ce moment-là, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Il commença à travailler en se levant [bizarre, non ?]. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. Comme Dieu, à partir de ce moment-là, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. Comme Dieu, à partir de ce moment-là, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. Comme Dieu, à partir de ce moment-là [syntaxe ?], Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

J'ai toujours peur de trop changer, désormais je m'abstiens…


Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là, Comme Dieu, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

J'ai toujours peur de trop changer, désormais je m'abstiens…


Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là, comme Dieu, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Non… continue ; c'est ensemble qu'on apprendra à doser.

Avant de continuer ici (tu me resolliciteras pour que je ne t'oublie pas), regarde ce que te dit Elena dans la phrase d'avant. Une grosse bourde…

Justine a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là, comme Dieu, Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là, comme Dieu [place-le après], Fireman devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là, Fireman devint vindicatif et, comme Dieu, se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment là [orthographe], Fireman devint vindicatif et, comme Dieu [avance-le], se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment-là, Fireman, comme Dieu, devint vindicatif et se mit à bombarder son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Tradabordo a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment-là, Fireman, comme Dieu, devint vindicatif et se mit à bombarder [non ; va voir comment on dit s'agissant de Dieu, des fléaux / plaies, tout ça…] son peuple de commentateurs rebelles à coups de fléaux.

Justine a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment-là, Fireman, comme Dieu, devint vindicatif et se mit à envoyer des fléaux à son peuple de commentateurs rebelles.

Tradabordo a dit…

Dès son réveil, il commença à travailler. Il arrêtait quand il ne pouvait plus garder les yeux ouverts. À partir de ce moment-là, Fireman, comme Dieu, devint vindicatif et se mit à envoyer des fléaux à son peuple de commentateurs rebelles.

OK.