Fireman leía cada día aproximadamente ochenta y dos comentarios –de los que no se publicaban tal como llegaban, aunque quienes los escribían sabían que él iba a leerlos– donde le deseaban distintas variedades de tumores malignos.
Traduction temporaire :
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
6 commentaires:
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires — ceux qui n'étaient pas publiés tel quel, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait — dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires — [les tirets moyens] ceux qui n'étaient pas publiés tel quel [« en l'état » ou littéral ?], même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait — dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – ceux qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – ceux [en V.O. : « de los » ; est-ce que ça ne change pas l'interprétation ?] qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.
OK.
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