dimanche 5 janvier 2014

Projet Justine – phrases 248-253

Banneos.
Virus.
Bombas de spam.
Llegaban a los correos electrónicos privados de los usuarios que escribían los comments más dañinos.

Direcciones privadas que ni siquiera habían usado para inscribirse en el portal. Fireman se ocupaba de hackear cuentas bancarias.

Traduction temporaire :
Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.

Tout cela arrivait dans les boîtes mails privées des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants. Des adresses personnelles qu'ils n'avaient même pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman pirataient leurs comptes bancaires.

10 commentaires:

Justine a dit…

Des bans.
des virus.
Des bombes de spam.

Voilà ce qui arrivait dans les courriers électroniques privés des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.

Des adresses privées qu'ils n'avaient mêmes pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker leurs comptes bancaires.

Tradabordo a dit…

Des bans.
des [majuscule] virus.
Des bombes de spam [?].


Voilà ce qui arrivait dans les courriers électroniques privés des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.

Des adresses privées qu'ils n'avaient mêmes pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker leurs comptes bancaires.

Justine a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.


Voilà ce qui arrivait dans les courriers électroniques privés des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.

Des adresses privées qu'ils n'avaient mêmes pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker leurs comptes bancaires.

Tradabordo a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Voilà ce qui [« Tout cela »] arrivait dans les courriers [toi, tu parles de ton courrier électronique ?] électroniques privés des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.
Des adresses privées qu'ils n'avaient mêmes pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker leurs comptes bancaires.

Justine a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les mails privés des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.
Des adresses privées qu'ils n'avaient mêmes pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker leurs comptes bancaires.

Tradabordo a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les [cheville : « boîtes »] mails privés [« ées », du coup] des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.
Des adresses privées [« personnelles » ?] qu'ils n'avaient mêmes [GRAMMAIRE ! RELIS-TOI] pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de hacker [on utilise le verbe ?] leurs comptes bancaires.

Justine a dit…

On emploie le verbe « hacker », mais « pirater » est plus courant :

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les boîtes
mails privées des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants.
Des adresses personnelles qu'ils n'avaient même pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de pirater leurs comptes bancaires.

Tradabordo a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les boîtes mails privées des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants. Des adresses personnelles qu'ils n'avaient même pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman s'occupait de pirater [« pirataient » tout simplement ?] leurs comptes bancaires.

Justine a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les boîtes mails privées des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants. Des adresses personnelles qu'ils n'avaient même pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman pirataient leurs comptes bancaires.

Tradabordo a dit…

Des bans.
Des virus.
Des tonnes de spams.
Tout cela arrivait dans les boîtes mails privées des usagers qui écrivaient les comments les plus blessants. Des adresses personnelles qu'ils n'avaient même pas utilisées pour s'inscrire sur le portail. Fireman pirataient leurs comptes bancaires.

OK.