En silencio, robó la navaja suiza del cajón. Puñal de pirata, pensó, complacido y asustado. Luego salió al jardín, mojándose los pantalones de franela en la hierba, y liberó a Antonio de su cautiverio.
Traduction temporaire :
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il gagna le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il gagna le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
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En silence, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il sortit dans le jardin mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
En silence [« Sans bruit » ?], il vola le couteau suisse du [« dans le » ?] tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il sortit dans le jardin [ponctuation nécessaire] mouillant son pantalon de flanelle dans [un moyen de faire sans « dans » + « dans » ?] l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il sortit par le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il sortit par [« gagna » ?] le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il gagna le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
Sans bruit, il vola le couteau suisse du tiroir. Un poignard de pirate, pensa-t-il, à la fois satisfait et apeuré. Puis, il gagna le jardin, mouillant son pantalon de flanelle dans l’herbe, et libéra Antonio de sa captivité.
OK.
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