Despertó en un taller mecánico antiguo, sobre la pared había sensuales fotografías de chicas en biquinis que habían sido recortadas de un periódico, pensó, que en su época, las cosas seguían iguales a las de antes y en los talleres seguían tapizando las paredes con las fotos de las modelos semidesnudas que salían en los periódicos, “estos suplementos son el Playboy de los pobres”, pensó.
Traduction temporaire :
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé : dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux – “ces suppléments sont le Playboy du pauvre”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé : dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux – “ces suppléments sont le Playboy du pauvre”, pensa-t-il.
12 commentaires:
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien, aux murs ornés de photographies sensuelles de filles en bikini découpées dans le journal ; il se dit en lui-même qu’à son époque, les choses restaient les mêmes qu’avant et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien, aux [ou « dont les » ?] murs [« étaient », du coup ?] ornés de photographies sensuelles [« sexys » ?] de filles en bikini découpées dans le journal ; il se dit en lui-même [supprime. 1) Inutile. 2) Tu répètes « même » juste dessous] qu’à son époque, les choses restaient les mêmes qu’avant [naturel ?]
et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien, dont les murs étaient ornés de photographies sexys de filles en bikini découpées dans le journal ; il se dit qu’à son époque, les choses restaient les mêmes
et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien [au fait, c'est pas un garage ? Vérifie… et surtout, vois en fonction de la suite], dont les murs étaient ornés de photographies sexys de filles en bikini découpées dans le journal [placé avant ? Essaie] ; il se dit [ou « songea » / « se fit la réflexion » ?] qu’à son époque, les choses restaient les mêmes [naturel ?]
et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien [ce n'est pas précisé par la suite, "atelier de mécanique?"], dont les murs étaient ornés de photographies sexys découpées dans le journal de filles en bikini ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé
et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieil atelier de mécanicien [ce n'est pas précisé par la suite, "atelier de mécanique?" OK, mais ça ne te paraît pas plus logique ?], dont les murs étaient ornés de photographies sexys découpées dans le journal de filles en bikini [placé avant ?] ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé
et dans les ateliers, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies sexys de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé
et dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies sexys de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé et [une simple virgule, sinon, tu n'assures pas le lien logique…] dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies sexys de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé, dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies sexys [nécessaire ?] de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé, [ou deux points ?] dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux, [tiret ?] “ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé : dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux –“ces suppléments sont le Playboy des pauvres”, pensa-t-il.
Il se réveilla dans un vieux garage, dont les murs étaient ornés de photographies de filles en bikini découpées dans le journal ; il songea qu’à son époque, les choses n'avaient pas changé : dans les garages, on tapissait encore les murs de photos de mannequins à demi-nues qui paraissaient dans les journaux – “ces suppléments sont le Playboy du pauvre”, pensa-t-il.
OK.
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