La señora Ema extendió con cuidado la mano y la posó sobre el lomo del tigre. Un escozor le recorrió la espalda. Es bello, pensó la señora Ema, es bello y oscuro y fuerte y de un solo bocado podría engullirme. Y la señora Ema ya no pudo pensar nada más. El tigre la absorbió por completo. Estuvo así un buen rato, con su mano jugueteando entre las rayas del pelaje. Sus dedos recorrían la piel y, al tacto, sintió las costillas que se inflaban y desinflaban. A la señora Ema le pareció que el tigre ronroneaba al recibir sus caricias.
Traduction temporaire :
Madame Ema tendit la main avec précaution. Un frisson lui parcourut le dos quand elle lui caressa l'échine. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution. Un frisson lui parcourut le dos quand elle lui caressa l'échine. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
8 commentaires:
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur le dos du tigre. Un frisson parcourut son dos. Il est beau, se dit madame Ema, il est beau, sombre et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Et elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se gonfler et se dégonfler. Elle eut l’impression que le tigre ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur le dos du tigre. Un frisson parcourut son dos [tu as deux fois « dos » / « flanc » pour le premier ?]. Il est beau, se dit madame Ema [« songea-t-elle » ?], il est beau, sombre [naturel ici ? J'hésite…] et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Et [supprime ou alors l'autre juste à la fin de la phrase d'avant] elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se gonfler et se dégonfler [bizarre, non ?]. Elle eut l’impression que le tigre [« fauve » / « bête » ?] ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur le flanc du tigre. Un frisson parcourut son dos. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur le flanc [« échine » ?] du tigre. Un frisson parcourut son dos [« lui parcourut le dos » // comme on ne sait pas de qui il s'agit, tu devrais mixer les deux phrases…]. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur l'échine du tigre. Un frisson lui parcourut le dos. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution et la posa sur l'échine du tigre. Un frisson lui parcourut le dos [non, là, on ne sait pas si c'est la bête ou elle… Passe par : « Un frisson lui parcourut, quand elle lui… // en tout cas essaie et vois si ça n'est pas mieux ; je te laisse trancher…]. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution. Un frisson lui parcourut le dos, quand elle lui caressa l'échine. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
Madame Ema tendit la main avec précaution. Un frisson lui parcourut le dos quand elle lui caressa l'échine. Il est beau, songea-t-elle, il est beau, foncé et fort, et il pourrait ne faire de moi qu’une bouchée. Elle ne put rien penser d’autre. Le tigre l’avait complètement absorbée. Elle resta ainsi un bon moment, à faire jouer sa main au milieu des rayures du pelage. Ses doigts parcouraient la peau et, au toucher, elle sentit les côtes se soulever et s'abaisser. Elle eut l’impression que le fauve ronronnait sous ses caresses.
OK.
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