vendredi 16 janvier 2015

Projet Marine / Céleste – phrases 5-8

Silvia escuchaba con cierto malestar el relato de mis sueños. Con rabia nada oculta cerraba el periódico que leía y se iba al dormitorio. Sentada frente al tocador se alisaba el cabello y se contemplaba desde uno y otro ángulo. Al volver, sosegada, mucho más tranquila, me preguntaba, una y mil veces, si aún la encontraba bella, que si aún era feliz con ella, que si aún ella sigue siendo mi princesa.

Traduction temporaire :
Silvia écoutait avec un certain malaise le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et s'en allait dans sa chambre. Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. De nouveau calme, beaucoup plus tranquille, elle me demandait mille et une fois si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

7 commentaires:

Mohammed a dit…

Silvia écoutait péniblement le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et allait se coucher. [J'aurais vu cette phrase au passé simple: "Avec une rage non dissimulée, elle ferma le journal qu'elle lisait et alla se coucher" mais l'imparfait se traduit toujours pas l'imparfait.]
Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. Quand elle redevint calme, beaucoup plus tranquille, elle me posait mille et une fois, si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

Tradabordo a dit…

Silvia écoutait péniblement [pas ce qui est dit en V.O.] le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et allait se coucher [pas ce qui est dit à partir de « allait »]. [J'aurais vu cette phrase au passé simple: "Avec une rage non dissimulée, elle ferma le journal qu'elle lisait et alla se coucher" mais l'imparfait se traduit toujours pas l'imparfait. // non, car c'est une habitude].
Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. Quand elle redevint [temps] calme, beaucoup plus tranquille, elle me posait [?] mille et une fois, si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

Mohammed a dit…

Silvia écoutait avec un certain mal-être le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et s'en allait dans sa chambre. Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. De nouveau calme, beaucoup plus tranquille, elle me demandait mille et une fois, si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

Tradabordo a dit…

Silvia écoutait avec un certain mal-être [« malaise » / « gêne » ?] le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et s'en allait dans sa chambre. Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. De nouveau calme, beaucoup plus tranquille, elle me demandait mille et une fois, [sans la virgule] si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

Mohammed a dit…

Silvia écoutait avec un certain malaise le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et s'en allait dans sa chambre. Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. De nouveau calme, beaucoup plus tranquille, elle me demandait mille et une fois si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

Tradabordo a dit…

Silvia écoutait avec un certain malaise le récit de mes rêves. Avec une rage non dissimulée, elle fermait le journal qu'elle lisait et s'en allait dans sa chambre. Assise face à sa coiffeuse, elle se lissait les cheveux et s'admirait sous tous les angles. De nouveau calme, beaucoup plus tranquille, elle me demandait mille et une fois si je la trouvais encore belle, si j'étais encore heureux avec elle et si je la considérais encore comme ma princesse.

OK.

Vous faites du bon travail, Céleste. Je suis contente de vous.

Marine ?

Unknown a dit…

C'est ok pour moi