lundi 11 janvier 2010

Exercice de version, 52

En una ciudad, a orillas de un río que surge enfangado desde los campos imperecederos, hay una biblioteca cuya estructura de madera se pierde en las nieblas de la montaña sobre la que se asienta. A pesar de estar relativamente cerca de la ciudad y la Universidad, envuelve la biblioteca un aire de mito y misterio que es engrandecido por su pasado como convento, cárcel y bunker durante la guerra. La decisión de los monjes y la abadesa de transformar uno de los edificios de la antigua estructura en una biblioteca, con el fin de conseguir dinero para restaurar la enorme estatua del Cristo del Cerro de Los Ángeles, fue muy bien recibida por la comunidad. La antigua estructura de la fortaleza comparte un puesto destacado en la cima del cerro, junto a una antigua Iglesia, un convento, un monasterio, un pequeño museo y una iglesia escavada en la roca, cuyo principal punto de interés es la enorme estatua de Jesucristo que domina toda la comarca desde una atalaya privilegiada. A los pies del Cerro de los Ángeles, como se llama al montículo sobre el que se asienta, se celebran cada año las fiestas del Rocío, así como la procesión de la Virgen de los Ángeles. Eso, unido a las continuas brumas que suben por sus boscosas laderas cada noche, y su inmensa y fría mole negra que se erige solitaria en la noche de la meseta, han convertido a la llamada Biblioteca de los Sueños en un centro de estudio envuelto en mito y misterio. Los oscuros bosques, que guardan por la noche la sombría forma del Cerro de los Ángeles, contribuyen a engrandecer la leyenda mágica de este lugar. Leyenda, que ha ido pasando de generación en generación con el paso de los siglos. Creciendo con cada acontecimiento que tenía lugar entre sus muros, aumentando con cada personaje que ha habitado o paseado por sus jardines y pasillos.

Francisco Ajenjo Toledo, Biblioteca de los sueños

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Laëtitia Sw nous propose sa traduction :

Dans une ville, au bord d’une rivière qui surgit, chargée de boue, des champs impérissables, se trouve une bibliothèque dont la structure en bois se perd dans les brumes de la montagne sur laquelle elle est établie. Bien qu’elle soit relativement près de la ville et de l’Université, la bibliothèque recèle un air de mythe et de mystère, accentué par son passé de couvent, de prison et de bunker pendant la guerre. La décision des moines et de l’abbesse de transformer un des édifices de l’ancienne structure en une bibliothèque, afin d’obtenir des fonds pour restaurer l’énorme statue du Christ du Cerro de Los Ángeles, a été très bien reçue par la communauté. L’ancienne structure de la forteresse jouit d’un emplacement de choix au sommet de la colline, au côté d’une ancienne Église, d’un couvent, d’un monastère, d’un petit musée et d’une église creusée dans la roche, dont le principal point d’intérêt est l’énorme statue de Jésus Christ qui domine toute la région depuis une hauteur privilégiée. Au pied du Cerro de Los Ángeles – c’est ainsi qu’on appelle le mont sur lequel elle est établie –, on célèbre chaque année les fêtes du Rosaire, ainsi que la procession de la Vierge de Los Ángeles. Ceci, conjugué aux continuelles brumes qui montent le long de ses versants boisés chaque nuit, et à son immense et froide masse noire qui s’érige, solitaire, dans la nuit du plateau, a fait de ladite Bibliothèque des Rêves un centre d’étude empreint de mythe et de mystère. Les bois sombres, qui gardent la nuit la ténébreuse forme du Cerro de Los Ángeles, contribuent à accroître la légende magique de ce lieu. Une légende qui s’est transmise de génération en génération au cours des siècles. Grandissant avec chaque événement qui avait lieu entre ses murs, avec chaque personnage qui a habité ou s’est promené dans ses jardins et couloirs.

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Émeline nous propose sa traduction :

Dans une ville, aux abords d’une rivière boueuse qui surgit des champs impérissables, se dresse une bibliothèque dont la structure de bois se perd dans les brumes de la montagne à laquelle elle est adossée. Bien qu’elle soit relativement proche de la ville et de l’Université, la bibliothèque est enveloppée par une aura mythique et mystérieuse, renforcée par son passé de couvent, de prison et de bunker pendant la guerre. La décision des moines et de l’abbesse de transformer l’un des bâtiments de l’ancienne structure en bibliothèque, afin d’obtenir des fonds pour restaurer l’énorme statue du Christ de la Colline des Anges, fut très bien accueillie par la communauté. L’ancienne structure de la forteresse partage un emplacement de choix aux côtés d’une ancienne Église, d’un couvent, d’un monastère, d’un petit musée et d’une église creusée dans la roche, et dont le principal centre d’intérêt est l’énorme statue de Jésus-Christ qui domine toute la contrée depuis sa hauteur privilégiée. Au pied de la Colline des Anges, comme on appelle le monticule sur lequel elle se trouve, on célèbre chaque année les fêtes de la Vierge de la Rosée, ainsi que la procession de la Vierge des Anges. Tout cela, conjugué aux perpétuelles brumes qui montent chaque nuit de ses flancs boisés, et son immense et froide masse noire qui s’érige, solitaire, dans la nuit du plateau, a fait de la dite Bibliothèque des Rêves un centre d’étude enveloppé de mythe et de mystère. Les obscures forêts qui, la nuit, gardent la sombre de la Colline des Anges, ajoutent à la légende magique de ce lieu. Une légende qui, au fil des siècles, se transmet de génération en génération ; grandissant à chaque évènement passé entre ses murs, s’amplifiant avec chaque personnage ayant habité ou s’étant promené dans ses jardins et ses couloirs.

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Julie nous propose sa traduction :

Dans une ville, près d’une rivière fangeuse qui jaillit depuis les champs impérissables, il y a une bibliothèque dont la structure en bois se perd dans le brouillard de la montagne sur laquelle elle repose. En dépit de sa position relativement proche de la ville et de l’Université, la bibliothèque contient un air de mythe et de mystère qui est amplifié par son passé en tant que couvent, prison et bunker pendant la guerre. La décision des moines et de l’abbesse de transformer l’un des anciens bâtiments de l’ancienne structure en une bibliothèque, dans le but d’obtenir de l’argent pour restaurer l’énorme statue du Christ de la Colline des Anges, a été très bien accueillie par la communauté. L’ancienne structure de la forteresse partage un poste remarquable au sommet de la colline, près d’une ancienne Eglise, un couvent, un monastère, un petit musée et une église creusée dans la roche, dont le principal intérêt est l’énorme statue de Jésus Christ qui domine toute la contrée depuis une tour de guet privilégiée. Au pied de la Colline des Anges, comme le monticule sur lequel elle repose se nomme, on fête chaque année les fêtes de la Rosée, ainsi que la procession de la Vierge des Anges. Cela, uni aux continuelles brumes qui montent par ses flancs boisés, et son immense et sa froide masse noire qui se dresse solitaire dans la nuit du plateau, ont transformé la dite Bibliothèque des Rêves en un centre d’étude enveloppé de mythe et de mystère. Les obscurs bois, qui gardent la nuit la sombre forme de la Colline des Anges, contribuent à amplifier la légende magique de ce lieu. Légende, qui peu à peu s’est transmise de génération en génération avec le passage des siècles. Croissant avec chaque événement qui se passait entre ses murs, grandissant avec chaque personnage qui a vécu ou qui s’est promené dans ses jardins et dans ses couloirs.

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Pascaline nous propose sa traduction :

Dans une ville, au bord d’un fleuve de boue qui jaillit des champs immortels, se trouve une bibliothèque dont la structure en bois disparaît dans le brouillard de la montagne sur laquelle elle est située. Bien qu’elle soit relativement proche de la ville et de l’Université, la bibliothèque baigne dans une atmosphère de mythe et de mystère que vient accroître son passé de couvent, de prison et de bunker pendant la guerre. La décision des moines et des abbesses de transformer l’un des édifices de l’ancienne bâtisse en une bibliothèque, afin d’obtenir de l’argent pour restaurer l’énorme statue du Christ de la Colline des Anges, a été très bien reçue parmi la communauté. L’ancienne structure de la forteresse occupe un espace important en haut de la colline, à côté d’une ancienne église, d’un couvent, d’un monastère, d’un petit musée et d’une église creusée dans la roche ; l’imposante statue de Jésus-Christ qui domine toute la région depuis une éminence privilégiée en est le principal intérêt. Tous les ans, au pied de la Colline des Anges (tel est le nom du monticule sur lequel il est juché), on célèbre les fêtes du Rocío, ainsi que la procession de la Vierge aux Anges. Tout cela, à quoi vient s’ajouter les constantes brumes qui, chaque nuit, montent le long de ses versants boisés, et son immense masse froide qui, la nuit, se dresse solitaire depuis le plateau, ont transformé la Bibliothèque des Rêves – ainsi la nomme-t-on – en un centre d’étude imprégné de mythe et de mystère. Les obscurs bois qui, la nuit, conservent la sombre forme de la Colline des Anges, contribuent à exalter la légende magique de ce lieu. Une légende, qui s’est transmise de génération en génération au cours des siècles. Se nourrissant de chaque événement qui avait lieu entre ses murs, s’alimentant de chaque personnage qui a habité ou passé par ses jardins et ses couloirs.

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Morgane nous propose sa traduction :

Dans une ville, sur les rives d’un fleuve qui surgit couvert de boue depuis les champs impérissables, se trouve une bibliothèque dont la structure en bois se confond avec la neige de la montagne sur laquelle elle se fixe. Malgré le fait d’être relativement proche de la ville et de l’Université, la bibliothèque renferme une atmosphère mythologique et mystérieuse, accentuée par son passé de couvent, prison et bunker durant la guerre. La décision des moines et des abbesses de transformer les édifices de l’ancienne structure de la bibliothèque, afin d’obtenir des fonds pour restaurer l’énorme statut du Christ de la Colline des Anges, fut très bien acceptée par la communauté. L’ancienne structure de la forteresse partage un lieu remarquable, avec une vielle église, un couvent, un monastère, un petit musée et une église creusée dans la roche ; dont le principal point d’intérêt est l’énorme statut de Jésus Christ qui domine toute la contrée depuis le beffroi privilégié. Aux pieds de la Colline des Anges, comme est nommé le monticule sur lequel elle se tient, on célèbre chaque année les fêtes de la Rosée, ainsi que la procession de la Vierge des Anges. Cela, ajouté aux continuelles brumes qui montent par ses coteaux boisés chaque nuit, et son immense et froide masse qui s’érige solitaire dans la nuit du plateau, ont transformé la dite bibliothèque des Rêves en un centre d’étude enrobé de mythe et de mystère. Les bois obscurs, qui conservent pendant la nuit la forme sombre de la Colline des Anges, contribuent à augmenter la légende magique de ce lieu. Légende, qui s’est transmise de génération en génération au cours des siècles. En grandissant avec chaque événement qui subvenait entre ses murs, en augmentant avec chaque personnage qui a vécu ou est passé par ses jardins ou ses couloirs.

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