J'attends vos versions pour ce soir… Je publierai celles que j'ai déjà demain matin. Tant pis pour les retardataires. Cette année, à la différence de ce que je pratiquais jusque-là, j'ai effectivement décidé de fixer une date limite au-delà de laquelle je n'accepte plus les traductions en cours (pour les autres, les anciens textes, rien ne vous empêche, au contraire, de les reprendre, de vous y frotter et d'envoyer vos propositions). Pourquoi ? Parce que je préfère non seulement vous contraindre à respecter les délais (que ferez-vous quand un éditeur vous demandera 300 pages en trois mois s'il vous est impossible de produire quelques lignes en une semaine ?) mais aussi m'assurer que vous avez travaillé sans être influencés de près ou de loin par les autres… Il ne s'agit pas tant de contrôler que vous "trichez" ou que vous vous facilitez abusivement les choses en profitant des efforts d'autrui, que de vous obliger à perdre l'habitude d'avoir toujours des béquilles… alors qu'il vous faudra bientôt être seuls et prendre vos responsabilités. Ce n'est pas la garde-chiourme qui s'exprime ici, c'est la formatrice… votre meilleure alliée pour être rapidement et définitivement autonomes, en pleine possession de vos moyens.
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