Familia que lo vendió a un chatarrero, pero… él nunca sintió disgusto alguno. Nunca comprendía por qué las personas lloraban, reían… Eran tan impredecibles. Vio al último minero vivo al borde de la muerte agarrando una cruz y otro una foto de su familia, éste lloraba y poco después, murió. El robot quedó totalmente solo con los cadáveres.
Famille qui l'avait vendu à un ferrailleur, sans toutefois... qu'il en ait conçu de l'aigreur. Il ne comprenait jamais pourquoi les gens pleuraient, riaient... Ils étaient tellement imprévisibles. Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; une photo de sa famille serrée dans une main, l'homme attrapa un crucifix. Peu après, il mourut. Le robot se trouva complètement seul au milieu des cadavres.
35 commentaires:
C-Remarque 1 :
Familia que lo vendió a un chatarrero, pero… él nunca sintió disgusto alguno.
Famille qui l'avait vendu à un ferrailleur, sans toutefois... qu'il en ait conçu de l'aigreur.
Je crois que là, nous avons oublié de traduire « alguno » ; ça n'est pas de la première importance et nous pouvons donc nous en tenir à ce que nous avons… Mais, le cas échéant, cela pourrait donner :
Famille qui l'avait vendu à un ferrailleur, sans toutefois... qu'il en ait conçu LA MOINDRE aigreur.
Votre avis :
Solution 1 : on garde comme c'était
Solution 2 : on prend avec la traduction de « alguno »
Il ne comprenait jamais pourquoi les gens pleuraient, riaient
Là, nous avons fait comme en espagnol, c'est-à-dire séparer les deux verbes par une simple virgule… Or en français, est-ce qu'on ne se fendrait pas d'un ET ou OU ? Ça n'est pas obligatoire, mais je me demande s'il n'y a pas une once de rythme à mettre ici… J'attends votre avis. Once ou pas once ?
C'était la remarque 2…
C-Remarque 1 :
Nous avons déjà utilisé "la moindre" au moins 3 fois...
C-Remarque 2 :
once : OU
Au moins 3 fois ????? Dans ce cas, il faudra y penser pour en enlever au moins un.
Conclusion : pour cette phrase, on ne change rien. Le sens étant clair, nul besoin d'alourdir, de surcroît avec des répétitions directes ou indirectes.
Ok pour l'« once » OU.
Nous allons attendre de voir si Irène et Justine rejoignent les travailleuses du dimanche matin (pour nous donner leur avis sur ces deux points) ou s'il y a eu un éboulement de pierres et de terre devant leur lit qui les empêche d'accéder à leur ordinateur… Dans le cas où elles tardent trop, on avancera quand même un peu, pour ne pas piétiner pendant des jours sur cette histoire.
Elena, tu as des remarques sur cette section ?
E-Remarque 1 : texte V.O. :
Vio al
último minero vivo al borde de la muerte
agarrando una cruz y en la otra mano una foto de
su familia.
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; une photo de sa famille serrée dans une main, l'homme attrapa un crucifix.
Las acciones de esta frase son simultaneas : agarrar en español americano (?) significa : tener o coger (que por razones de fuerza mayor, los argentinos no usan en ese sentido ;-) ). Para mí, aquí el minero tiene en una mano una foto y en la otra una cruz... Así que no estoy de acuerdo con eso de que : "attrapa un crucifix"
D'accord, de toutes manières il y aura une 3ème relecture...
"la moindre" (finalement, c'étaient deux fois, mais elles sont symétriques...):
son visage ne reflétait pas la moindre émotion
Dépourvu de la moindre émotion, il pouvait néanmoins réfléchir.
E-remarque 2 :
Éste lloraba y poco después, murió.
Traduit par : Peu après, il mourut.
Et "lloraba" ?
Bonjour les travailleuses du dimanche matin !!!
En fait j'avais mis "le moindre" ressentiment et je n'avais pas compris vous me l'aviez censuré...maintenant je comprends mieux !!!!
Il faut dire qu'"une once", c'est qd même plus classe...
Pour le reste, c'est bon ! me semble t-il...
Je récapitule 1 :
Famille qui l'avait vendu à un ferrailleur, sans toutefois... qu'il en ait conçu de l'aigreur. Il ne comprenait jamais pourquoi les gens pleuraient ou riaient… Ils étaient tellement imprévisibles.
Effectivement : il pleurait!!!
Et au vu de la suite c'est 1 élément important !!!
E- Remarque 1 : ok…
Donc ça donnerait =
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre.
C'est ça ?
Oui, il y aura une 3 lecture… mais nous devons régler un maximum de problèmes de fond maintenant. Le dernier passage serait strictement du lissage.
Merci, Ellena, pour les « moindre » ; du coup, il me semble que le second n'est pas utile :
Dépourvu de la moindre émotion, il pouvait néanmoins réfléchir.
Cela pourrait donner « Dépourvu de TOUTE émotion » ? ou alors on enlève carrément…
Votre avis :
Solution 1 = MOINDRE
Solution 2 = TOUTE
Solution 3 = rien
Ah oui, on a publié « lloraba »…
On en fait quoi ?
Il pleurait. Peu après, il mourut.
?
E- Remarque 1 :
Donc ça donnerait =
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre.
Pourquoi inverser l'ordre du texte ?
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre et il pleurait. Peu après il mourut.
Bonjour Irène ! Tu nous manquais déjà ;-)
E- Remarque 1 : ok…
Donc ça donnerait =
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre.
C'est ça ?
OUI !
- Dépourvu de la moindre émotion, il pouvait néanmoins réfléchir.
Cela pourrait donner « Dépourvu de TOUTE émotion »
Pour moi :
Solution 2 = TOUTE
E-Remarque 2 :
Il pleurait. Peu après, il mourut.
No esta mal, pero me da como una impresión de cosa entrecortada...
C'est bien alors de se faire attendre ...
E-Remarque 2 :
Il pleurait. Peu après, il mourut.
No esta mal, pero me da como una impresión de cosa entrecortada...
C'est pour ça que j'ai relié il pleurait à la phrase précédente.
Bonjour aux travailleuses acharnées,
Désolée de ne vous rejoindre que maintenant, mais j'étais absente ce matin...
Je serai favorable à "dépourvu de toute émotion".
Pour la suite, je propose:
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre et pleurait. Peu après il mourut.
Je repose ma question :
Pourquoi inverser l'ordre du texte ?
Irène : pienso que el texto ha quedado invertido a fuerza de modificarlo :
Donc ça donnerait =
Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait un crucifix serré dans une main, une photo de sa famille dans l'autre.
Irène : j'étais partie me promener… ;-) Voilà le problème d'être toujours à son poste ; l'équipage croit que la navire coule à la moindre absence. Allez, je suis flattée.
Attention quand l'ego gonfle trop, il y a un risque d'envol!!!
Je récapitule 2 :
Famille qui l'avait vendu à un ferrailleur, sans toutefois... qu'il en ait conçu de l'aigreur. Il ne comprenait jamais pourquoi les gens pleuraient ou riaient… Ils étaient tellement imprévisibles. Finalement, il vit l'ultime mineur au seuil de la mort ; l'homme avait une photo de sa famille serrée dans une main, un crucifix dans l'autre, et pleurait.
Cela convient-il à tout le monde ?
Chère Irène,
Tu n'ignores pas que j'assume pleinement ;-)
TRES BIEN !!! Le bol d'air était stimulant !!!
C'est bien pour ça que j'ai répondu de la sorte;-)
Je récapitule 2 : OK !
On passe à la suite ou on part se promener de nouveau ?
La suite est publiée depuis une bonne demi-heure maintenant ;-))))
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