Comme vous êtes trois et, évidemment, pas tous sur le pont en même temps, il va falloir s'organiser… Que préférez-vous : - que j'attende d'avoir les trois propositions pour faire mes commentaires ? - que je parte sur la première publiée et qu'ensuite, ceux qui arrivent en cours de route acceptent de prendre le train en marche… en faisant fi de leur proposition de départ (en tout cas dans son intégralité) ; car dans la mesure où il ne s'agit pas d'un exercice universitaire corrigé, etc., ce qui compte, c'est le travail lui-même… pas la solution d'untel ou untel. Par ailleurs, je n'ai pas le temps de revenir en arrière… pour des considérations individuelles. L'avantage de cette dernière solution est que la traduction peut avancer même en cas d'absence plus ou moins longue de l'un ou l'autre. Ce qui n'empêchera pas celui ou celle qui aura loupé une étape de faire valoir son point de vue au moment des corrections.
Je vote pour la solution 2 car comme tu l'as dit, nous risquons de ne pas nous trouvons au même endroit au même moment, vu nos emplois du temps respectifs, ce qui risque de retarder l'avancée du travail.
Desarticular. Desmembrar. Desollar. No se puede hacer nada contra algo que se lleva en la sangre.
Perrine :
1) Pourquoi « déboîter » et pas une traduction littérale ? 2) « On ne peut pas lutter » ou « Il n'y a rien à faire contre… » ? Je te dis cela parce qu'effectivement, ce que tu proposes est plus intéressant d'un point de vue lexical, mais tu t'éloignes pas mal de la V.O., qui est quand même très neutre «puede » + « hacer » + « nada ». Tu sais bien que les enrichissements sont ennuyeux, à plus forte raison pour un premier jet.
1) En effet, la traduction littérale convient bien ici, "désarticuler", on voit même mieux l'image de l'os qui sort de son articulation... oubliez "déboîter". 2) J'avais effectivement choisi le verbe "lutter" que je trouvais plus riche d'un point de vue lexical, mais je m'éloigne...
Pourrait-on garder ce jeu anaphorique des "[des]articular", "[des]membrar"... et traduire "desollar" par "dépouiller" ? Je comprends ce verbe comme "ôter la peau", ce que signifie "dépouiller"...
Désarticuler. Démembrer. Dépouiller. Il n'y a rien à faire contre ce qui coule dans notre sang.
1) Vanessa… C'est une excellente remarque ; et comme effectivement, le sens premier de « dépouiller » est enlever la peau, ça marche !
Désarticuler. Démembrer. Dépouiller.
2) Il n'y a rien à faire contre ce qui coule dans notre sang. Ce qui m'ennuie, c'est que le texte ne dit pas « contra lo que », mais « contra algo » ; j'ai l'impression que tu modifie le sens. Restons dans la littéralité, au moins pour ce premier jet.
1) Oui, Vanessa, très bonne remarque, ça fonctionne ! 2)Du coup ça donnerait : "Il n'y a rien à faire contre une chose que l'on a dans le sang" ? C'est étrange, mais c'est un premier jet.
Je trouve ça bien… et tu vois, nous n'avons pas eu à nous éloigner de la V.O. Je publie la traduction dans le post, dans le doc général (colonne de gauche) et je vous mets la phrase suivante.
Perrine… Dans l'intervalle, Vanessa avait proposé une solution que je trouve bien et très satisfaisante pour cette étape du travail. Tu peux te mettre à la suivante.
13 commentaires:
Déboîter. Démembrer. Écorcher. On ne peut pas lutter contre ce qui coule dans notre sang.
Comme vous êtes trois et, évidemment, pas tous sur le pont en même temps, il va falloir s'organiser…
Que préférez-vous :
- que j'attende d'avoir les trois propositions pour faire mes commentaires ?
- que je parte sur la première publiée et qu'ensuite, ceux qui arrivent en cours de route acceptent de prendre le train en marche… en faisant fi de leur proposition de départ (en tout cas dans son intégralité) ; car dans la mesure où il ne s'agit pas d'un exercice universitaire corrigé, etc., ce qui compte, c'est le travail lui-même… pas la solution d'untel ou untel. Par ailleurs, je n'ai pas le temps de revenir en arrière… pour des considérations individuelles.
L'avantage de cette dernière solution est que la traduction peut avancer même en cas d'absence plus ou moins longue de l'un ou l'autre. Ce qui n'empêchera pas celui ou celle qui aura loupé une étape de faire valoir son point de vue au moment des corrections.
Solution 1 ou solution 2, donc ?
Solution 2 !
Je vote pour la solution 2 car comme tu l'as dit, nous risquons de ne pas nous trouvons au même endroit au même moment, vu nos emplois du temps respectifs, ce qui risque de retarder l'avancée du travail.
Bien : 2 réponses sur 3 qui vont dans le même sens… C'est entériné !
Desarticular. Desmembrar. Desollar. No se puede hacer nada contra algo que se lleva en la sangre.
Perrine :
1) Pourquoi « déboîter » et pas une traduction littérale ?
2) « On ne peut pas lutter » ou « Il n'y a rien à faire contre… » ?
Je te dis cela parce qu'effectivement, ce que tu proposes est plus intéressant d'un point de vue lexical, mais tu t'éloignes pas mal de la V.O., qui est quand même très neutre «puede » + « hacer » + « nada ». Tu sais bien que les enrichissements sont ennuyeux, à plus forte raison pour un premier jet.
1) En effet, la traduction littérale convient bien ici, "désarticuler", on voit même mieux l'image de l'os qui sort de son articulation... oubliez "déboîter".
2) J'avais effectivement choisi le verbe "lutter" que je trouvais plus riche d'un point de vue lexical, mais je m'éloigne...
Pourrait-on garder ce jeu anaphorique des "[des]articular", "[des]membrar"... et traduire "desollar" par "dépouiller" ? Je comprends ce verbe comme "ôter la peau", ce que signifie "dépouiller"...
Désarticuler. Démembrer. Dépouiller.
Il n'y a rien à faire contre ce qui coule dans notre sang.
1) Vanessa… C'est une excellente remarque ; et comme effectivement, le sens premier de « dépouiller » est enlever la peau, ça marche !
Désarticuler. Démembrer. Dépouiller.
2) Il n'y a rien à faire contre ce qui coule dans notre sang.
Ce qui m'ennuie, c'est que le texte ne dit pas « contra lo que », mais « contra algo » ; j'ai l'impression que tu modifie le sens. Restons dans la littéralité, au moins pour ce premier jet.
Désarticuler. Démembrer. Dépouiller.
Il n'y a rien à faire contre quelque chose qu'on a dans le sang.
1) Oui, Vanessa, très bonne remarque, ça fonctionne !
2)Du coup ça donnerait : "Il n'y a rien à faire contre une chose que l'on a dans le sang" ?
C'est étrange, mais c'est un premier jet.
Je trouve ça bien… et tu vois, nous n'avons pas eu à nous éloigner de la V.O.
Je publie la traduction dans le post, dans le doc général (colonne de gauche) et je vous mets la phrase suivante.
Perrine… Dans l'intervalle, Vanessa avait proposé une solution que je trouve bien et très satisfaisante pour cette étape du travail.
Tu peux te mettre à la suivante.
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